Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Femme Actuelle
par Amélie Cordonnier
Un film généreux, engagé et extravagant, porté par une Daphne Patakia solaire, et un Simon Abkarian aussi bourru que touchant.
L'Humanité
par Sophie Joubert
Foutraque et généreux, peuplé de rencontres brèves et improbables, Djam est le film de tous les exils.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Tout le film ressemble à Djam et son oncle, dotés d’une belle énergie, altiers et passionnés, fous de musique, allègres pour tenir à distance le désespoir, avec la générosité de ceux qui n’ont presque rien et la sagesse de ceux qui savent intimement où se trouve l’essentiel.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
Avec Djam, un road-movie grec plein de musique, de chaos et de passion, le réalisateur traite avec pudeur son thème de prédilection.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par Catherine Balle
Les scènes de danse et de chant de « Djam » sont éblouissantes et l'évocation des réfugiés bouleversante.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Ouest France
par Gilles Kerdreux
On est pris dans une sorte de danse méditerranéenne, pour ne pas dire une transe, qui rend heureux.
Positif
par Nicolas Bauche
Le débordement du cadre synthétise une comédie humaine travaillée, des moments dont le réalisateur fait éclater le naturel par des choix artistiques précis : des comédiens parfaitement dirigés, la recherche de l'expression juste de l'écriture du script à la prise de vue.
Télérama
par Frédéric Strauss
Porté par le personnage de Djam, le film l'est aussi par son interprète, une nouvelle venue saisissante, Daphné Patakia. Elle parle grec, français, anglais, s'imposant comme allégorie de notre présent mondialisé et figure d'espoir.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Express
par A. L. F.
"Djam" n'aura pas le prix du film le plus maîtrisé de l'année, mais il peut concourir dans la catégorie du plus attachant.
L'Obs
par François Forestier
Gatlif n'est pas un cinéaste conventionnel ("Latcho Drom" et "Gadjo Dilo" l'ont prouvé), et le réalisme n'est pas sa tasse de thé. Il faut voir ce film comme une fête un peu déjantée, un feu d'artifice chaotique, ne serait-ce que pour l'interprète principale, Daphné Patakia. Elle est solaire.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Au son du rebetiko, la musique traditionnelle et protestataire de Grèce, Tony Gatlif va voir entre Lesbos et la Turquie ce qui s’y passe : en musique, avec cet esprit de liberté un peu foutraque qui le caractérise.
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Rendant hommage à tous les exilés, Gatlif mêle légèreté et gravité. L’insolente liberté de son héroïne contraste avec le sort des migrants, à la fois invisibles et omniprésents. Le film doit aussi beaucoup aux talents de ses deux comédiennes.
Les Fiches du Cinéma
par Isabelle Boudet
Tony Gatlif nous invite à un road movie entre la Turquie et la Grèce. Il a beaucoup de choses à dire (sur l’Europe et les migrants), moins à raconter. Mais son héroïne charismatique et ses scènes musicales nous entraînent dans leur joyeuse énergie du désespoir.
Voici
par Lola Sciamma
Une odyssée sur fond de tragédie de migrants où, Gatlif oblige, on chante, danse et crie avec toute l'énergie de l'espoir.
aVoir-aLire.com
par Julien Dugois
(...) un hymne à la liberté porté par un personnage fort (…) dont la musicalité et le sourire communicatif nous font oublier la frugalité du scénario.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Monde
par Thomas Sotinel
Sur quelques airs de rébétiko, Tony Gatlif lance une belle jeune fille nommée Djam sur les eaux de la Méditerranée orientale, sur les routes de Turquie et de Grèce. Pour que son voyage sur ces terres de tragédies passées et présentes prenne tout le sens politique que le cinéaste voudrait lui conférer, il aurait fallu une autre feuille de route que le scénario à peine ébauché de Djam.
Première
par Christophe Narbonne
Un film de Tony Gatlif ne ressemble qu’à un film de Tony Gatlif. Pas de scénario, une succession de rencontres où les corps s’animent au son de chants et de musiques folkloriques qui disent la mélancolie et la misère du monde. Pour les profanes, une expérience inédite. Pour les autres, une pâle copie des classiques gatlifiens, Gadjo Dilo et Exils.
La critique complète est disponible sur le site Première
Femme Actuelle
Un film généreux, engagé et extravagant, porté par une Daphne Patakia solaire, et un Simon Abkarian aussi bourru que touchant.
L'Humanité
Foutraque et généreux, peuplé de rencontres brèves et improbables, Djam est le film de tous les exils.
La Croix
Tout le film ressemble à Djam et son oncle, dotés d’une belle énergie, altiers et passionnés, fous de musique, allègres pour tenir à distance le désespoir, avec la générosité de ceux qui n’ont presque rien et la sagesse de ceux qui savent intimement où se trouve l’essentiel.
Le Figaro
Avec Djam, un road-movie grec plein de musique, de chaos et de passion, le réalisateur traite avec pudeur son thème de prédilection.
Le Parisien
Les scènes de danse et de chant de « Djam » sont éblouissantes et l'évocation des réfugiés bouleversante.
Ouest France
On est pris dans une sorte de danse méditerranéenne, pour ne pas dire une transe, qui rend heureux.
Positif
Le débordement du cadre synthétise une comédie humaine travaillée, des moments dont le réalisateur fait éclater le naturel par des choix artistiques précis : des comédiens parfaitement dirigés, la recherche de l'expression juste de l'écriture du script à la prise de vue.
Télérama
Porté par le personnage de Djam, le film l'est aussi par son interprète, une nouvelle venue saisissante, Daphné Patakia. Elle parle grec, français, anglais, s'imposant comme allégorie de notre présent mondialisé et figure d'espoir.
L'Express
"Djam" n'aura pas le prix du film le plus maîtrisé de l'année, mais il peut concourir dans la catégorie du plus attachant.
L'Obs
Gatlif n'est pas un cinéaste conventionnel ("Latcho Drom" et "Gadjo Dilo" l'ont prouvé), et le réalisme n'est pas sa tasse de thé. Il faut voir ce film comme une fête un peu déjantée, un feu d'artifice chaotique, ne serait-ce que pour l'interprète principale, Daphné Patakia. Elle est solaire.
Le Dauphiné Libéré
Au son du rebetiko, la musique traditionnelle et protestataire de Grèce, Tony Gatlif va voir entre Lesbos et la Turquie ce qui s’y passe : en musique, avec cet esprit de liberté un peu foutraque qui le caractérise.
Le Journal du Dimanche
Rendant hommage à tous les exilés, Gatlif mêle légèreté et gravité. L’insolente liberté de son héroïne contraste avec le sort des migrants, à la fois invisibles et omniprésents. Le film doit aussi beaucoup aux talents de ses deux comédiennes.
Les Fiches du Cinéma
Tony Gatlif nous invite à un road movie entre la Turquie et la Grèce. Il a beaucoup de choses à dire (sur l’Europe et les migrants), moins à raconter. Mais son héroïne charismatique et ses scènes musicales nous entraînent dans leur joyeuse énergie du désespoir.
Voici
Une odyssée sur fond de tragédie de migrants où, Gatlif oblige, on chante, danse et crie avec toute l'énergie de l'espoir.
aVoir-aLire.com
(...) un hymne à la liberté porté par un personnage fort (…) dont la musicalité et le sourire communicatif nous font oublier la frugalité du scénario.
Le Monde
Sur quelques airs de rébétiko, Tony Gatlif lance une belle jeune fille nommée Djam sur les eaux de la Méditerranée orientale, sur les routes de Turquie et de Grèce. Pour que son voyage sur ces terres de tragédies passées et présentes prenne tout le sens politique que le cinéaste voudrait lui conférer, il aurait fallu une autre feuille de route que le scénario à peine ébauché de Djam.
Première
Un film de Tony Gatlif ne ressemble qu’à un film de Tony Gatlif. Pas de scénario, une succession de rencontres où les corps s’animent au son de chants et de musiques folkloriques qui disent la mélancolie et la misère du monde. Pour les profanes, une expérience inédite. Pour les autres, une pâle copie des classiques gatlifiens, Gadjo Dilo et Exils.