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Votre avis sur Benedetta ?
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Le film ne fait pas dans la nuance, on n'en n'attendait pas mois de Verhoeven : il y a parfois quelques outrances de mise en scène [spoiler](comme la grosse voix que prend Virginie Efira quand elle semble parler au nom de Jesus)[/spoiler ] et certains personnages sont un peu caricaturaux (comme l'évêque jouée par Lambert Wilson). Mais l'intrigue est plutôt bien menée dans l'ensemble. Virginie Efira s'en tire assez bien dans un rôle pas facile, même si ce n'est pas le rôle qui la met le plus en valeur, loin de là. L'ensemble est assez baroque et le contexte historique ne paraît pas crédible, mais le film n'avait pas cette prétention. ça se laisse voir sans déplaisir, même si au final on se demande un peu quel était le propos de l'auteur et où il voulait en venir.
De ce bric à brac cinématographique, idéologique, saphique ou historique de l'inoxydable Paul Verhoeven sort une fresque dantesque, un peu longue, entre enfer et purgatoire, cape-et-épée et soutanes, oraisons et répliques piquantes, qui rappelle les outrances maléfiques des "diables" de Ken Russel ou l'esthétique sombre du "nom de la rose" de Jean-Jacques Anneau ou bien encore les étreintes complaisamment filmées de "la vie d'Adèle"...
Le plus étonnant est que ça fonctionne bien et que chacun peut y trouver son compte : conte moral sur l'église et la religion ; scènes christiques ou saphiques ; réflexion sur le pouvoir macho et la subtilité des femmes...
Les acteurs aussi y trouvent leur compte, entre une Virginie Efira exposée mais inspirée, une Charlotte Rampling ténébreuse et tourmentée et un Lambert Wilson d'une superbe perversité.
Le plus étonnant dans tout cela, est que ce scénario rocambolesque est tiré d'une histoire vraie. La peste épargna vraiment Pescia, dans la Toscane du XVIème siècle.
Vaut le détour.
Le plus étonnant est que ça fonctionne bien et que chacun peut y trouver son compte : conte moral sur l'église et la religion ; scènes christiques ou saphiques ; réflexion sur le pouvoir macho et la subtilité des femmes...
Les acteurs aussi y trouvent leur compte, entre une Virginie Efira exposée mais inspirée, une Charlotte Rampling ténébreuse et tourmentée et un Lambert Wilson d'une superbe perversité.
Le plus étonnant dans tout cela, est que ce scénario rocambolesque est tiré d'une histoire vraie. La peste épargna vraiment Pescia, dans la Toscane du XVIème siècle.
Vaut le détour.
Je n'ai pas vu un chef d'œuvre avec ce "Benedetta" mais un bon film sur fond d'inquisition en Toscane avec de merveilleuses actrices . Dans le genre" religioso" j'ai retrouvé un peu la vie de sainte Rita qui vécu à cette époque à Cascia et un coté " le nom de la rose" même si nous sommes loin de ce petit bijou du cinéma !
Beau film avec des choix de réalisation pouvant paraître surprenants. Virginie Efira donne chair à son personnage avec la présence qu'on lui connaît. On passe un bon moment.
Ayant du mal avec tout ce qui est catholique je m'attendais à une bonne critique de ce système véreux mais enfaite non !
Certaines scènes sont tellement ridicules que ça décrédibilise le message...
Je troues les acteurs insupportables...le film assez mal construit et donc plutôt long !
Rien n'est abouti et il y a quelques problèmes de réalisation...enfin bref pas fan du tout.
Déjà que Paul Verhoeven m'avait déçu avec "Elle"il descend encore dans mon estime !
Ça reste du sérieux mais comme l'indique les étoiles c'est moyen...
Certaines scènes sont tellement ridicules que ça décrédibilise le message...
Je troues les acteurs insupportables...le film assez mal construit et donc plutôt long !
Rien n'est abouti et il y a quelques problèmes de réalisation...enfin bref pas fan du tout.
Déjà que Paul Verhoeven m'avait déçu avec "Elle"il descend encore dans mon estime !
Ça reste du sérieux mais comme l'indique les étoiles c'est moyen...
Tout ce bruit pour rien. Derrière le soutien médiatique du film il n'y a pas grand chose.
Les acteurs semblent aussi peu convaincus que les spectateurs.
J'ai cru à un ton absurde, à un décalage, j'ai ri face à l'absurde de certaines situations.
C'est provocant sans jamais de pertinence, à la limite du voyeurisme.
Et pitié ne parlez d'amour : des nibards et des crucifix. Point.
Merci Monsieur Verhoeven pour ce clip raté de Mylène Farmer.
Les acteurs semblent aussi peu convaincus que les spectateurs.
J'ai cru à un ton absurde, à un décalage, j'ai ri face à l'absurde de certaines situations.
C'est provocant sans jamais de pertinence, à la limite du voyeurisme.
Et pitié ne parlez d'amour : des nibards et des crucifix. Point.
Merci Monsieur Verhoeven pour ce clip raté de Mylène Farmer.
Pourquoi le réalisateur s'est fait plaisir avec ses goûts lubriques..c'est violent , porno ...Virginie effira ma aucune pudeur et prête à n'importe quelle rôle pour devenir actrice même à en devenu la marionette d'une réalisateur déjanté et lubrique ...consternant !!!
Affreux, que fait Virginie Effira? Un tissu de bêtises! Les sélections de Cannes sont franchement de pire en pire.
Les actrices s en sortent pas trop mal... Le scénario qui aurait vu les faits réels faire une très bonne histoire bascule entre comique, mauvaise série b... Dommage
Beaucoup de choses à dire sur ce film, mais qui ont déjà et étés dites et redites. Oui ce film provoque, oui ce film paraît un peu daté, mais chez moi il a fonctionné. J'ai été pris dans les scènes fortes, et je n'ai pas décroché de mon siège une seule fois. Papy Verhoeven a beau être vieux il a réussi a m'accrocher. Ce e sera sûrement pas le cas de tout le monde
Film bien réalisé, avec de bons jeux d'acteurs.
Le scénario est plutôt simple mais l'histoire reste néanmoins prenante et nous tient jusqu'au bout, en évitant de tomber dans des clichés habituels en lien avec les sujets abordés.
Le scénario est plutôt simple mais l'histoire reste néanmoins prenante et nous tient jusqu'au bout, en évitant de tomber dans des clichés habituels en lien avec les sujets abordés.
On sent que le metteur en scène essaye de nous faire balancer sur cette intéressante question : Benedetta est-elle réellement un martyr ? est-elle est folle ? A-t-elle des intentions cachées ? Sujet subtil et complexe qui aurait mérité d’être beaucoup mieux traité. Malheureusement, cette interrogation est complètement éclipsée par une mise en scène grotesque et à la main très lourde. Ce film semble être l'étalage des fantasmes d'un pervers voulant absolument mêler à l'écran religion, sexe et lesbianisme. Le résultat est très erratique, sexiste, les dialogues sont pauvres et évidents. Les acteurs, par ailleurs talentueux mais ici terriblement dirigés, ne parviennent pas à sauver le film.
Si ce film était une blague intentionnelle, je lui mettrais plus d'étoiles.
Si ce film était une blague intentionnelle, je lui mettrais plus d'étoiles.
Du grand n'importe quoi ! quelque chose entre le film le cul et du grand guignol ! Verhoven est un grand malade et surtout un imposteur. Un vieux monsieur qui se fait plaisir à filmer deux belles jeunes femmes nues qui se caressent et s'embrassent. Elles souffrent aussi beaucoup, c'est normal et c'est excitant : flagellation, et tortures en tous genres ... Bon la fin est à mourir de rire (involontairement) La mort de Charlotte Rampling couverte de bubons (elle a la peste ! ) et Lambert Wilson ensanglanté ((il est sauvagement poignardé) sont des grands moments de ridicule ! Je ne regrette pas de l'avoir vu quand même car au moins je ne mourrai pas idiote . Mais franchement avec un sujet comme celui la (la foi, l'Eglise, le sexe, la folie mystique et la folie tout court, le mensonge...) il y avait de quoi faire un GRAND film
Scénario inspiré de l'histoire ! Virginie Efira joue à la perfection dans le rôle de la sœur Benedetta.
Un bon Verhoeven, qui retrouve dans ce film la violence, la brutalité et la barbarie de l'époque moyenâgeuse qui sied parfaitement à son cinéma. On retrouve donc superstitions, interdits, sexe, inquisition, tortures, tous les ingrédients pour faire un film brut et sulfureux, qui emmène le spectateur sur les traces d'une religieuse mystique ayant réellement existé, Benedetta Carlini, de son entrée au monastère des théatines à Pescia, à sa chute lors de l'épidémie de peste qui ravagea la région au 17ème siècle. Entre ferveur religieuse et lesbianisme, le film navigue en eaux troubles, laissant le spectateur se faire lui-même son opinion sur la réalité des "miracles" réalisés et la folie suggérée de l'héroïne. Un bon cru de Verhoeven!
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