Benedetta
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408 critiques spectateurs

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kin4n
kin4n

1 abonné 13 critiques Suivre son activité

0,5
Publiée le 22 novembre 2021
tout aussi ridicue que clovis. Avec des acteurs qui aprlent avec un accent anglais. Des scenes ridicules. des actrices quijouent sans jouer, aui parlent comme en 2022. C est nullissime.
Opera R
Opera R

14 abonnés 68 critiques Suivre son activité

4,5
Publiée le 12 juillet 2021
Excellent film qui permet à la sublime Virginie Efira de délivrer toutes les palettes de son talent. Et le film, avec son côté grand-guignol qui provoque de nombreux moments comiques (ce qui déplaît fortement aux critiques bob-intello genre Télérama), est passionnant de bout en bout. J'ai l'impression que le réalisateur a voulu faire un film un peu à l'ancienne, ayant pour unique objectif la distraction du spectateur qui ne s'ennuie pas un instant. Sans pour autant oublier l'aspect critique, envers l'Eglise de l'époque, les croyances superstitieuses..... Une petite ombre, une erreur historique : le prévôt, à un moment, dit qu'il demandera l'avis du Vatican, faisant ainsi référence au pape. Ce n'est que depuis 1929 et les accords de Latran que le Vatican est utilisé pour désigner le pouvoir du pape. Auparavant, on disait le pape, tout simplement.
Jorik V
Jorik V

1 303 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

3,5
Publiée le 9 novembre 2021
En voilà un film qui va faire grincer des dents et certainement fortement diviser le public. Présenté en compétition au Festival de Cannes où « Titane » lui a volé le titre de film choc de la sélection, il est impossible d’être impassible devant cette « Benedetta » qui nous prend par surprise sur bien des points. Attention, ce n’est pas un film choquant, écœurant ou irregardable, que ce soit par la violence (« La Passion du Christ » était bien plus extrême par exemple) ni par les scènes de sexe (finalement rares et pas plus érotiques que bien des productions actuelles) mais plus par sa morale et ce qui est dit entre les lignes. C’est donc davantage le propos et le doigt d’honneur à la religion qui pourraient heurter certains esprits pieux et surtout le ton outrancier et jusqu’au-boutiste qu’a choisi Paul Verhoeven pour mettre en scène cette histoire de Sainte supposée en plus d’être soi-disant possédée par Jésus et lesbienne. Le film n’est pas non plus une pantalonnade où on rit à gorge déployée, ni une parodie et encore moins un pamphlet dopé à l’humour noir; non c’est juste une œuvre malicieuse et dévergondée qui se moque de certains aspects religieux et porte aux nues un fait divers ayant défrayé la chronique dans la Toscane du XVIIème siècle. On pense un peu au culte mais tout aussi bizarre et foutraque « La Neuvième Porte », qui lui parlait du Diable. Dans ses excès visuels, ses ruptures de ton et le côté pince-sans-rire de l’ensemble, on retrouve un peu du petit bijou fantastique de Roman Polanski. La comparaison est donc flatteuse même si notre « Benedetta » n’atteint tout de même pas les sommets du film avec Johnny Depp!



« Benedetta » c’est presque du cinéma bis italien d’antan dans ce qu’il a de kitsch et d’extrême, mais moulé dans un emballage clinquant et rutilant. Et ce qu’on aime c’est que le cinéaste hollandais se permet tout, ose tout et cela se voit. Il se fait plaisir mais en nous faisant plaisir. Parfois il se rate, certaines scènes étant vraiment too much et presque ridicules. On pense par exemple à celles des latrines, vraiment pas indispensable mais surtout à toutes celles concernant les visions de Benedetta. Elles sont inutiles et donnent des clés de compréhension du personnage sur la véracité de ses visions alors que de garder le flou aurait été plus à propos. Mais c’est surtout le fait qu’elles soient visuellement d’une naïveté pastorale désuète qui donne envie de glousser. Notons cependant que c’est peu à côté de toutes celles que Verhoeven réussit et où il nous surprend - et elles sont bien plus nombreuses. S’il n’atteint pas ici la perfection de son chef-d’œuvre précédent, « Elle », il en reprend une des actrices pour le rôle principal. Et Virginie Efira de confirmer encore son talent incroyable et versatile. Elle sait tout jouer et il ne semble pas avoir de souvenir où elle échoue à nous convaincre dans un rôle. Elle se donne à fond comme dans « Adieu les cons » en début d’année, comme dans « Le grand bain », comme dans « Un amour impossible », etc. Si cette actrice avait continué dans la télévision, on aurait perdu au change.



Même dans ses élans grotesques, le film charme par son contexte original, ses querelles de nonnes et son doit d’honneur au clergé qui en prend un sacré coup, bien plus que la religion en elle-même. Saphique, hypocrite, luxurieux er corrompu, les pontes de la religion et leurs églises n’en sortent pas indemnes tout comme l’avidité générale de toute personne ayant un tant soit peu de pouvoir en son sein. On apprécie aussi que ces plus de deux heures passent à une vitesse folle car « Benedetta » est plein de rebondissement, de scènes inattendues et de retournements de situation. Tout comme les dialogues parfaitement écrits, plein de malice, et de répliques aussi jubilatoires qu’amusantes qui enchantent nos oreilles. Et Verhoeven n’oublie pas de flatter notre regard avec quelques fulgurances de mise en scène qui nous émerveille les yeux. On pense notamment à la scène de la comète et du suicide (belle à se damner) ou au final flamboyant. Une œuvre donc généreuse, folle et impertinente qui ravira les adeptes d’un cinéma indéfinissable et mal élevé. Mais sous couvert de l’être, « Benedetta » est en plus un film qui fait réfléchir sur la religion et nos croyances. Pourtant le cinéaste se sert juste de l’histoire de cette nonne pour nous balancer ses obsessions et c’est diablement bon!



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DAVID MOREAU
DAVID MOREAU

138 abonnés 2 259 critiques Suivre son activité

3,0
Publiée le 15 mai 2022
C'est toi mon église, c'est toi mon plaisir. L'amour joue l'apôtre. Chaque jour que Dieu fait s'incline en silence. Résurrection et provocation, les saints de Verhoeven.
Guiciné
Guiciné

170 abonnés 1 261 critiques Suivre son activité

3,5
Publiée le 10 juillet 2021
Un film qui ne s'interdit rien, ce qui doit être dit est dit et ce qui doit être montré ce montre.
Les acteurs sont tous impressionnants et la mise en scène est vivante, mais pour autant j'avais l'impression que le metteur en scène laissait parfois les acteurs libres, ce qui m'a dérangé.
Le scénario est inventif et les scènes se succèdent à un rythme soutenu.
Mais le bémol vient également du manque d'émotions qui m'a vraiment manqué.
Du beau travail que les aficionados du réalisateur apprécieront.
joelle g
joelle g

94 abonnés 895 critiques Suivre son activité

3,5
Publiée le 12 juillet 2021
Finalement à lire les différentes critiques , je m'attendais à un film plus sulfureux , voir ennuyeux. Rien de tout cela.....si Verhoeven aborde les relations entre les sœurs dans un couvent , il le fait de façon assez feutrée tout de même .....son film se regarde presque comme une belle fable , et les deux heures passent très vite ....par contre je n'ai pas trouvé Virginie Effira Si convaincante que cela....pourtant c'est une actrice que j'apprécie...mais là elle m'a déçue. Charlotte Rampling est bien plus convaincante dans son rôle de mère supérieure.
Au final , un bon film.
 Kurosawa
Kurosawa

606 abonnés 1 509 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 9 août 2021
Dire de "Benedetta" qu'il est un film clairement anticlérical semble risqué, bien que l'ensemble ne soit pas dépourvu de piques assumées contre l'Eglise. Néanmoins, les personnages sont globalement beaucoup trop mobiles, remarquables de par leur opacité et leur ambivalence pour percevoir une quelconque univocité dans ce film qui surprend à bien des égards. "Benedetta" n'est en tout cas pas un film contre la foi, mais pas non plus contre le désir ; plutôt que de séparer hypocritement les deux – il faut voir quel degré de vulgarité atteint le Nonce, joué par Lambert Wilson, prêt à défendre l'interdiction des plaisirs de la chair, mais qui ne se prive pas de mettre enceinte une de ses servantes –, il s'agit avant tout de dire que religion et sexe peuvent cohabiter sans contradiction, qu'on peut tout à fait être proche de Dieu et s'enfoncer un crucifix dans le vagin. Cette cohabitation, dont Verhoeven sait qu'elle ne s'impose pas naturellement, passe par des images kitsches et provocantes qui pour le coup n'ont jamais été vues – Le Christ doté d'un sexe féminin ! –, manière de fleurter avec le ridicule pour mieux déranger un spectateur qui vient à se demander si la spiritualité n'est pas dépréciée, au point où l'on ne saura jamais si Benedetta ment ou pas quant à sa prétendue connexion avec Jésus. Ce n'est pas la foi qui est ici véritablement remise en cause – Benedetta revient d'ailleurs dans le couvent de Pescia à la fin du film, et ce pour y finir ses jours –, mais ce sur quoi Verhoeven insiste c'est le droit d'exhiber ou plus sobrement de faire usage de son corps comme on l'entend : droit de faire l'amour avec une personne du même sexe, droit de se déshabiller pour dévoiler une poitrine décharnée, droit aussi d'anéantir son corps à travers des suicides d'une grande violence. Et si l'utilisation de son corps permet le rapprochement avec Dieu, dans le cas où Benedetta ne mentirait pas, alors l'acte sulfureux deviendrait nécessaire. Le tour de force réussi par Verhoeven est bien d'avoir su filmer beaucoup d'événements et, malgré le nombre important d'images explicites – qu'elles soient d'ordre judiciaires, sexuelles ou mystiques –, d'avoir en même temps entretenu le mystère autour de son personnage, campé par l'énigmatique Virginie Efira.
cinono1
cinono1

323 abonnés 2 094 critiques Suivre son activité

3,5
Publiée le 15 juillet 2021
Peu intéressé par le mysticisme, Paul Verhoeven signe un film à la ligne claire et à l'efficacité narrative indiscutable. Les aventures de cette nonne, prétendant avoir des apparitions de Jésus, est surtout un affrontement avec les autorités religieuses en place, et soucieux de leurs pouvoirs. La reconstitution de l'époque est soignée. Film sur le pouvoir, la croyance, la vanité, l'orgueil, Verhoeven montre mais n'impose rien au spectateur quand il dresse le portrait de son héroine, sainte ou remplie d'orgueil, messagère ou manipulatrice. Verhoeven a un gout pour l'ambiguité de ses personnages autant victimes que coupables. Il n'a pas hérité de son surnom de Hollandais violent par hasard. Le film est traversé par une tension permanente mais Verhoeven ne parvient pas toujours à saisir l'intériorité et les desseins de ses personnages, et son scepticisme donne une impression d'inachevé à son film. Virginie Elfira fait une grande prestation mais c'est surement Charlotte Rampling qui a le plus beau personnage.
2985
2985

268 abonnés 1 098 critiques Suivre son activité

3,0
Publiée le 21 novembre 2021
Les films de Paul Verhoeven se font de plus en plus rares, réalisateur des cultes Robocop, Totall recall, Statship troopers, Basic instinct... toujours accompagné de son aura sulfureuse, il signe avec Benedetta une oeuvre intéressante mais inégale. Se déroulant au 17ieme siècle dans un couvant en pleine pandémie de peste, cette histoire d'homosexualité entre 2 sœurs dans une église inquisitrice tient en haleine, malheureusement le tout reste très survolé, la peste, cette eglise hypocrite, les tortures pratiquées par l'inquisiteur tout est très nuancée et pas toujours bien retranscrit, l'époque devait être bien plus dur et terrible que ce qui est montré à l'écran. De plus certaines scènes notamment les visons du Christ n'apporte rien et font très cheap. Verhoeven place toujours quelques plans sulfureux par-ci par-là mais pas toujours nécessaire. Le casting est très correcte et sûrement que quelques scènes n'ont pas été des plus facile pour les actrices. Paul Verhoeven démontre qu'il en a toujours sous le pieds à plus de 80ans.
Jmartine
Jmartine

176 abonnés 688 critiques Suivre son activité

3,5
Publiée le 28 juillet 2021
Benedetta est inspiré d’un fait historique de l’Italie du XVIIe siècle qui a conduit au bûcher la mère supérieure d’un couvent pour saphisme. Le livre de l’historienne Judith C. Brown « Sœur Benedetta, entre sainte et lesbienne » a servi de base au scénario. Le film met en perspective la religion, la condition féminine et la sexualité, des sujets récurrents du sulfureux réalisateur Paul Verhoeven.
Entrée au couvent en 1599 à neuf ans, en pleine épidémie de peste en Italie, Benedetta Carlini, issue d’une riche famille toscane, est prise de crises mystiques et devient une des sœurs les plus influentes. Quand arrive une jeune novice, celle-ci la séduit et l’entraîne dans des jeux interdits. Benedetta continue à avoir des visions et reçoit les stigmates du Christ. Jusqu’à ce que le Nonce (évêque ambassadeur du Saint-Siège) se rende sur place, averti des "déviances" de la none, incrédule à ses miracles.
Benedetta est plus près du « Nom de la Rose » de Jean-Jacques Annaud que du « Ida » de Pawel Pawlikoski ou des « Innocentes » d’Anne Fontaine pour ne citer que ces deux films de religieuses, relativement récents et que j’avais particulièrement aimés.
Paul Verhoeven se détache du satanisme, ce qui donne à son film un caractère plus sociétal. Il traite ainsi de front les thèmes contemporains de "l’amour d’en-face", de la foi, des excès fondamentalistes et de leur emprise sur les populations, alors que la grande peste (1347-1690) fait écho à la pandémie actuelle (le film a pourtant été tourné avant). La crudité est l’image de marque du "Hollandais violent" qui filme sans détour les corps en extase ou torturés, ce qui lui vaut l’attribut de provocateur.
Paul Verhoeven prend néanmoins du recul pour raconter cette invraisemblable histoire, en lui injectant un humour au second degré auquel le public est sensible, où le grotesque avoisine les envolées lyriques, les râles de jouissance les cris de détresse.
Piquante évocation du godemiché, en bois réalisé par le jeune novice Bartoloméa à partir de la statuette de la vierge de Benedetta…les tabous sont allègrement brisés…de l’amour lesbien à la défécation…le film enchaine les épisodes sur un rythme étourdissant… scènes de flagellation, passage de la comète, suicide, bucher prêt à servir…Personnellement je n’ai pas vu passer les 2h11 du film…exactement la longueur du « Nom de la Rose » !! qui m’avait fait le même effet...
Dans le rôle de Benedetta, Virginie Efira aurait pu recevoir le prix d’interprétation au dernier festival de Cannes, Charlotte Rampling est remarquable en mère supérieure digne et suspicieuse, pendant que Lambert Wilson déploie une vindicte tout en pugnacité.
Je n’avais pas aimé « Elle » le précédent film de Paul Verhoeven, mais avec « Benedetta », son sujet sulfureux, sa sensualité et sa violence graphique, il signe une de ses œuvres majeures.
LeFilCine
LeFilCine

190 abonnés 592 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 15 octobre 2021
Benedetta est sans aucun doute un grand film, car il est parsemé de nombreuses audaces visuelles et scénaristiques. De la part de Paul Verhoeven, c’est presque sans surprise, mais ses réalisations sont suffisamment rares pour s’en enthousiasmer une nouvelle fois. Le propos est très fort, parfois provocateur, et souvent sans compromis. C'est très audacieux, à la limite de l’outrance, mais c'est pour ça que l'on aime son cinéma. Il a, en plus, la chance d'avoir à son casting une Virginie Efira, une nouvelle fois formidable, convaincante de bout en bout. Quelques seconds rôles font également fortes impressions, surtout Charlotte Rampling et Lambert Wilson. L'ambiance moyenâgeuse est également bien rendue à l'écran, surtout lors des séquences liées à la peste, assez glaçantes. Âmes sensibles s’abstenir.
Jonathan M
Jonathan M

141 abonnés 1 528 critiques Suivre son activité

3,5
Publiée le 31 août 2021
Le cinéaste de la subversion, nous revient ici avec un récit christique qui détonne. Je suis toujours admiratif du cinéma qui prend la religion de front pour en faire un acte corrosif qui remet en cause une certaine bien-pensance. Ce serait extrêmement réducteur de considérer ce film seulement comme tel, mais indéniablement le parti pris est jouissif. A l'image de son interprète principale, Benedetta est autant charnelle que possédée. Comédie ou réelle ? Le personnage de la mère supérieure interprété par Charlotte Rampling est la clé du récit. Et quand on y repense à tête reposée, ce second rôle piquant est autant excitant qu'essentiel. Dans une démonstration de mise en scène, Paul Verhoeven reste parfois un peu trop dans les rails, et navigue à vu un cargo qu'il connaît par coeur. J'aurais souhaité une deuxième partie plus enlevé pour vraiment excéder de joie. Presque dommage.
tupper
tupper

144 abonnés 1 413 critiques Suivre son activité

3,5
Publiée le 18 juillet 2021
Si je devais d'écrire le film de Verhoeven en un seul mot ce serait : ambiguïté. Ambiguïté d’un récit historique mais aux thématiques, à l’image et à l’écriture contemporaines. Ambiguïté de Benedetta, religieuse mystique en liaison directe avec le Christ mais aussi lesbienne à la sexualité débridée, manipulatrice, dominatrice et avide de pouvoir. Ambiguïté de l’église et de ses représentants se posant en gardien de la moral et finalement pervertis, trompeurs et égoïstes. Pas de sophistication technique et de réalisation, comme pour assoir l’austérité de l’époque et concentrer l’attention sur le fond. Si c’est un peu dur au début, ça finit par fonctionner. Ce qui est certain c’est que le film ne laissera personne indiffèrent et ne contentera totalement aucune idéologie.
bladgik
bladgik

94 abonnés 541 critiques Suivre son activité

3,5
Publiée le 19 juillet 2021
Enfin le nouveau film de Paul. C'est toujours un événement malgré un thème qui me parlait pas plus que ça, il a réussi à me faire passer un bon moment de cinéma, avec la délicieuse Virginie effira qui joue très bien ainsi que le second rôle .
Comme toujours chez Paul Le sexe est très présent, encore une fois ce film n'en manque pas. Toujours ce côté sulfureux. Le film aurait mérité un montage plus court pour gagner en efficacité.
Mel A
Mel A

25 abonnés 55 critiques Suivre son activité

4,5
Publiée le 18 juillet 2021
Ce film, entre l'intimiste et le scandaleux est clairement magnifique.
Tout est maîtriser, les actions des acteurs, les différents plans, les éclairages,...
Cette histoire sur fond historique ne laissera pas le spectateur indifférent. Tantôt croyant, tantôt suspicieux, on ne cesse de se poser la question: est-ce vrai?

Virginie Effira a montré une fois de plus sont talent d'actrice, a porter ce film sur ces épaules, entre joie et froideur, douleur et pleure.
Bien sûr les performances de Charlotte Rampling et Lambert Wilson accompagnent à merveille cette religieuse tourmentée.
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