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    The Fabelmans
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    Patrick
    Patrick

    4 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 28 février 2023
    Difficile de comprendre les critiques de ce film. Le nom de Spielberg a du jouer en sa faveur. On se retrouve observateur d'une famille moyenne avec des problèmes normaux. Pas très utile d'aller au cinéma pendant 2h31 pour cela. Je n'ai pas perçu la portée poétique de tout cela, que d'autres critiques mettent en avant. Bref un film très banal pendant lequel je me suis ennuyé et que je ne reverrai jamais.
    Mr cinetok
    Mr cinetok

    233 abonnés 284 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 26 février 2023
    Cette homme qui n'a plus rien à prouver au cinéma, au point de faire le film le plus personnel de sa vie avec le maestria habituel... 2h30 sublime, drôle, et émouvante sur des passages et morceaux choisis qui ont marqués sa vie ...les drames, les joies et les passions qui ont forgés sa personnalité puis guidé la voie vers la carrière cinématographique incroyable et le succès planétaire qu'on lui connaît. Agé de 76 ans aujourd'hui, à contre courant des blockbusters , Son film fera parti à jamais de l'histoire du succès d'un cinéma générationnelle qui tant a disparaître ou pas (peut être l'explication de l'échec commercial annoncé) avec de la pellicule 8mm, 16mm, 35mm et la sueur qui va avec . Une nostalgie, salvatrice et indispensable pour tout les vrais amoureux du cinéma d'hier , d'aujourd'hui et demain...un très très très grand Spielberg.
    Chevtchenko2
    Chevtchenko2

    39 abonnés 1 143 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 20 mars 2023
    Spielberg prouve qu'à 76 ans, il est toujours un conteur hors pair, celui qui m'a fait aimé le cinéma, tout simplement. Dans "The Fabelmans", il nous livre son film le plus intimiste, véritable déclaration d'amour pleine de tendresse au 7ème art et à sa famille. Empreint de bienveillance et d'émotion, joué par des acteurs magnifiques, The Fabelmans est une histoire-monde, simple comme bonjour, qui fait pleurer le sourire aux lèvres et qui fera vibrer les cinéphiles. Deux heures trente de bonheur.
    Audrey L
    Audrey L

    560 abonnés 2 426 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 janvier 2023
    Steven Spielberg se dévoile, tel un sympathique grand-père qui s’assoie pour vous raconter sa vie, mélangeant quelques éléments, confondant d'autres, évoquant de terribles moments de vie avec une légèreté qui sent le recul avec le temps, et vous passionnant à chaque instant. The Fabelmans n'est donc pas une auto-biographie exacte (pour cela, on vous conseille les magnifiques docus Arte), mais plutôt une divagation personnelle sur un passé qu'il fait sien. On retrouve donc Samuel (le véritable nom de Steven Spielberg) dans une famille juive au papa créateur d'ordinateur et à la maman pianiste, aux trois sœurs aux caractères bien trempés, et dont les déménagements ont peu à peu raison du bonheur familial. Toutes les grandes lignes y sont, mettant en lumière la passion innée pour la narration, pour le curieux objet qu'est le film, pour l’œil qui sait trouver un angle magique (transformant une maquette de train en locomotive immense) qui a touché le jeune "Sam". Dans ce rôle, le jeune Gabriel LaBelle (qui, maquillé, vous ferait jurer de voir l'original) est brillant, rivalisant amicalement avec la performance (comme toujours : excellente) de Paul Dano en père qui se cache sa propre tristesse, et l'on découvre Seth Rogen dans un rôle sérieux qui lui va bien au teint. A cela on rajoutera tous les plans incroyables qui nous rappellent qui est aux commandes (le train miniature, les copains au cinéma disposés à la West Side Story, les longs regards en gros plans qui en disent beaucoup...), couplé à un amour du cinéma qui nous fait forcément plaisir (les tournages bricolés sentent la bienveillance sincère). Qu'on se le dise pourtant, The Fabelmans n'est pas sans défauts, ainsi il est un peu trop long (quelques problèmes de rythme dans la deuxième heure), parfois niais (la dernière partie, avec la spoiler: rédemption-éclair du garçon antisémite, la demande de pardon de la mère qui ressemble à du forcing émotif, et le caméo drôle - mais totalement gratuit - de David Lynch, qui fait terminer le film de façon assez abrupte : juste le temps de râler qu'il "n'a rien écouté, on a dit pas d'horizon au mil... Oh ! Je me suis fait avoir."
    ), mais reste dans l'ensemble un beau divan de psy qui explique beaucoup de la vision narrative du réalisateur. Car, si vous venez pour voir la "carrière" de Spielberg, autant vous prévenir : The Fabelmans évoque seulement son enfance, et s'arrête juste avant son premier grand succès télévisuel (Duel). Peut-être est-ce là une façon de créer un film plus intime, dont on connaît moins les ressorts par avance (si l'on connaît sa filmo par cœur), de faire découvrir l'enfant triste derrière l'homme qui a toujours cherché à mettre en scène des enfances cabossées, mais qui finissent bien. The Fabelmans est une ode aux passionnés de cinéma, un divan de psy pour un des plus grands réalisateurs, et un pansement (et le bisou de maman) sur les déceptions d'enfance qui aident à grandir... Tout cela.
    Ricco92
    Ricco92

    181 abonnés 2 092 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 17 mars 2023
    The Fabelmans n’est pas le dernier projet de Steven Spielberg et cela peut surprendre. En effet, à travers ce film, le réalisateur de Rencontres du troisième type livre une œuvre très fortement autobiographique qui multiplie les clés de lecture de ses réalisations précédentes. La typographie du titre et l’ouverture en voix-off peut faire penser à Woody Allen et cela n’est pas innocent car le film est une véritable psychanalyse de Steven Spielberg. En choisissant l’option assez rare au cinéma de l’autobiographie, on pourrait craindre une œuvre prétentieuse et égoïste et pourtant The Fabelmans est tout le contraire car il s’apparente plus à une déclaration d’amour au cinéma et à ses parents malgré les rapports compliqués qu’il a pu avoir avec eux (il est resté fâché avec son père pendant de nombreuses années ; les personnages de parents sont souvent maltraités dans son œuvre…). En explicitant des informations concernant sa famille, il permet au spectateur de mieux comprendre les comportements de certains personnages de ses précédentes œuvres spoiler: (l’attitude étrange de la mère dans E.T., l’extra-terrestre ou l’adultère maternel dans Arrête-moi si tu peux…)
    .
    Si The Fabelmans est un film véritablement introspectif, il n’oublie pas d’être une œuvre purement cinématographique qui passionne son spectateur. En effet, visuellement le film est sublime et regorge d’idées de cinéma spoiler: (le dernier plan du film est d’ailleurs peut-être le premier de sa carrière où le cinéaste brise le quatrième mur en faisant référence à un propos tenu par John Ford quelques secondes auparavant)
    : Spielberg a toujours parlé le langage de la caméra et continue à le faire encore aujourd’hui car cela rend ses histoires universelles. Grâce à sa maitrise totale et une interprétation sans faille (Gabriel LaBelle, Michelle Williams, Paul Dano et Seth Rogen sont tous excellents spoiler: et il est difficile de ne pas apprécier l’incarnation de John Ford par cet autre grand réalisateur qu’est David Lynch
    ).
    Ainsi, The Fabelmans est une œuvre cinématographique passionnante et un élément indispensable pour posséder le maximum de clés d’interprétation du travail de Steven Spielberg qui reste et restera un des plus grands réalisateurs du cinéma hollywoodien.
    Louis DCiné
    Louis DCiné

    169 abonnés 810 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 mars 2023
    Admirable! J'ai enfin vu une réalisation de Monsieur Spielberg au cinéma! Il s'agit certainement de son métrage le plus personnel et en même temps le moins spectaculaire. À 76 ans, l'homme propose un auto-boipic centré sur sa jeunesse, en nous racontant ses débuts pour l'amour du cinéma en parallèle à sa vie familiale mouvementée. "The Fabelmans" détient 7 nominations aux Oscars 2023 dont celui de "Meilleur film". Il est l'un des favoris pour remporter le plus de statuettes. A mon sens, il a plus de mérite qu'un "Everything everywhere all at once" par exemple (qui lui a 11 nominations). Si j'ai été séduit par la première heure de "The Fabelmans", j'ai malheureusement eu le temps assez long par la suite. Je trouve qu'il y a beaucoup de passages plutôt dispensables, qui n'ajoute pas forcément d'intensité au scénario ou de profondeur aux personnages. En fait, je crois que j'aurais voulu en voir plus, que le film ne se résume pas qu'à l'enfance de l'un des plus grands réalisateurs, si ce n'est le plus grand réalisateur de l'histoire à mes yeux. Certes, l'objectif est de nous montrer en quoi le cinéma lui a permis de se construire et faire face aux péripéties qui tournent autour de son plus jeune âge. Mais j'ai eu cette légère frustration en sortant de la salle, qui me fait dire que j'espérais un long métrage plus marquant et poignant. Je n'ai par exemple pas été passionné par la partie où le protagoniste est au lycée. Je m'attendais également à être plus touché émotionnellement. Certaines scènes m'ont fait réagir, par le rire, un sourire sincère ou un sentiment de tristesse, sachant qu'on s'attache rapidement à ce jeune Sammy Fabelman. Mais au final, je pense ne pas avoir apprécié le film à sa juste valeur. Dans tous les cas, je suis content de l'avoir vu. J'ai très hâte de voir les résultats des Oscars. Même si je n'ai pas forcément adoré autant "The Fabelmans" que beaucoup d'autres, le film mérite des récompenses, surtout en pensant au fait qu'il n'aura pas trouvé son succès à travers le box office us (un peu comme "Babylon" d'ailleurs). La direction artistique est aux petits oignons. L'immersion au milieu du XXIe siècle est totalement réussie. La mise en scène est géniale. Les acteurs, notamment ceux jouant les parents, sont très forts. La bande son de John Williams (signant ici sa dernière collaboration avec Spielberg) n'est pas si présente dans le film mais est tendre, jolie et agréable à écouter. Bref, ce portrait intimiste est un très beau film mais trop étiré en longueur pour moi.
    LeFilCine
    LeFilCine

    165 abonnés 561 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 mars 2023
    Années après années, Steven Spielberg continue à tracer sa route sans retrouver le succès qu’il a connu par le passé. West Side Story et Ready Player One n’ont pas été à la hauteur de son talent, hormis en termes de mise en scène. Et c’est une nouvelle fois le cas pour The Fabelmans. En choisissant de nous raconter sa jeunesse, il estime, à l’instar d’Alfonso Cuarón avec Roma, que celle-ci est suffisamment digne d’intérêt pour être portée à l’écran pendant deux heures et demi. Et malheureusement ce n’est pas le cas. Les quelques déboires sentimentaux de ses parents comme ses anecdotes de vies au lycée ne sont guère passionnants. La naissance de son goût pour le cinéma et la création de ses premiers courts métrages sont les parties du scénario qui sont les plus dignes d’intérêt. On y découvre ses premières idées de mise en scène, ses premiers montages et partis pris artistiques. On aurait aimé en voir plus encore sur ces thématiques. Mais Spielberg passe beaucoup trop de temps à nous présenter sa relation avec ses parents, sans aucun doute primordiale dans sa vocation, mais qui tourne vite en rond dans le récit. Heureusement Paul Dano et Michelle Williams excellent dans ces deux rôles complexes, plein d’ambiguïtés. Le rôle principal est incarné par Gabriel LaBelle, jeune acteur canado-américain, qui peine un peu à nous faire partager ses sentiments, et dont le regard souvent figé n’exprime pas grand-chose. Heureusement, quelques séquences s’avèrent assez marquantes et la mise en scène reste brillante. On suit donc sans désintérêt cette jolie chronique familiale mais on attendait tellement plus de la part de l’immense Steven Spielberg.
    Eddy P
    Eddy P

    125 abonnés 247 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 27 février 2023
    C'est factuel, il n'y a plus de très bons films depuis 3 ans. Qu'en est-il de ce dernier Spielberg? C'est joliment filmé, c'est scénarisé de façon assez classique (normal chez lui), c'est lent, c'est plus narcissique qu'introspectif et c'est surtout interminable. A regarder téléchargé ou en streaming, pour pouvoir faire des pauses, comme pour une série fleuve Netflix. A la différence près que là ça parle un peu d'antisémitisme et de comment prendre sa revanche avec du travail, ce n'est pas un scénario sur le talent inné d'un personnage principal qui est oppressé pour sa différence. Un film assez moyen mais pas le pire (le BGG, Ready Player One, La guerre des Mondes, Amistad étaient bien plus mauvais... la liste devient longue)
    Joce2012
    Joce2012

    175 abonnés 509 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 février 2023
    Bon film mais quelques longueurs, c'est du Spielberg avec une chaude ambiance qui nous fait revenir quelques années en arrière
    Uchroniqueur
    Uchroniqueur

    116 abonnés 2 291 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 juillet 2023
    "The Fabelmans", film biographique américain coécrit et réalisé par Steven Spielberg, sorti en 2022.
    Un film très librement inspiré de la vie du réalisateur relatant l'enfance et l'adolescence du jeune Sammy Fabelman, passionné par le cinéma. Un film centré sur la vie de famille des Fabelman. Le film est bien réalisé, de très bonne facture, une belle reconstitution des années 50 et 60. Un réalisation irréprochable qui est la marque de fabrique du réalisateur.
    Un film avec Gabriel LaBelle, Paul Dano, Michelle Williams et Seth Rogen. Une durée généreuse et une belle scène finale.
    La focalisation sur la vie de la famille Fabelman reste cependant un élément beaucoup moins intéressant que la partie qui parle du cinéma.
    Citrouilleman
    Citrouilleman

    61 abonnés 585 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 1 mars 2023
    Quand Steven Spielberg raconte son histoire, cela donne au final un film intimiste, long, lent et souvent ennuyeux. Le choix d'une autre période de sa vie aurait été surement plus judicieux. Décevant.
    Nicolas S
    Nicolas S

    40 abonnés 515 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 4 mars 2023
    Tout a été dit sur The Fabelmans, film testamentaire évidemment, ôde au cinéma aussi, bien sûr, et bouleversante fresque familiale retraçant la jeunesse souvent heureuse, malgré tout, de Sammy/Stevie. Un chef d'oeuvre qui rappelle pourquoi on aime le cinéma, mais aussi pourquoi on aime aller au cinéma.
    mat niro
    mat niro

    306 abonnés 1 728 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 24 février 2023
    Véritable ode au cinéma, Steven Spielberg signe son film le plus personnel puisqu'il s'inspire librement de sa propre enfance. De l'émerveillement du premier film vu avec ses parents, de sa passion qui va monter crescendo pour faire des films de vacances puis avec ses amis, du divorce de ses parents ou encore de l'antisémitisme dont il a été victime, le cinéaste donne naissance à un conte magnifique où il s'affuble du prénom de Sammy. Un poil mélancolique, cette oeuvre s'apparente à un magnifique conte où la place de la mère (Michelle Williams radieuse) est omniprésente avec un lourd secret au sein de la famille. A 76 ans, Spielberg garde sa passion et surtout son âme d'enfant pour notre plus grand plaisir. Quant à l'issue finale, elle est grandiose.
    Michel C.
    Michel C.

    239 abonnés 1 381 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 27 février 2023
    Quel film !! Pour les amoureux de la pellicule, tout autant pour les autres qui le deviennent, le dernier Steven Spielberg est un bijou, hommage au 7ème art à travers la passion superbement racontée du jeune Sam, Sammy Fabelman ( Gabriel LaBelle ). On y trouve tellement d'images incroyablement fortes, de l’utilisation de machine de montage ( qui n'a pas coupé, collé de la pellicule ......) de l'apparition des caméras cultes, le super 8, de la jolie mécanique de précision..... mais pas seulement..... en effet le petit Sam est un génie de la réalisation, de filmer du mouvement, simple comme les promenades ou les scènes familliales, mais également des mini scènes d'attaques "style la bourse ou la vie", ou de cow boys, ou encore celle du concours de son lycée. L'amour et le besoin de filmer est omniprésent, jusqu'à la découverte du secret de sa mère Mitzi, admirablement jouée par Michelle Williams ( Scène fantastique où elle joue au piano avec ses ongles manucurées) bouleversante..... Sur un fond de nostalgie des années 50 - 60, avec des images d'une qualité rarement vue, une vocation si bien mise en scène grâce à un montage d'une qualité exceptionnelle, des émotions, comme la scène de l'annonce du divorce des parents, les amusantes et adorables échanges entre frères et soeurs, 2h 30 de bonheur à l'état pur. Une émotion quasi permanente..... un sublime sinon "Le" sublime de ce grand Steven Spielberg tout simplement....!!**
    Stéphane R
    Stéphane R

    19 abonnés 324 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 11 mars 2023
    Excellent film. Un des meilleurs de Spielberg. Petite crainte en y allant tant le sujet introspectif pouvait convenir à une certaine mièvrerie dont ne se départit pas toujours le réalisateur, surtout quand John Williams en rajoute des tonnes.
    Mais là non, c'est fin et sincère, comme son amour du cinéma sans doute.
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