Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
36 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Charlotte Garson
Paul Verhoeven ne pouvait le prévoir, mais il donne avec ce film le coup d’envoi d’un retour de l’énergie vitale à l’écran dans ce qu’elle a de plus débordant : l’épique et le spectaculaire talonnés par l’intime, le film historique ponctué de dictions contemporaines, le jeu d’acteur dynamité par l’hystérie, le «charnel» porté jusqu’au sanguinolent – le tout traversé par un humour qui ne s’excuse jamais.
La Septième Obsession
par David Ezan
Ce qu'il y a de plus beau, dans Benedetta, c'est que Verhoeven abolit net les frontières entre corps et esprit, transcendances sexuelle et religieuse - autant de frontières du christianisme dogmatique.
Mad Movies
par Gilles Esposito
Un morceau de cinéma purement verhoevenien, enchevêtrant les thématiques jusqu'à aboutir à un ensemble tellement iconoclaste qu'il fera grincer les dents de tout le monde... y compris ceux qui aiment se croire iconoclastes.
Positif
par Philippe Rouyer
Ce mélange de visions fantastiques sulpiciennes et de scènes érotiques donne au film un air délicieux de cinéma bis italien touché par des aspirations mystiques, bravant le risque du kitsch pour atteindre au sublime.
20 Minutes
par Caroline Vié
Virginie Efira retrouve Paul Verhoeven avec lequel elle avait déjà tourné dans Elle et qui lui offre le rôle en or d’une nonne découvrant le plaisir.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Benedetta n’est donc pas forcément un grand film de mise en scène, mais ce qu’il orchestre de rapports de force entre les femmes elles-mêmes et au sein de la hiérarchie cléricale est fascinant.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Critikat.com
par Josué Morel
Projet décidément étonnant, et déstabilisant, que celui de Verhoeven, qui consiste à inoculer à travers un spectacle parfois informe la fièvre de la croyance.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par Anna Fournier & Vincent Nicolet
Comme un venin espiègle qu’il ne peut s’empêcher de distiller dans ses films, Verhoeven compose avec le scandale. Il n’est jamais gratuit, jamais idiot, toujours pertinent et sert parfaitement ses obsessions personnelles.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Elle
par Marguerite Baux
Un cadeau surprise pour les amateurs de too much et de morale tangente.
Femme Actuelle
par La Rédaction
Cette histoire intense, mystique et charnelle confirme, voire sanctifie l'étonnante versatilité du talent de Virginie Efira.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Benedetta boucle une boucle qui serait le condensé d’un auteur créatif et reconnaissable entre tous, et qui signe une de ses œuvres majeures.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Humanité
par Michaël Mélinard
Dans cette œuvre, et même si c’est bien Virginie Efira qui incarne avec talent le rôle-titre, le cinéaste signe un portrait féminin multicéphale et plurigénérationnel, dont la découverte résonne avec une acuité accrue.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Nicolas Schaller
Une délectable satire du pouvoir, doublée d’un portrait de femme comme il les aime : possédée et manipulatrice, l’ambiguë Benedetta triomphe du patriarcat délétère en se montrant encore plus perverse.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Un vrai jeu de massacre, accentué par des dialogues tantôt aiguisés comme des poignards, tantôt d’une incroyable drôlerie.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
POUR : Verhoeven met le spectateur dans la position du voyeur pour un film éminemment politique, audacieux et décalé, qui assume ses excès.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Le cinéaste néerlandais met en scène une Virginie Efira époustouflante dans le rôle d’une bonne sœur saphique au XVIIe siècle.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Renaud Baronian
Un peu long par moments, pas toujours accessible, « Benedetta » n’en est pas moins un grand film, porté par une Virginie Efira qui livre un prestation impressionnante.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Victoria Gairin
Sulfureuse, dérangeante, cette satire de l'Église (incarnée par les excellents Lambert Wilson et Charlotte Rampling) oscille sans cesse entre trivial et sacré, drame et outrance, farce et tragédie. Du grand Verhoeven.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Remarquablement interprété par Virginie Efira dans le rôle-titre et par Charlotte Rampling, Lambert Wilson et Olivier Rabourdin dans des rôles pas si secondaires, le film ne laissera personne indifférent.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Libération
par Luc Chessel
Imaginez un film de Paul Verhoeven qui s’appuierait sur les conquêtes définitives de Elle (2016), le cruel retournement que celui-ci imprimait aux formes exsangues, télévisuelles, d’un Cinéma-Français squatté puis écrabouillé comme coquille vide, pour retourner et redescendre vers les bas-fonds baroques de Showgirls (1995) ou de la Chair et le Sang (1985), grands spectacles du corps sous le règne de la structure.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marianne
par Olivier De Bruyn
Malgré l’emphase et les outrances kitsch de Benedetta qui renvoient aux premières amours surréalistes de Paul Verhoeven et à son pedigree de vieux punk, le film frappe par son audace et par son alliance de noirceur et d’humour noir.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Première
par Frédéric Foubert
C’est une excellente histoire, dans un registre historique et romanesque à la Black Book, que Verhoeven raconte dans un crescendo assez maîtrisé, servi par des comédiens en grande forme.
La critique complète est disponible sur le site Première
Rolling Stone
par Sophie Rosemont
Décidément, même à bientôt 83 ans, le cinéaste néerlandais ne craint toujours ni les foudres du blasphème ni les flammes de l’enfer, et c’est ce qui rend ses films de plus en plus captivants.
Télérama
par Jacques Morice
POUR : Le film enchaîne les épisodes à une vitesse étourdissante. Entre des scènes d’imprécation et de flagellation, le passage d’une comète dans un ciel violet et un suicide, un bûcher dressé et une résurrection, la fiction est riche de rebondissements.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Julien Rocher
Un nouveau portrait de femme flamboyant de la part du Hollandais violent.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Bande à part
par Jo Fishley
Paul Verhoeven s'applique à un art du grotesque pour cadrer l'excès pulsionnel des amours lesbiennes interdites de Benedetta.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Closer
par La Rédaction
Un sacré défi relevé par une Virginie Efira saphique.
Les Inrockuptibles
par Murielle Joudet
En racontant la vie d’une nonne lesbienne au 17e siècle, Verhoeven filme la chair et l’extase – et continue d’emmêler les liens entre simulation et vérité.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Dans le rôle, tout en ambiguïté, de cette mystique homosexuelle, Virginie Efira impressionne, tandis que Paul Verhoeven réserve ses flèches au clergé, son pouvoir, sa corruption, son hypocrisie, tout en épargnant relativement la religion.
Ecran Large
par Simon Riaux
L'humour potache fait parfois mouche, quelques idées demeurent prometteuses, tandis que Lambert Wilson et Charlotte Rampling livrent leur meilleure performance depuis plusieurs années. Dommage que cela soit noyé au coeur d'un tourbillon grotesque dont la laideur n'a d'égal que les approximations d'écriture.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
CONTRE : Tout sonne faux ou anachronique, que ce soit les décors de la petite ville de Pescia que les physiques des protagonistes et leur façon de s'exprimer.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Mais le réalisateur de Elle et Basic Instinct continue d'avoir une image bizarre de la femme.
Paris Match
par Karelle Fitoussi
Outrancier, à la limite du kitsch, ce soap opera médiéval anti-curé a-t-il encore les arguments pour choquer ? Pas si sûr…
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
La Croix
par Céline Rouden
Le cinéaste néerlandais, fidèle à son style boursouflé, tire de l’histoire vraie d’une religieuse accusée d’homosexualité dans l’Italie du XVIIe siècle un film provocateur et kitsch.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Une puérilité pareille devrait être célébrée dans les cours de récréation ou réservée aux spectacles de Guignol. Bizarrement, Verhoeven passe pour un auteur. Ce mystère est aussi vaste que celui de la foi.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Télérama
par Cécile Mury
CONTRE : L’interprétation solide de Virginie Efira n’est pas en cause. Mais son corps même, filmé sous toutes les coutures et tous les voiles, affirme une modernité solaire, une santé anachronique. Comme si sa beauté contemporaine résistait envers et contre tout aux manigances d’un vieux renard fatigué.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
Paul Verhoeven ne pouvait le prévoir, mais il donne avec ce film le coup d’envoi d’un retour de l’énergie vitale à l’écran dans ce qu’elle a de plus débordant : l’épique et le spectaculaire talonnés par l’intime, le film historique ponctué de dictions contemporaines, le jeu d’acteur dynamité par l’hystérie, le «charnel» porté jusqu’au sanguinolent – le tout traversé par un humour qui ne s’excuse jamais.
La Septième Obsession
Ce qu'il y a de plus beau, dans Benedetta, c'est que Verhoeven abolit net les frontières entre corps et esprit, transcendances sexuelle et religieuse - autant de frontières du christianisme dogmatique.
Mad Movies
Un morceau de cinéma purement verhoevenien, enchevêtrant les thématiques jusqu'à aboutir à un ensemble tellement iconoclaste qu'il fera grincer les dents de tout le monde... y compris ceux qui aiment se croire iconoclastes.
Positif
Ce mélange de visions fantastiques sulpiciennes et de scènes érotiques donne au film un air délicieux de cinéma bis italien touché par des aspirations mystiques, bravant le risque du kitsch pour atteindre au sublime.
20 Minutes
Virginie Efira retrouve Paul Verhoeven avec lequel elle avait déjà tourné dans Elle et qui lui offre le rôle en or d’une nonne découvrant le plaisir.
CinemaTeaser
Benedetta n’est donc pas forcément un grand film de mise en scène, mais ce qu’il orchestre de rapports de force entre les femmes elles-mêmes et au sein de la hiérarchie cléricale est fascinant.
Critikat.com
Projet décidément étonnant, et déstabilisant, que celui de Verhoeven, qui consiste à inoculer à travers un spectacle parfois informe la fièvre de la croyance.
Culturopoing.com
Comme un venin espiègle qu’il ne peut s’empêcher de distiller dans ses films, Verhoeven compose avec le scandale. Il n’est jamais gratuit, jamais idiot, toujours pertinent et sert parfaitement ses obsessions personnelles.
Elle
Un cadeau surprise pour les amateurs de too much et de morale tangente.
Femme Actuelle
Cette histoire intense, mystique et charnelle confirme, voire sanctifie l'étonnante versatilité du talent de Virginie Efira.
Franceinfo Culture
Benedetta boucle une boucle qui serait le condensé d’un auteur créatif et reconnaissable entre tous, et qui signe une de ses œuvres majeures.
L'Humanité
Dans cette œuvre, et même si c’est bien Virginie Efira qui incarne avec talent le rôle-titre, le cinéaste signe un portrait féminin multicéphale et plurigénérationnel, dont la découverte résonne avec une acuité accrue.
L'Obs
Une délectable satire du pouvoir, doublée d’un portrait de femme comme il les aime : possédée et manipulatrice, l’ambiguë Benedetta triomphe du patriarcat délétère en se montrant encore plus perverse.
La Voix du Nord
Un vrai jeu de massacre, accentué par des dialogues tantôt aiguisés comme des poignards, tantôt d’une incroyable drôlerie.
Le Journal du Dimanche
POUR : Verhoeven met le spectateur dans la position du voyeur pour un film éminemment politique, audacieux et décalé, qui assume ses excès.
Le Monde
Le cinéaste néerlandais met en scène une Virginie Efira époustouflante dans le rôle d’une bonne sœur saphique au XVIIe siècle.
Le Parisien
Un peu long par moments, pas toujours accessible, « Benedetta » n’en est pas moins un grand film, porté par une Virginie Efira qui livre un prestation impressionnante.
Le Point
Sulfureuse, dérangeante, cette satire de l'Église (incarnée par les excellents Lambert Wilson et Charlotte Rampling) oscille sans cesse entre trivial et sacré, drame et outrance, farce et tragédie. Du grand Verhoeven.
Les Echos
Remarquablement interprété par Virginie Efira dans le rôle-titre et par Charlotte Rampling, Lambert Wilson et Olivier Rabourdin dans des rôles pas si secondaires, le film ne laissera personne indifférent.
Libération
Imaginez un film de Paul Verhoeven qui s’appuierait sur les conquêtes définitives de Elle (2016), le cruel retournement que celui-ci imprimait aux formes exsangues, télévisuelles, d’un Cinéma-Français squatté puis écrabouillé comme coquille vide, pour retourner et redescendre vers les bas-fonds baroques de Showgirls (1995) ou de la Chair et le Sang (1985), grands spectacles du corps sous le règne de la structure.
Marianne
Malgré l’emphase et les outrances kitsch de Benedetta qui renvoient aux premières amours surréalistes de Paul Verhoeven et à son pedigree de vieux punk, le film frappe par son audace et par son alliance de noirceur et d’humour noir.
Première
C’est une excellente histoire, dans un registre historique et romanesque à la Black Book, que Verhoeven raconte dans un crescendo assez maîtrisé, servi par des comédiens en grande forme.
Rolling Stone
Décidément, même à bientôt 83 ans, le cinéaste néerlandais ne craint toujours ni les foudres du blasphème ni les flammes de l’enfer, et c’est ce qui rend ses films de plus en plus captivants.
Télérama
POUR : Le film enchaîne les épisodes à une vitesse étourdissante. Entre des scènes d’imprécation et de flagellation, le passage d’une comète dans un ciel violet et un suicide, un bûcher dressé et une résurrection, la fiction est riche de rebondissements.
aVoir-aLire.com
Un nouveau portrait de femme flamboyant de la part du Hollandais violent.
Bande à part
Paul Verhoeven s'applique à un art du grotesque pour cadrer l'excès pulsionnel des amours lesbiennes interdites de Benedetta.
Closer
Un sacré défi relevé par une Virginie Efira saphique.
Les Inrockuptibles
En racontant la vie d’une nonne lesbienne au 17e siècle, Verhoeven filme la chair et l’extase – et continue d’emmêler les liens entre simulation et vérité.
Télé 7 Jours
Dans le rôle, tout en ambiguïté, de cette mystique homosexuelle, Virginie Efira impressionne, tandis que Paul Verhoeven réserve ses flèches au clergé, son pouvoir, sa corruption, son hypocrisie, tout en épargnant relativement la religion.
Ecran Large
L'humour potache fait parfois mouche, quelques idées demeurent prometteuses, tandis que Lambert Wilson et Charlotte Rampling livrent leur meilleure performance depuis plusieurs années. Dommage que cela soit noyé au coeur d'un tourbillon grotesque dont la laideur n'a d'égal que les approximations d'écriture.
Le Journal du Dimanche
CONTRE : Tout sonne faux ou anachronique, que ce soit les décors de la petite ville de Pescia que les physiques des protagonistes et leur façon de s'exprimer.
Ouest France
Mais le réalisateur de Elle et Basic Instinct continue d'avoir une image bizarre de la femme.
Paris Match
Outrancier, à la limite du kitsch, ce soap opera médiéval anti-curé a-t-il encore les arguments pour choquer ? Pas si sûr…
La Croix
Le cinéaste néerlandais, fidèle à son style boursouflé, tire de l’histoire vraie d’une religieuse accusée d’homosexualité dans l’Italie du XVIIe siècle un film provocateur et kitsch.
Le Figaro
Une puérilité pareille devrait être célébrée dans les cours de récréation ou réservée aux spectacles de Guignol. Bizarrement, Verhoeven passe pour un auteur. Ce mystère est aussi vaste que celui de la foi.
Télérama
CONTRE : L’interprétation solide de Virginie Efira n’est pas en cause. Mais son corps même, filmé sous toutes les coutures et tous les voiles, affirme une modernité solaire, une santé anachronique. Comme si sa beauté contemporaine résistait envers et contre tout aux manigances d’un vieux renard fatigué.