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    The Fabelmans
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    vidalger
    vidalger

    297 abonnés 1 228 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 décembre 2022
    La filmographie de Spielberg comprend des succès planétaires fondés sur des scénarios souvent inventifs et toujours parfaitement réalisés (E.T., Jurassic Park ou Indiana Jones) et d’autres films plus intimistes ou plus personnels (Cheval de guerre, La liste de Schindler ou La Couleur pourpre). The Fabelmans fait partie de cette deuxième catégorie et, à travers la description de l’enfance et de l’adolescence d’un jeune homme américain amoureux de cinéma dans les années 50, il présente clairement un émouvant aspect autobiographique d’un réalisateur âgé qui se penche sur son passé.
    Abordant frontalement des épisodes douloureux de sa période de formation (antisémitisme ou séparation de ses parents), on s’aperçoit que ces thèmes avaient déjà été esquissés ici ou là et qu’ils sous-tendent une grande partie de l’œuvre du réalisateur.
    La reconstitution de la période, décors, costumes couleurs, est bluffante comme toujours chez Spielberg. L’histoire est plus émouvante que passionnante et aurait peut-être mérité quelques ellipses, mais rien de grave.
    Eponaa
    Eponaa

    181 abonnés 1 094 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 février 2023
    C'est un très bon film mais je pense néanmoins qu'il ne mérite pas de telles notes, il est monté en épingle car fait par Spielberg... L'acteur qui incarne Sam est très bon.
    garnierix
    garnierix

    199 abonnés 416 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 24 février 2023
    Cette autobiographie de Spielberg, romancée, donc fictionnelle (pour une part qu'on ne saura pas), est un film des plus humbles qui soient, et pourtant efficace.

    L'air de rien, lentement, il démontre comment le cinéma s'impose à l'enfant, et finit par en faire un adulte. Il en est d'abord victime, des images vues un jour le hantant après jusqu'à l'obsession. Puis il en est le maître. Il devient l'auteur de vérités qu'il ne voulait même pas connaître, après les avoir fortuitement dénichées dans la pellicule. De ces vérités qui nichent dans le caché et le non-dit. Un montage de pellicule les rendra ensuite évidentes pour tout le monde. Est-ce alors un tour de passe-passe ?

    Il semble que tout soit démontré dans un petit film réalisé pendant des congés scolaires. Il a eu des rapports délicats avec ceux qui jouent (sans le vouloir) dans ce petit film. Et ces acteurs (des copains et copines de classe) réagissent de façon inhabituelle après le visionnage. Le réalisateur a recréé un monde différent ! Reste à savoir ensuite si ce monde différent est plus réel que le réel qui a servi de base... Peut-on faire un dieu d'un salaud ? Ou vice-versa ?

    David Linch signe quasiment la fin du film, d'une signature fulgurante au bas de cette dissertation, un peu monotone au départ, sur la création artistique au cinéma. Est-ce que John Ford (qu'il interprète) a vraiment dit ce qu'il dit à Spielberg (sur la place de l'horizon pour qu'une image soit efficace)? On a envie de le croire.

    De toute façon, on est forcé de le croire. C'est le talent de Spielberg de faire croire.

    A.G.
    selenie
    selenie

    5 494 abonnés 6 029 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 31 décembre 2023
    Premier pas d'un petit gars qui ne sait pas encore qu'il va se passionner pour le cinéma. Le plus passionnant reste comment le jeune garçon s'est construit, et surtout comment il a étoffé son imagination de son premier "eureka" après sa première séance ciné à sa rencontre improbable avec le géant John Ford en passant par ses parents (inspiration évidente pour son futur film "Rencontre du Troisième Type" en 1977), ses premiers courts métrages ados (et son attrait déjà pour 39-45). Steven Spielberg fait sa propre introspection sur son passé, sur sa genèse artistique, sur le chemin qui l'a mené au sommet de Hollywood. Un parcours qui s'avère plutôt facile grâce à des parents qui sont loin d'être dans le besoin, au sein d'une famille plutôt soudée et heureuse. Toutes les familles connaissent des crises et dans le genre Steven Spielberg a plutôt été bien né et chanceux. On aurait aimé une partie "apprenti réalisateur" (trucages, courts métrages, matériels...) plus approfondis, et avoir une partie "crise conjugale" bien moins exploitée sans compter la partie université qui frise parfois le ridicule (par exemple la crise existentielle du beau gosse ?!). Néanmoins, le film reste un bon moment cinoche.
    Site : Selenie.fr
    marc J.
    marc J.

    1 abonné 1 critique Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 27 février 2023
    à la croisée de la petite maison dans la prairie et Happy Days. Sirupeux, souvent niais, on est très loin des chefs-d'œuvre que Spielberg nous a offert tout au long de sa carrière
    joliebelle46
    joliebelle46

    5 abonnés 32 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 23 février 2023
    difficile de regarder jusqu'à la fin.
    film sans grande saveur.
    les sentiments ne st que superficiel.
    Spider cineman
    Spider cineman

    118 abonnés 1 819 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 31 janvier 2023
    C est du Spielberg ? Et oui ... il n y a peut-être que lui qui peut retracer l histoire d un réalisateur à travers le temps. Inspiré sans doute ça n en reste pas moins assez insipide comme scénario et intrigue, voire ennuyeux. Seuls les amateurs éclairés ou passionnés de cinéma trouveront de l intérêt pour les autres ... ça sera très très long ... voire pénible. Des nominations ? Oui et bien c est le cinéma américain qui s autosatisfait de lui-même... car question émotion ou originalité, d ou là sortons nous ?
    Miguel M
    Miguel M

    1 critique Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 26 février 2023
    Film plat.Pas d'émotions un seul instant. On en fait tout un plat parce que c'est la vie de spielberg?
    Napoléon
    Napoléon

    119 abonnés 1 540 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 10 mars 2023
    Un film qui laisse une impression de grand vide. Un vide scénaristique et d'émotion. On peut à la rigueur retenir la force unique que détient une caméra dans la vie courante permettant de voir des choses qui sont invisibles à première vue et également une certaine mise en scène et de bons acteurs mais bon. Spielberg a sans doute trop voulu faire un film autobiographique en laissant de côté le film en lui même.
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    588 abonnés 2 765 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 décembre 2022
    Un premier constat s’impose : The Fabelmans est un film qui détonne dans le cinéma de Steven Spielberg, lui si habitué au grand spectacle porteur de grands enjeux humains ou historiques. Rien de tel ici. Le grand spectacle est absent, et si spectacle il y a, il est raccordé aux ficelles, aux trucages, aux balbutiements qui le composent ; il nous est donné à voir depuis les coulisses, un spectacle d’abord destiné à l’entourage direct, familial ou associatif, mais qui se charge progressivement d’une ambition supérieure à mesure que naît un réalisateur à part entière. Le récit alterne les séquences de conflits entre membres d’une famille juive pratiquante et celles représentant les phases d’élaboration, de tournage, de montage et de projection de films ; de ce croisement voit le jour un dilemme, celui qu’explicite l’oncle fantaisiste venu pleurer sa sœur disparue : tout artiste est un paria aux yeux de sa famille, destiné à la blesser, à la négliger, à la décevoir.

    L’enjeu principal du long métrage consiste alors à interroger ce qui s’apparente à une vocation, à montrer les louvoiements d’un garçon qui, plongé dans une adolescence mouvementée – découverte de la sexualité, violences scolaires, déménagements à répétition qui en sont la métaphore –, doit faire un choix et, donc, accepter de décevoir ou de se décevoir lui-même. Spielberg présente la famille comme un espace de conflits, et le cinéma comme un territoire alternatif par le biais duquel accéder à la partie cachée du réel : le film de vacances se transforme, après isolement et montage des scènes, en preuve d’un adultère, changeant le jeune réalisateur en enquêteur des mœurs, en moraliste involontaire percevant par son art des aspérités du réel jusqu’alors insoupçonnées. Dès lors, faire du cinéma ne relève plus du hobby, rapprochement dégradant opéré par le père, mais d’une maturité plus grande ; c’est placer l’horizon ou en haut ou en bas, suivant l’adage de John Ford – l’homme maître du paysage ou écrasé par lui, grandeur ou petitesse de l’être humain.

    La fascination de l’enfant pour la collision entre une locomotive et un véhicule, empruntée à un long métrage vu en salle, traduit une esthétique du choc inhérente au septième art, en ce qu’elle montre ce qui jusqu’alors ne l’avait pas été, en ce qu’elle donne accès à des zones du cœur et de l’esprit humains à défricher. Elle est liée aussi à l’interdit, puisque le père gronde son enfant pour avoir malmener des objets précieux, chers, fragiles. C’est là manquer deux choses : des jouets pour jouer, des jouets pour dire l’homme dans la relation conflictuelle qu’il entretient avec autrui. Nul hasard si le nom de la famille laisse entendre la « fable », orientée vers l’imaginaire comme l’est le nom du cinéaste, Spiel signifiant le « jeu » en allemand. Cette réflexion sur la création convertit l’autobiographique en matière universelle ; nous regretterons alors que Spielberg ne parvienne davantage à s’affranchir de son histoire pour dynamiser des séquences plombées par des dialogues interminables qui écrasent tout, même la très belle partition de John Williams. Il s’avère plutôt paradoxal de chanter la grandeur du cinéma muet et de signer une œuvre aussi bavarde, dans laquelle tout doit être explicitée, expliquée au spectateur de peur qu’il ne comprenne. Peut se percevoir ici la peur d’un cinéaste devant un genre qu’il ne connaît pas vraiment, à savoir le drame intimiste, éloigné des blockbusters aux images éloquentes ; il ne peut alors s’empêcher de surligner au marqueur jaune ses thèses et utilise sa caméra de façon spectaculaire, loin du dépouillement attendu pour le genre investi. Par souci d’être reconnu, il applique le cahier des charges qui fait sa patte : plans opérant des rondes autour des personnages, caméra volatile qui passe de l’intérieur d’un véhicule à l’extérieur...

    Cette tendance est conjurée un temps par les salves burlesques bienvenues, qu’il s’agisse de protagonistes caricaturaux – pensons à l’oncle ou à la fervente catholique soucieuse de convertir Sammy à Jésus – ou de la clausule géniale rassemblant John Ford et David Lynch sous la dénomination « plus grand(s) cinéaste(s) de tous les temps ». Spielberg referme ainsi son œuvre sur les notions de transmission et de partage, essentielles à sa pratique d’un cinéma hollywoodien fédérateur, famille de substitution créatrice de mille et une fables explorant nos angoisses, nos déceptions et la nécessité de (se) raconter.
    Jorik V
    Jorik V

    1 205 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 novembre 2022
    On aurait aimé l’aimer encore plus le dernier film de Steven Spielberg. Parce que c’est certainement son film le plus personnel à ce jour, celui d’un artiste parmi les plus célèbres et méritoires du septième art qui, sentant le crépuscule de sa vie arriver, a voulu partager avec le monde et sans prétention un film qui le résume. Une œuvre autobiographique donc où le cinéaste a mis beaucoup de lui et de sa science intacte du cinéma pour nous faire partager la naissance de cette passion et une partie de son enfance et de son adolescence. « The Fabelman » peut donc se voir comme une œuvre somme, le testament d’une carrière auréolée d’une pluie de récompenses et constituée de nombreuses œuvres majeures qui ont marqué l’Histoire et le box-office entre blockbusters (« Jurassic Park », « La Guerre des mondes », ...) et films plus sérieux (« Munich », « La Liste de Schindler », ...) voire même le mélange des deux comme avec « Il faut sauver le soldat Ryan ».

    Grâce à « The Fabelmans », on comprend certaines de ses obsessions et ce qui a mené Spielberg à faire tel ou tel film de telle ou telle façon. C’est donc intéressant à mettre en perspective mais on pensait être davantage touché, davantage émerveillé. Malheureusement, le long-métrage est parfois un peu long et certains passages semblent de trop comme si le maître avait eu plus de mal à couper au montage une histoire qui lui tenait tant à cœur. Néanmoins, la magie de son cinéma reste intacte sur le plan technique où rien ne dépasse et où tout frôle la perfection. Mais le contraire eut été étonnant vu le CV du monsieur. De la reconstitution de l’époque aux films tournés avec les moyens d’antan et retranscrits ici tel quel en passant par les décors, les costumes et les plans confectionnés par Spielberg, tout est parfaitement à sa place.

    Et puis le film peut compter sur l’impeccable composition de Michelle Williams qui est le cœur vivant de « The Fabelmans ». Dans le rôle de la mère elle illumine le film et lui donne ses plus beaux moments d’émotion. On pense à la scène où le jeune Spielberg, joué par le tout aussi fantastique Gabriel LaBelle, lui montre le film de vacances tourné par ses soins et qui lui a révélé l’adultère de sa maman. Une scène juste et poignante, en un mot : belle. On prend aussi plaisir à voir l’imagination du jeune homme pour tourner ses productions amateures ou encore l’antisémitisme dont il a été victime à l’école tout comme les déracinements perpétuels dus au métier du paternel. C’est donc une œuvre riche et ambitieuse même si elle reste plus confidentielle et personnelle que le reste de sa filmographie. Une œuvre qui reste plaisante, bien écrite et réalisée mais à laquelle il manque un peu de la passion que le cinéaste a voulu nous faire partager. Mais pour tout fan de cinéma qui se respecte, cela reste une expérience à ne pas louper. Pour les autres ou ceux qui ne sont pas spécialement fans du réalisateur, cela pourra être moins engageant.

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    Cinévore24
    Cinévore24

    302 abonnés 606 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 février 2023
    "Tu me vois vraiment."

    Après «Babylon» au mois de janvier, un second film de cinéma sur le cinéma (mais pas seulement). Et un second coup de cœur à mes yeux.

    Une toute première sortie au cinéma. Un spectaculaire accident de train projeté sur grand écran. Un choc, mais surtout une révélation pour un tout jeune spectateur assis entre ses parents, Sammy Fabelman.

    Voilà le point de départ de l’œuvre la plus éminemment personnelle de Steven Spielberg. Car, ne nous voilons pas la face, il s'agit là d'une œuvre ô combien autobiographique, transposée à l'intérieur d'un récit dramaturgique et (en partie) fictionnelle.

    Marquant le retour de Spielberg à l'écriture depuis «A.I. Intelligence Artificielle» en 2001 (ici aux côtés de Tony Kushner, scénariste de «Munich» et «West Side Story»), le cinéaste ne se borne pourtant pas à nous proposer un simple machin égocentrique sans rien à raconter dedans, bien au contraire.

    Ici, il dresse un portrait à la fois touchant et désenchanté de ses parents : Burt, informaticien et Mitzi, pianiste. La logique, le réalisme d'un côté, le rêve et l'optimisme de l'autre. 2 êtres qui s'aiment, mais dont les visions et les désirs respectifs finissent par les éloigner l'un de l'autre.
    Et cela, Sammy, le "double" cinématographique de Spielberg, n'en rate rien, dans les moments idylliques comme dans les moments plus tristes, captant les gestes, les corps et les regards, toujours les regards.

    Tout a toujours été affaire de regards chez Spielberg (la fameuse "Spielberg Face", atteignant son apogée dans sa trilogie des aliens).
    Ici, il y a celui qui regarde à travers son objectif, celles et ceux qui sont regardés par ce même objectif, et enfin ces mêmes personnes qui se (re)découvrent sur un grand écran, leur tendant un miroir de ce qu'elles sont ou de ce qu'elles rêveraient d'être (à l'image de cette mère en mal d'amour voyant la vie dont elle rêve, ou de cet élève qui ne se sentira jamais à la hauteur de l'image qu'il se colle lui-même).

    Car dans «The Fabelmans», le cinéma est là pour dévoiler la vérité (qu'elle dérange ou non) et tenter de réparer le réel. Mais, comme l'apprendra notre protagoniste au fil du film, certaines choses ne peuvent se réparer à l'aide d'une caméra, et il faut parfois ressentir cette souffrance et ce chamboulement pour aller de l'avant et voir l'horizon (tant que celui-ci n'est pas au centre de l'image. Celles et ceux qui ont vu le film comprendront ce détail qui n'en est pas un).

    Accompagné d'un casting exemplaire et d'une photographie somptueuse signée Janusz Kaminski, une histoire d'apprentissage et de passion, mélange de joie et de tristesse, convoquant comme jamais la puissance révélatrice des images.
    Et cette poésie en mouvement, ce portrait intimiste rendu universel par le biais du cinéma ne peut me laisser indifférent, que ce soit en tant que spectateur et en tant qu'artiste.

    Tant de choses à dire encore autour de ce film-somme qui va me rester en tête et qui donne tout son sens à la filmographie de son réalisateur, mais une chose est sûre : Spielberg est et reste l'un des plus grands conteurs du 7e Art, et le cinéma est et restera le plus grand spectacle du monde.
    sylounette
    sylounette

    40 abonnés 175 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 10 mars 2023
    alors que je partais avec envie voir ce film, je suis ressortie... affligée..
    déjà, c'est long, très long, trop long et rien de justifie cette longueur..
    le scénario est insipide et niais... la mère est insupportable ! il suffisait qu'elle apparaisse à l'écran pour que je me dise "attention, tu vas encore avoir 5 mn de dialogues idiots et de comportements stéréotypés"
    Je peux imaginer que pour Spielberg c'était important de remonter dans son enfance mais pour le spectateur, c'est d'un ennui inégalé et inégalable..
    le camping, la petite famille proprette juive américaine, la découverte de la caméra et l'adolescence qui permet de voir ses parents comme un homme et une femme... rien de nouveau sous le soleil ! mais filmé de cette façon, c'est insipide et niais

    à fuir !
    Jean-Flavien P
    Jean-Flavien P

    22 abonnés 44 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 22 février 2023
    Ce film est un véritable chef d'œuvre, tout simplement.
    Je n'étais pas plus fan que ça de Spielberg réalisateur, hormis La liste de schindler et Il faut sauver le soldat Ryan, qui étaient extraordinaire, notamment le 1er, le reste de sa filmographie n'était pas du même niveau, bien qu'il est etait le précurseur du film de divertissement avec les premiers blockbusters. Dans le cas de ce présent film on voit un film que j'aime à nommer "de Cinéma".
    Georges P.
    Georges P.

    63 abonnés 830 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 23 février 2023
    2h30 de subtilité, de douceur, d'émotion. 2h30 de cinéma brillant, intime, pudique. Spielberg livre l'un de ses meilleurs films. Incontournable !
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