Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
AZZZO
271 abonnés
739 critiques
Suivre son activité
4,0
Publiée le 26 février 2023
Spielberg raconte Spielberg. Indéniablement, c'est un très beau film et un magnifique hommage au cinéma. C'est un récit qui touche par son intimité puisque Spielberg se livre comme il ne l'avait jamais fait sur les joies et tourments de sa vie de famille. Pour autant, la réalisation reste très classique. Petit regret pour un réalisateur qui a tant transformé le cinéma et qui conclue son film en citant John Ford : "Quand la ligne d'horizon est en bas ou en haut c'est intéressant, quand elle est au milieu on s'ennuie". Pas faux.
The Fabelmans dévoile l'un des plus grands talents de Spielberg, celui de raconter des histoires. En 2h30, la narration qui se déroule avec beaucoup de tendresse et une pointe de nostalgie nous apprend comment s'est construite la passion du réalisateur pour le cinéma. Sont aussi largement abordés les thèmes de l'antisémitisme, de la famille, de l'art, avec une grande fluidité. Les acteur·trices sont excellent·es et on se laisse porter avec ravissement par ces souvenirs personnels, présentés par un très grand cinéaste de 75 ans.
The Fabelmans raconte l’histoire d’un jeune homme passionné de cinéma et qui va se construire avec sa caméra. Du grand cinéma avec une réalisation somptueuse, du grand Spielberg, qui met beaucoup de lui dans ce film. C’est profondément touchant. Gabriel LaBelle est incroyable.
Je vu ce film et m'y suis précipité sachant que c'était un "Spielberg. A. l'époque nous qualifions ce type de film dans la catégorie des "Navets". 2h1/2 de film. 1 heure de sommeil profond. Il est regrettable que Spielberg ait perdu tant de temps à bâtir un tel niveau de médiocrité cinématographique. Ca me rappelle les séries Italiennes de films dramatiques d'après guerre, qui décrivaient les frasques familiales sans intérêt. Si vous avez 2h1/2 à perdre et quelques Euros, allez-y, mais ne vous y précipitez pas.
Beaucoup de mal à comprendre la hype autour du dernier Spielberg, ne serait-ce dû qu'à son prestigieux patronyme ? La question se pose en tout cas. Si l'on ne peut rien redire sur la mise en scène du "maître", l'intérêt pour son début de vie en quelque sorte reste assez limité. Car malgré des comédiens extrêmement convaincants, on s'ennuie ferme ! Tout est si banal ici, j'ai déjà ma vie, je n'ai aucune envie d'en suivre une autre pendant 2h30 et encore moins la partie sans doute la moins intéressante de cette dernière. Alors oui on comprend bien d'où vient la passion de l'ami Spielberg mais ce quasi biopic s'arrête exactement là où elle débute à l'international ! Rien sur ses premiers métrages ! Ça fait long l'attente ...
Quelle tristesse de voir ce grand réalisateur commettre ce navet interminable, sirupeux, sans véritable direction d’acteurs qui, livres à eux mêmes, en rajoutent dans le mélo à grands coups d’expressions convenues.
Rien n’est intéressant dans ce film, tristement banal et caricatural qui veut décrire la naissance d’une passion…
Quant à la description des ´aventures’ d’une famille juive ( qui ne pratique même pas sa religion) autant regarder un film de Woody Allen, au moins c’est souvent drôle et autrement fin.
A éviter absolument si l’on préfère garder l’admiration qu’on a pour l’œuvre de Spielberg.
bonjour alors là j'ai vu des films nuls mais là ont bas des records 2 heures 25 d’ennuis sur la vie de famille d'un enfant et de ses parents et rien d'autre sur sa vie de cinéaste une arnaque
Splendide et poignante évocation de la découverte d’une vocation, intimiste et largement autobiographique, formellement magistral, une déclaration d’amour au Cinéma (et à son public) par l’une de ses figures les plus marquantes du dernier demi-siècle. La leçon express de John Ford (l’idée de le faire interpréter par David Lynch, géniale) est brillante, le dernier plan facétieux autant hilarant que signifiant et finalement émouvant. On espère qu’il continuera longtemps à faire dérailler des trains.
J'ai essayé et je n'ai pas pu aller jusqu'au bout! J'avoue que le vie de Steven ne m'intéresse pas trop. Ce qui me plait chez lui c'est Ready player one, Pentagon papers, Tintin, Gremlins, les Indiana Jones, Minority Report, Jurassic park, les dents de la mer. Pour le reste.......
The Fabelmans me réconcilie avec Spielberg, après pas mal de films décevants (inutile remake de West Side Story). Spielberg m'a fait aimer le cinéma, adolescent. Ici il atteint la quintessence d'un cinéma subtil et émouvant, qui est encore plus fort si on apprécie l'œuvre du cinéaste. La fin est juste géniale. La meilleure fin de tous ses films.
Après un début intéressant et prometteur qui évoque la magie du cinéma, l'enfance, la passion créatrice, le film s'enlise durant plus d'une heure sur une histoire autour de la mère qui a épuisé son sujet au bout d'une demi heure. On tourne en rond et j'avoue que j'ai regardé ma montre. Comme Amistad ou Lincoln c'est trop didactique. Rien n'est implicite et le réalisateur rabâche, insiste, souligne. A croire que le cinéaste pense que son public n'est pas capable de comprendre la subtilité. J'attendais avec ce film un supplément d'âme car on le présentait comme LE film personnel du roi d'Hollywood. Je trouve que "The Fabelmans" est ce à quoi on peut s'attendre, un mélo sans grande personnalité. Spielberg reste Spielberg, un conteur merveilleux qui maitrise sa technique et sait rendre n'importe quel moment spectaculaire. C'est aussi le roi de la mise en scène. Hélas dès qu'il s'agit d'émotion, de drame, de poésie ça devient un cinéaste Lambda. Cet homme est dans le contrôle et c'est peut-être son héritage paternel. J'ai toujours adoré ce magicien du cinéma mais déploré son manque de personnalité, de tempérament (comparé à Polanski pour ne citer que lui). "The Fabelmans" illustre parfaitement cela. Sans être le chef d'oeuvre c'est un joli conte avec quelques beaux moments. Le conte d'un grand enfant qui parle de son enfance.
Film assez creux, qui a du mal a nous transporter dans ses emotions. C'est le recit plutot banal d'un gamin qui a un reve, celui de faire de sa passion son metier. On a vu ca 100 fois. Il manque de la profondeur de narration, on aurait pu explorer le coté "ce que la camera voit que l'oeil ne voit pas", donner un angle au recit. Mais non, cela reste plat. Le jeu des acteurs reste bon cependant