Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Première
par Gérard Delorme
S'il continue à mettre son style au diapason de ses thèmes, le jeune Balaguero devrait rapidement s'affirmer, avec Alejandro Amenabar (Thesis et Ouvre les yeux), comme l'un des auteurs les plus intéressants du nouveau cinéma espagnol.
La critique complète est disponible sur le site Première
Chronic'art.com
par Frank Beauvais
La Secte sans nom (...) est un cauchemar admirable évoquant aussi bien Dario Argento que le de Palma des bons jours. Il place d'office Jaume Balaguero, aux côtés d'Alejandro Amenabar, en tête de ligne du jeune cinéma espagnol de genre.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Cplanet.com
par Marc Arlin
A l'instar d'un certain courant du cinéma fantastique américain des années 40, représenté par Jacques Tourneur (Vaudou, La féline), le jeune réalisateur a compris que la suggestion est le plus sûr moyen de terrifier son audience.
La critique complète est disponible sur le site Cplanet.com
Le Parisien
par Ph.D.
(...) des images troubles et un éclairage cru qui replacent l'horreur dans un quotidien plausible. Le souci de la précision dans l'horreur accentue le malaise du spectateur.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Mad Movies
par Stéphane Moïssakis
(...) une ambiance étouffante, malsaine par instants, qui place le spectateur dans une forme de "claustrophobie émotive". Un parti-pris risqué mais payant qui dévoile la force, mais aussi les limites du réalisateur.
Repérages
par Frank Beauvais
La Secte sans nom est à la hauteur de ses ambitions et s'impose comme l'une des heureuses surprises de cette fin de saison cinématographique.
La critique complète est disponible sur le site Repérages
Starfix
par Sandra Benedetti
(...) avant de quitter la salle, vérifiez que vous n'avez rien oublié : fermer la mâchoire, remettre à l'horizontal toute la pilosité atteinte de verticalité, extraire ses ongles du bras du voisin (...)
Studio Magazine
par Patrick Fabre
Voir la critique sur www.studiomag.com
Urbuz
par Julien Dupuy
La secte sans nom est (...) un bon petit film de serial killer, plutôt bien troussé, rythmé, correctement écrit. Mais il n'est "que" ça : un thriller de bonne facture pour employer l'expression consacrée.
La critique complète est disponible sur le site Urbuz
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Humanité
par Vincent Ostria
Le film est réussi, mais à la manière de tous ces polars sordides made in Hollywood qui nous font frissonner en pataugeant dans les plus noirs recoins de la psyché humaine.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Monde
par Jean-François Rauger
(...) le sens de l'atroce artistique et chic semble prendre ici une place qui parvient à anesthésier, la plupart du temps, l'efficacité de la terreur que cette histoire, par ailleurs fort confuse et sentencieuse, appelait pourtant.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Olivier Père
(...) ces fantasmes gothiques de faible qualité débouchent sur un exercice d'admiration autour de Seven et du Silence des Agneaux. Il serait tant de changer de références.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Philippe Rouyer
A vouloir tout montrer, Balaguero n'aboutit qu'à une représentation caricaturale et grand-guignolesque du Mal. Ces dernières années, les jeunes cinéastes espagnols nous avaient habitués à beaucoup mieux en matière de fantastique et d'horreur.
Télérama
par Guillemette Olivier
De plans réalistes grisâtres en instantanés d'enfants suppliciés, c'est le spectateur qui est victime de cette surenchère du sordide. De l'air !
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Première
S'il continue à mettre son style au diapason de ses thèmes, le jeune Balaguero devrait rapidement s'affirmer, avec Alejandro Amenabar (Thesis et Ouvre les yeux), comme l'un des auteurs les plus intéressants du nouveau cinéma espagnol.
Chronic'art.com
La Secte sans nom (...) est un cauchemar admirable évoquant aussi bien Dario Argento que le de Palma des bons jours. Il place d'office Jaume Balaguero, aux côtés d'Alejandro Amenabar, en tête de ligne du jeune cinéma espagnol de genre.
Cplanet.com
A l'instar d'un certain courant du cinéma fantastique américain des années 40, représenté par Jacques Tourneur (Vaudou, La féline), le jeune réalisateur a compris que la suggestion est le plus sûr moyen de terrifier son audience.
Le Parisien
(...) des images troubles et un éclairage cru qui replacent l'horreur dans un quotidien plausible. Le souci de la précision dans l'horreur accentue le malaise du spectateur.
Mad Movies
(...) une ambiance étouffante, malsaine par instants, qui place le spectateur dans une forme de "claustrophobie émotive". Un parti-pris risqué mais payant qui dévoile la force, mais aussi les limites du réalisateur.
Repérages
La Secte sans nom est à la hauteur de ses ambitions et s'impose comme l'une des heureuses surprises de cette fin de saison cinématographique.
Starfix
(...) avant de quitter la salle, vérifiez que vous n'avez rien oublié : fermer la mâchoire, remettre à l'horizontal toute la pilosité atteinte de verticalité, extraire ses ongles du bras du voisin (...)
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Urbuz
La secte sans nom est (...) un bon petit film de serial killer, plutôt bien troussé, rythmé, correctement écrit. Mais il n'est "que" ça : un thriller de bonne facture pour employer l'expression consacrée.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
Le film est réussi, mais à la manière de tous ces polars sordides made in Hollywood qui nous font frissonner en pataugeant dans les plus noirs recoins de la psyché humaine.
Le Monde
(...) le sens de l'atroce artistique et chic semble prendre ici une place qui parvient à anesthésier, la plupart du temps, l'efficacité de la terreur que cette histoire, par ailleurs fort confuse et sentencieuse, appelait pourtant.
Les Inrockuptibles
(...) ces fantasmes gothiques de faible qualité débouchent sur un exercice d'admiration autour de Seven et du Silence des Agneaux. Il serait tant de changer de références.
Positif
A vouloir tout montrer, Balaguero n'aboutit qu'à une représentation caricaturale et grand-guignolesque du Mal. Ces dernières années, les jeunes cinéastes espagnols nous avaient habitués à beaucoup mieux en matière de fantastique et d'horreur.
Télérama
De plans réalistes grisâtres en instantanés d'enfants suppliciés, c'est le spectateur qui est victime de cette surenchère du sordide. De l'air !