The Fabelmans
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890 critiques spectateurs

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Napoléon
Napoléon

152 abonnés 1 577 critiques Suivre son activité

1,5
Publiée le 10 mars 2023
Un film qui laisse une impression de grand vide. Un vide scénaristique et d'émotion. On peut à la rigueur retenir la force unique que détient une caméra dans la vie courante permettant de voir des choses qui sont invisibles à première vue et également une certaine mise en scène et de bons acteurs mais bon. Spielberg a sans doute trop voulu faire un film autobiographique en laissant de côté le film en lui même.
traversay1
traversay1

3 757 abonnés 4 914 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 25 décembre 2022
A son tour, Steven Spielberg cède à une certaine mode autobiographique, pour les plus grands cinéastes, qui pourrait s'apparenter à une forme de narcissisme mais l'argument n'est pas recevable pour ceux qui ont suivi attentivement son parcours, avec plus ou moins d'enthousiasme, selon les œuvres. L'intérêt n'est pas mince, dès lors que The Fabelmans se concentre sur l'enfance et l'adolescence d'un maître, soit à la genèse même de la sacro-sainte vocation. Et pour ce faire, Spielberg fait plutôt dans l'humilité, pour ce qui est de la forme, laissant la mise en scène au second plan derrière une narration impeccable, parfaitement maîtrisée et équilibrée. Un récit d'apprentissage donc, classique par bien des aspects, mais aussi exceptionnel de par ce qu'il montre de l'obsession dans une passion et d'un amour immodéré pour l'art en général et le cinéma en particulier. En même temps, The Fabelmans est une lettre envoyée par le cinéaste à sa propre famille et avant tout à ses parents, un couple mal assorti mais aimant. La première partie du film manque un peu de nerf avant que le récit ne s'ouvre comme une fleur dans la deuxième, traitant avec virtuosité l'ensemble de ses thèmes et y ajoutant l'antisémitisme et l'éducation sentimentale, entre autres. Comme dans presque tous les films de Spielberg, l'interprétation vole très haut, avec notamment une Michelle Williams saisissante, dans un rôle peu aisé. Quant au dernier plaisir offert par le film : il est succulent, avec un très grand cinéaste vivant personnifiant l'un des géants de l'histoire du cinéma. Un clin d’œil ludique qui conclut un récit à la première personne, mais pas n'importe laquelle, et comme des confidences faites directement à l'oreille sous les yeux d'un spectateur privilégié.
Alain D.
Alain D.

5 abonnés 14 critiques Suivre son activité

1,0
Publiée le 28 février 2023
On peut se demander, en bons complotistes, si les "spectateurs" en question sont d'authentiques cinéphiles ou des gens payés pour l'être, un peu comme ces agences immobilières qui paient pour mettre de faux avis positifs sur Google. Car les réactions de mes nombreux compagnons d'infortune à la sortie de la séance étaient très contrastées. Vous l'avez compris, The Fabelmans est très loin d'être un chef d'oeuvre.
Nicolas Pirin
Nicolas Pirin

3 critiques Suivre son activité

1,5
Publiée le 28 février 2023
Ne vous laisser pas influencer par les notes presse et spectateurs, le film traite d une partie inintéressante de la vie Spielberg.
On assiste simplement à une mini querelle familiale même pas interessante.
Passez votre chemin.
Cinemadourg
Cinemadourg

790 abonnés 1 558 critiques Suivre son activité

2,5
Publiée le 24 février 2023
Steven Spielberg est un génie.
Des "Dents de la mer" à "Ready Player One", en passant par "Indiana Jones", "E.T. l'extra-terrestre", "Jurassic Park", "La liste de Schindler", "Il faut sauver le soldat Ryan" et j'en passe, ce maestro a marqué de son empreinte le cinéma mondial à jamais !
Sauf qu'avec ce film, tout est différent : il n'est pas à la baguette pour nous raconter UNE histoire géniale dont il a le secret, il est juste là pour nous raconter SON histoire.
Samuel Fabelman est né dans une famille juive en 1946.
Très jeune, il se découvre une passion et un talent pour filmer le monde autour de lui.
Mais la dureté de la vie va le rattraper : sa mère porte en elle un secret qu'il va découvrir avant son propre père...
Malheureusement, cette biographie d'un surdoué ne propose qu'une enfance somme toute assez banale, et finalement, sans grand intérêt, une fois mis de côté le fait que l'on parle là de l'un des plus grands réalisateurs de notre époque.
C'est paradoxal mais c'est ainsi : le film le moins exaltant et le plus ennuyeux de ce prodige de la caméra est ce petit dernier, racontant toute sa jeunesse.
Un biopic certes instructif, mais long, long, très long (2h31).
Site CINEMADOURG.free.fr
ffred
ffred

1 768 abonnés 4 043 critiques Suivre son activité

5,0
Publiée le 1 mars 2023
Sur le papier, le film ne me disait rien, mais bon, un nouveau Spielberg est toujours un évènement. De plus, celui-ci arrive chez nous précédé d’un bide au box-office américain mais auréolé des Golden Globes du meilleur film dramatique et du meilleur réalisateur et de neuf nominations aux Oscars. Contre toute attente, j’ai beaucoup aimé. Inspiré de ses souvenirs d’enfance, ce nouvel opus est donc aussi son plus intime et son plus personnel. Si la mise en scène peu paraitre sage, elle est surtout solide et élégante. Le scénario est une merveille de délicatesse, de tendresse et de sensibilité. Un bel hommage à sa famille et à ses racines, tout autant qu’à la naissance de sa passion et au cinéma tout entier. Techniquement tout est parfait, rien n’a été laissé au hasard. L’interprétation est au diapason. Michelle Williams est parfaite et tient là un de ses meilleurs rôles (nommée aux prochains Oscars), Paul Dano est comme toujours impeccable. Judd Hirsh apparait peu mais la prestation est marquante (nommé en second rôle masculin). J’ai eu du mal à reconnaître Seth Rogen, il est très bien, tout comme tous les jeunes acteurs. Au final, voilà une merveille de film bourré de qualités, de bons sentiments certes, mais aussi beaucoup moins léger qu’il n’y parait. Un beau mélo où l’on sourit et l’on rit autant que l’on pleure. Un très grand et très beau film, le meilleur de son auteur depuis bien longtemps, si ce n’est le meilleur tout court. On ne voit pas passer les 2h31mns de projection et on en ressort ravi. Une bien belle surprise pour l’un des plus beaux films de l’année.
Maryane75
Maryane75

19 abonnés 458 critiques Suivre son activité

0,5
Publiée le 21 octobre 2023
Je n'arrive pas à comprendre comment un type comme Spielberg a pu commettre une erreur de casting aussi grossière indigne de lui et de son cinéma.
Au début on voit un petit Sam au yeux bien bleus, comme Steven Spielberg, et, on ne sait pas quel miracle de la science, on voit un Sam adolescent et jeune adulte aux yeux marrons.
Il n'y avait que ces acteurs de disponibles ???
A partir de là... franchement.... je ne vois pas bien comment on peut croire à cette histoire.
N U L
C'est vraiment de l'amateurisme !!!
Vador Mir
Vador Mir

265 abonnés 829 critiques Suivre son activité

5,0
Publiée le 17 décembre 2022
Un film charmant et intime, qui permet de connaitre et de comprendre un peu mieux Steven Spielberg. Réalisation, décor, lumière impeccable, acteurs investis. Quelques dialogues un peu mièvre mais on pardonnera. Beaucoup de simplicité. Très sympathique.
Alice025
Alice025

1 709 abonnés 1 384 critiques Suivre son activité

4,5
Publiée le 24 février 2023
Un très beau film intimiste sur la jeunesse de Steven Spielberg, empreint d'émotion et de bienveillance. Pas d'effets spéciaux ni de grand cinéma cette fois-ci, simplement un film beaucoup plus personnel mais qui n'empèche toutefois pas de nous faire rêver. Inspiré de son enfance, nous allons donc suivre Sammy Fabelman et sa famille. A travers ce portrait familial, nous allons partager avec eux leur joie et leur peine ainsi que la passion naissante de Sammy pour la réalisation. Mené par de très bon acteurs, la révélation restera bien sur Gabriel Labelle en Spielberg adolescent, bluffant et très touchant. Un récit réaliste et intime sur une famille tout simplement, et qui nous parlera à chacun. Brillant.

http://cinephile-critique.over-blog.com
Cinévore24
Cinévore24

357 abonnés 737 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 23 février 2023
"Tu me vois vraiment."

Après «Babylon» au mois de janvier, un second film de cinéma sur le cinéma (mais pas seulement). Et un second coup de cœur à mes yeux.

Une toute première sortie au cinéma. Un spectaculaire accident de train projeté sur grand écran. Un choc, mais surtout une révélation pour un tout jeune spectateur assis entre ses parents, Sammy Fabelman.

Voilà le point de départ de l’œuvre la plus éminemment personnelle de Steven Spielberg. Car, ne nous voilons pas la face, il s'agit là d'une œuvre ô combien autobiographique, transposée à l'intérieur d'un récit dramaturgique et (en partie) fictionnelle.

Marquant le retour de Spielberg à l'écriture depuis «A.I. Intelligence Artificielle» en 2001 (ici aux côtés de Tony Kushner, scénariste de «Munich» et «West Side Story»), le cinéaste ne se borne pourtant pas à nous proposer un simple machin égocentrique sans rien à raconter dedans, bien au contraire.

Ici, il dresse un portrait à la fois touchant et désenchanté de ses parents : Burt, informaticien et Mitzi, pianiste. La logique, le réalisme d'un côté, le rêve et l'optimisme de l'autre. 2 êtres qui s'aiment, mais dont les visions et les désirs respectifs finissent par les éloigner l'un de l'autre.
Et cela, Sammy, le "double" cinématographique de Spielberg, n'en rate rien, dans les moments idylliques comme dans les moments plus tristes, captant les gestes, les corps et les regards, toujours les regards.

Tout a toujours été affaire de regards chez Spielberg (la fameuse "Spielberg Face", atteignant son apogée dans sa trilogie des aliens).
Ici, il y a celui qui regarde à travers son objectif, celles et ceux qui sont regardés par ce même objectif, et enfin ces mêmes personnes qui se (re)découvrent sur un grand écran, leur tendant un miroir de ce qu'elles sont ou de ce qu'elles rêveraient d'être (à l'image de cette mère en mal d'amour voyant la vie dont elle rêve, ou de cet élève qui ne se sentira jamais à la hauteur de l'image qu'il se colle lui-même).

Car dans «The Fabelmans», le cinéma est là pour dévoiler la vérité (qu'elle dérange ou non) et tenter de réparer le réel. Mais, comme l'apprendra notre protagoniste au fil du film, certaines choses ne peuvent se réparer à l'aide d'une caméra, et il faut parfois ressentir cette souffrance et ce chamboulement pour aller de l'avant et voir l'horizon (tant que celui-ci n'est pas au centre de l'image. Celles et ceux qui ont vu le film comprendront ce détail qui n'en est pas un).

Accompagné d'un casting exemplaire et d'une photographie somptueuse signée Janusz Kaminski, une histoire d'apprentissage et de passion, mélange de joie et de tristesse, convoquant comme jamais la puissance révélatrice des images.
Et cette poésie en mouvement, ce portrait intimiste rendu universel par le biais du cinéma ne peut me laisser indifférent, que ce soit en tant que spectateur et en tant qu'artiste.

Tant de choses à dire encore autour de ce film-somme qui va me rester en tête et qui donne tout son sens à la filmographie de son réalisateur, mais une chose est sûre : Spielberg est et reste l'un des plus grands conteurs du 7e Art, et le cinéma est et restera le plus grand spectacle du monde.
Berserk Gatsu
Berserk Gatsu

90 abonnés 184 critiques Suivre son activité

2,5
Publiée le 23 février 2023
Steven Spielberg qui raconte sa vie, ou est l'intérêt, c'est un peux comme si Philippe Etchebest nous racontait l'histoire d'un œuf, c'est bien fichu puisque venant d'un grand réalisateur comme lui, mais pourquoi, alors on assiste à son enfance, sa jeunesse et ses inspirations, mais qu'est ce que c'est mou et lent, et surtout un brin égocentrique non.
islander29
islander29

895 abonnés 2 402 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 23 février 2023
Spielberg a un don, il nous étonne toujours, quel que soit le sujet de son film…Ici, son enfance
et l’appel du cinéma, …Avec lui, tout devient humain…le film nous parle de son enfance et de son adolescence jusqu’à ces 19ans ( 1965) …On va dire que le film est surtout un hommage touchant à sa mère et son père, dans un cocon assez privilégié, avec des anecdotes, des intrigues, et nous montre une quête personnelle du réalisateur, qui va le conduire vers le cinéma, ….Tout est relaté en mode 1950 puis 1960, avec toute l’énergie et la technologie de l’époque, les misérables caméras sophistiquées pour ses années, là….
Spielberg parle de tout ça avec amour, et le fait partager au spectateur, chronologiquement et avec
Précision…Les relations humaines sont compliquées pour tout le monde nous dit Spielberg, mais lui
Sait l’exprimer au travers d’un scénario mesuré, d’une caméra, de dialogues efficaces et avec subtilité.
Le film est aussi sincère dans le fond que dans la forme….On n’invente pas le cinéma, on le vit…D’où la rencontre extraordinaire à la fin du film…..Quel émouvant hommage au cinéma…..Je conseille , avec enthousiasme pour tous publics, il y avait, « o Surprise », même des adolescents dans la salle….
selenie
selenie

6 516 abonnés 6 258 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 31 décembre 2023
Premier pas d'un petit gars qui ne sait pas encore qu'il va se passionner pour le cinéma. Le plus passionnant reste comment le jeune garçon s'est construit, et surtout comment il a étoffé son imagination de son premier "eureka" après sa première séance ciné à sa rencontre improbable avec le géant John Ford en passant par ses parents (inspiration évidente pour son futur film "Rencontre du Troisième Type" en 1977), ses premiers courts métrages ados (et son attrait déjà pour 39-45). Steven Spielberg fait sa propre introspection sur son passé, sur sa genèse artistique, sur le chemin qui l'a mené au sommet de Hollywood. Un parcours qui s'avère plutôt facile grâce à des parents qui sont loin d'être dans le besoin, au sein d'une famille plutôt soudée et heureuse. Toutes les familles connaissent des crises et dans le genre Steven Spielberg a plutôt été bien né et chanceux. On aurait aimé une partie "apprenti réalisateur" (trucages, courts métrages, matériels...) plus approfondis, et avoir une partie "crise conjugale" bien moins exploitée sans compter la partie université qui frise parfois le ridicule (par exemple la crise existentielle du beau gosse ?!). Néanmoins, le film reste un bon moment cinoche.
Site : Selenie.fr
GyzmoCA
GyzmoCA

191 abonnés 1 964 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 7 janvier 2025
Avec The Fabelmans, Steven Spielberg livre son film le plus personnel, une œuvre qui, comme Cinéma Paradiso, célèbre la magie du cinéma tout en explorant les liens familiaux. Cependant, là où Tornatore se concentrait sur la nostalgie, Spielberg dévoile ses blessures : une famille déchirée entre l’amour et l’incompréhension, un père rationnel (Paul Dano) et une mère fantasque (Michelle Williams), reflet direct de ses propres parents.

Le film transcende le simple hommage au septième art pour devenir une introspection sincère sur le rôle du cinéma comme échappatoire et moyen de comprendre un monde parfois cruel. Spielberg ne masque rien : ses souvenirs douloureux et sa quête de réconciliation avec sa famille imprègnent chaque scène, rendant l’œuvre profondément émouvante.

The Fabelmans est une lettre d’amour non seulement au cinéma, mais aussi à la complexité des relations humaines, sublimée par un maître conteur à son apogée.
sylounette
sylounette

49 abonnés 201 critiques Suivre son activité

1,0
Publiée le 10 mars 2023
alors que je partais avec envie voir ce film, je suis ressortie... affligée..
déjà, c'est long, très long, trop long et rien de justifie cette longueur..
le scénario est insipide et niais... la mère est insupportable ! il suffisait qu'elle apparaisse à l'écran pour que je me dise "attention, tu vas encore avoir 5 mn de dialogues idiots et de comportements stéréotypés"
Je peux imaginer que pour Spielberg c'était important de remonter dans son enfance mais pour le spectateur, c'est d'un ennui inégalé et inégalable..
le camping, la petite famille proprette juive américaine, la découverte de la caméra et l'adolescence qui permet de voir ses parents comme un homme et une femme... rien de nouveau sous le soleil ! mais filmé de cette façon, c'est insipide et niais

à fuir !
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