Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Transfuge
par François Bégaudeau
(...) bien plus qu’un film "social". Le magistral "L’Usine de rien" est un véritable essai filmé.
Cahiers du Cinéma
par Nicholas Elliott
En prenant le temps de respirer, ce film tiraillé entre la rage et l’impuissance laisse paradoxalement une impression d’apaisement. C’est ainsi qu’il permet au spectateur de prendre place aux côtés de ces ouvriers cherchant à fabriquer leur avenir.
Critikat.com
par Thomas Choury
C’est précisément parce qu’il fait des ouvriers les acteurs et les juges de cette tentative de renouvellement de l’analyse et des solutions que L’Usine de rien ne s’effondre jamais dans une forme de pensum.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
On navigue entre la farce, le pamphlet, le film idéologique, la recherche cinématographique et la remise en question stimulante d'un système que le film fait joyeusement voler en éclats.
Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Marcadé
Un film-laboratoire qui, avec des hauts et des bas, invente vaillamment une pensée et une forme.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Marcos Uzal
Une réjouissante mise en abyme qui allie analyse politique et comédie musicale.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Eithne O'Neill
Proche des visages, la caméra saisit le rôle capital des discussions entre les grévistes. L’authenticité des échanges entre la direction et les syndiqués, entre idéal et réalité, entre courage et désespoir scande l’intrigue.
Studio Ciné Live
par Thierry Chèze
A la fois baroque et réaliste, jamais ennuyeux.
Télérama
par Pierre Murat
Ce qui stupéfie dans cette longue fresque, c’est l’harmonie que le réalisateur (Pedro Pinho fait partie d’un collectif de cinéastes portugais, Terratreme) parvient à instaurer entre le privé et le collectif.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
CNews
par La rédaction
Une œuvre entre fable, comédie syndicale et documentaire.
L'Humanité
par Genica Brezinski
Cette farce prend la forme d’une comédie musicale où les ouvriers chantent l’espoir. Et c’est à ce moment, dans cette dernière partie, que le jour se lève sur une autocritique peut-être maladroite mais aussi désespérée que salutaire, dans laquelle Zé dénonce les intentions du cinéaste, qui ne voit en ses camarades qu’une matière cinématographique (...).
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Xavier Leherpeur
De l'histoire vraie de ces ouvriers qui se retrouvent en charge d'une usine abandonnée par la direction, créant au passage un autre rapport au travail plus autonome et digne, le cinéaste filme sans dolorisme et avec une fierté bravache la résistance du prolétariat, menacé d'extinction mais toujours debout.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par Nathalie Simon
Un pamphlet qui incite à la réflexion.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
A défaut d’être rassurante, la traversée captive dans sa façon inspirée de combiner réalisme et fantaisie. Mais sa réalisation perd de son mordant au fil de scènes trop longues.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Mathieu Macheret
En fantasmant ainsi une jonction arbitraire entre intellectuels et main-d’oeuvre, "L’Usine de rien" perd alors de sa densité. L’ensemble n’en brille pas moins par son constant effort dialectique, celui de dépasser les apories du présent en effectuant, à l’aveugle, un saut périlleux vers l’avenir.
Première
par Thierry Chèze
A l’écran, on ne sait donc jamais ou presque à quoi s’attendre. Pinho et ses complices nous embarquent dans un mix parfait entre réalisme et baroque. L’art de parler d’emploi en faisant fi de tout mode d’emploi.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Julien Dugois
"L’Usine de rien" est un film laborieux, fataliste et même idéologiquement mensonger.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Transfuge
(...) bien plus qu’un film "social". Le magistral "L’Usine de rien" est un véritable essai filmé.
Cahiers du Cinéma
En prenant le temps de respirer, ce film tiraillé entre la rage et l’impuissance laisse paradoxalement une impression d’apaisement. C’est ainsi qu’il permet au spectateur de prendre place aux côtés de ces ouvriers cherchant à fabriquer leur avenir.
Critikat.com
C’est précisément parce qu’il fait des ouvriers les acteurs et les juges de cette tentative de renouvellement de l’analyse et des solutions que L’Usine de rien ne s’effondre jamais dans une forme de pensum.
Le Dauphiné Libéré
On navigue entre la farce, le pamphlet, le film idéologique, la recherche cinématographique et la remise en question stimulante d'un système que le film fait joyeusement voler en éclats.
Les Fiches du Cinéma
Un film-laboratoire qui, avec des hauts et des bas, invente vaillamment une pensée et une forme.
Libération
Une réjouissante mise en abyme qui allie analyse politique et comédie musicale.
Positif
Proche des visages, la caméra saisit le rôle capital des discussions entre les grévistes. L’authenticité des échanges entre la direction et les syndiqués, entre idéal et réalité, entre courage et désespoir scande l’intrigue.
Studio Ciné Live
A la fois baroque et réaliste, jamais ennuyeux.
Télérama
Ce qui stupéfie dans cette longue fresque, c’est l’harmonie que le réalisateur (Pedro Pinho fait partie d’un collectif de cinéastes portugais, Terratreme) parvient à instaurer entre le privé et le collectif.
CNews
Une œuvre entre fable, comédie syndicale et documentaire.
L'Humanité
Cette farce prend la forme d’une comédie musicale où les ouvriers chantent l’espoir. Et c’est à ce moment, dans cette dernière partie, que le jour se lève sur une autocritique peut-être maladroite mais aussi désespérée que salutaire, dans laquelle Zé dénonce les intentions du cinéaste, qui ne voit en ses camarades qu’une matière cinématographique (...).
L'Obs
De l'histoire vraie de ces ouvriers qui se retrouvent en charge d'une usine abandonnée par la direction, créant au passage un autre rapport au travail plus autonome et digne, le cinéaste filme sans dolorisme et avec une fierté bravache la résistance du prolétariat, menacé d'extinction mais toujours debout.
Le Figaro
Un pamphlet qui incite à la réflexion.
Le Journal du Dimanche
A défaut d’être rassurante, la traversée captive dans sa façon inspirée de combiner réalisme et fantaisie. Mais sa réalisation perd de son mordant au fil de scènes trop longues.
Le Monde
En fantasmant ainsi une jonction arbitraire entre intellectuels et main-d’oeuvre, "L’Usine de rien" perd alors de sa densité. L’ensemble n’en brille pas moins par son constant effort dialectique, celui de dépasser les apories du présent en effectuant, à l’aveugle, un saut périlleux vers l’avenir.
Première
A l’écran, on ne sait donc jamais ou presque à quoi s’attendre. Pinho et ses complices nous embarquent dans un mix parfait entre réalisme et baroque. L’art de parler d’emploi en faisant fi de tout mode d’emploi.
aVoir-aLire.com
"L’Usine de rien" est un film laborieux, fataliste et même idéologiquement mensonger.