The Fabelmans
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890 critiques spectateurs

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Arnaud KaDo
Arnaud KaDo

67 abonnés 257 critiques Suivre son activité

2,5
Publiée le 6 mars 2023
Je ne comprend pas du tout la critique aussi positive et un tel engouement...

Non seulement c'est pas un chef d'oeuvre comme la critique le précise mais c'est surtout que c'est pas du tout divertissant

Soyons clair c'est long on s'ennuie je suis pas rentré dans l'histoire que je trouve particulièrement sans intérêt

0 émotions et on décroche très facilement. Ça manque a la fois de fil conducteur et surtout de rebondissements.

Film très moyen.
videoman29
videoman29

257 abonnés 1 846 critiques Suivre son activité

5,0
Publiée le 11 octobre 2023
Avec « The Fabelmans », Steven Spielberg nous offre un voyage en première classe au cœur de sa tendre jeunesse. Il fait ressurgir, pour nous, ses souvenirs de famille les plus intimes et notamment sa passion naissante... puis de plus en plus dévorante pour le cinéma. J'ignore, bien sûr, quelle est la part de réalité et de pure fiction dans l'histoire, mais ce qui est certain c'est qu'on y croit instantanément. Il faut dire que le scénario est impeccablement écrit et qu'on se lie immédiatement d'amitié avec cette famille « Juive-Américaine », soudée et aimante. On s'identifie profondément aux différents personnages et on suit leurs péripéties avec passion et une bonne dose d'étonnement devant l'efficacité technique et narrative de l'ensemble. En effet, Spielberg démontre une énième fois qu'il est devenu un « Monstre Sacré » du 7ème Art et qu'il transforme invariablement tout ce qu'il « tourne » en pur chef-d’œuvre. Ce nouveau film, bien plus personnel que tout ce qu'il a créé dans sa carrière, sonne indubitablement comme une sorte de rétrospective... un habile état des lieux de son œuvre en général. On sent que le cinéaste souhaite nous expliquer sa passion pour son métier... un peu comme s'il n'y avait encore jamais pensé jusqu'à aujourd'hui. Le résultat se révèle extraordinairement intéressant, souvent drôle et parfois bouleversant. C'est simplement génial, bravo !
Vinz1
Vinz1

198 abonnés 2 495 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 4 août 2023
Steven Spielberg avec pas mal de nostalgie regarde dans le rétroviseur de sa vie et nous donne à voir un film quasi autobiographique avec l’histoire de Sam, un jeune garçon d’obédience juive qui s’éprend du Septième Art à sa première séance de cinéma. De l’utilisation de sa première caméra à son premier stage dans un studio à Hollywood, on suivra ainsi les pérégrinations de cet adolescent qui apprendra par l’objectif - le regard donc - à exprimer ses sentiments et sa façon de voir les choses. A travers sa vie de famille et ses membres hauts en couleur pour certains, ses nombreux déménagements et même ses premières amours, le jeune homme évoluera et Spielberg nous gratifiera ainsi de magnifiques séquences cinématographiques comme il sait si bien le faire. Un très beau film avec d’excellents acteurs de surcroit dont la formidable Michelle Williams !
CH1218
CH1218

221 abonnés 2 931 critiques Suivre son activité

4,5
Publiée le 7 mars 2023
Steven Spielberg a souvent nourrit ses films d’éléments liés à sa propre jeunesse avant de mettre en images cette œuvre confidentielle et intimiste. Récit initiatique d’un jeune homme à la recherche d’un équilibre familial, personnel et passionnel, parfois drôle, tantôt douloureux, « The Fabelmans » est une véritable déclaration d’amour au cinéma. Exposé à une émotion continue à laquelle il est difficile de se soustraire, ce film autobiographique se veut également un très beau portrait de femme. Incarnant la mère au sein d’une distribution quasi parfaite, Michelle Williams illumine tous les scènes où elle apparaît alors que Gabriel LaBelle fait figure de révélation.
Attigus R. Rosh
Attigus R. Rosh

212 abonnés 2 545 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 8 mai 2024
Si le caractère semi-autobiographique de la vie de Spielberg du film rend l'intrigue un peu moins prenante que les classiques du réalisateur (Jurassic Park, Il faut sauver le soldat Ryan, La liste de Schindler, Indiana Jones …), le film reste tout de même de très bonne qualité.
Je ne suis absolument pas fan des films qui tournent autour de l'industrie du cinéma (c'est un peu le cinéma qui se regarde), mais ce film-ci passe très bien notamment du fait que l'on a Steven Spielberg à la barre et que même ses plus mauvais films restent tout de même des films beaux et chiadés.
La distribution est très convaincante et les acteur, pourtant de renom (Paul Dano, Michelle Williams, Seth Rogen) arrive à disparaître derrière leurs personnages. Quant aux acteurs incarnant des itérations jeunes de Steven Spielberg, ils sont très bien.
L'histoire est une belle ode au cinéma et le réalisateur nous transmet avec brio sa passion pour le cinéma. On retrouve également le divorce (thème omniprésent dans la filmographie du cinéaste américain).
Spielberg toujours au sommet de son art.
MediaShow
MediaShow

149 abonnés 543 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 2 avril 2023
Avec The Fabelmans, Steven Spielberg signe une nouvelle fois un excellent long-métrage qui est une véritable lettre d’amour à l’artisanat cinématographique. Il y a une véritable passion et créativité dans ce biopic dramatique. C’est drôle, touchant avec des personnages hauts en couleur. Visuellement, c’est une belle réussite. Sans oublier la distribution brillamment portée par la talentueuse Michelle Williams. Un petit bijou à ne pas manquer !

Mon avis sans spoilers : https://mediashowbydk.com/2023/03/01/critique-film-the-fabelmans/
Sissi
Sissi

4 abonnés 4 critiques Suivre son activité

1,5
Publiée le 4 mars 2023
Un film paresseux et narcissique sans intérêt... Spielberg nous a habitué à bien mieux! Vous pouvez passer votre chemin
Culturevsnews
Culturevsnews

93 abonnés 231 critiques Suivre son activité

5,0
Publiée le 6 juillet 2023
Ce portrait profondément intime d'une enfance américaine au XXe siècle nous emmène dans le monde personnel et professionnel du célèbre cinéaste. À travers l'histoire initiatique d'un jeune homme solitaire en quête de la réalisation de ses rêves, le film explore les relations amoureuses, l'ambition artistique, le sacrifice et les moments de lucidité qui nous permettent de porter un regard sincère et tendre sur nous-mêmes et nos parents.

L'histoire se déroule autour de Sammy Fabelman, un passionné de cinéma qui passe son temps à filmer sa famille. Alors que sa mère, Mitzi, encourage son talent artistique, son père, Burt, un scientifique accompli, considère la passion de Sammy comme un simple passe-temps. Au fil des années, Sammy devient le documentariste de l'histoire familiale en capturant des moments précieux avec sa caméra, allant jusqu'à réaliser des courts-métrages amateurs de plus en plus élaborés, mettant en scène ses amis et ses sœurs.

Cependant, lorsque ses parents décident de déménager dans l'ouest du pays, Sammy découvre des révélations bouleversantes sur sa mère, qui ébranlent sa relation avec elle et changent l'avenir de sa famille. Ce voyage émotionnel et introspectif amène Sammy à remettre en question sa propre ambition artistique et à se confronter à des choix difficiles qui auront un impact durable sur sa vie.

La réalisation de Steven Spielberg est magistrale, capturant avec sensibilité les nuances émotionnelles de chaque scène. Son talent inégalé pour raconter des histoires se reflète dans la manière dont il mêle habilement les éléments personnels de sa propre vie à une narration universelle, nous invitant à réfléchir sur nos propres expériences familiales.

Les performances de Michelle Williams et Paul Dano sont remarquables, apportant une profondeur et une authenticité à leurs personnages respectifs. Leurs interprétations captivantes donnent vie aux complexités et aux émotions de leurs relations familiales, offrant des moments d'émotion brute et de vérité poignante.
weihnachtsmann
weihnachtsmann

1 248 abonnés 5 298 critiques Suivre son activité

2,0
Publiée le 24 février 2023
Ce film a déjà un ancêtre, il ne faut pas l’oublier, c’est Jacquot de Nantes. Et il a déjà 30 ans d’âge.
C’est fou comme la comparaison est douloureuse.
Dommage pour Spielberg que j’apprécie quand même énormément dans beaucoup de ses films. Il filme ici avec tant de vanité et si peu de modestie que c’en est écœurant.
Le réalisateur manque clairement de subtilité. Il se regarde dans le miroir et il s’admire. Je veux bien l’accepter mais pas qu’il en fasse un film.
Varda a filmé les débuts de Demy enfant puis adolescent avec une grâce sans pareil.
Elle a filmé son mari avec les yeux de l’amour. Spielberg filme avec les yeux d’Apollon.
Je pense qu’il y a deux raisons à cela. Il a fait le film lui-même. C’est trop égocentrique. Il a mis trop de moyens. C’est inutile.
Kevin dioles
Kevin dioles

55 abonnés 699 critiques Suivre son activité

4,5
Publiée le 22 février 2023
THE FABELMANS (2023): Spielberg, son enfance, son adolescence, représenté ici par le jeune Sammy Fabelman. L'œil de la caméra filmera une jolie famille qui paraitra parfaite mais… elle aussi possèdera ses failles, un père intelligent, embelli d'une grande gentillesse, une mère joyeuse mais un peu égoïste, des sœurs pleines de vie, et lui, Sammy, un jeune garçon passionné de cinéma. Suivant certaines scènes on pourra se reconnaitre à travers ce portrait (moi et mon premier train électrique, moi et ma toute première fois dans une salle de cinéma, le film était "Tintin et le temple du soleil" (Studio Belvision), revivre cette impression en voyant ces quelques passages du film "Sous le plus grand chapiteau du monde"). Une enfance où il découvrira le plaisir de filmer les bons moments de l'existence tout en développant son sens artistique. L'acteur Gabriel Labelle (Sammy) atteindra la perfection par son mimétisme et sa très proche ressemblance à Steven Spielberg. Un film sur la famille, la passion, les premiers amours, les dures réalités…Steven Spielberg filmera la sagesse de ce jeune passionné tout en rendant un très bel hommage à sa propre famille. Il était une fois la naissance d'un grand réalisateur, il était une fois le cinéma.
OMTR
OMTR

22 abonnés 196 critiques Suivre son activité

5,0
Publiée le 13 juin 2023
La Puissance du Cinéma

"The Fabelmans" ne commence pas par spoiler: la naissance de Sammy Fabelman à Cincinnati, Ohio, le 18 décembre 1946, mais lorsqu’il a six ans et qu’il découvre la magie du cinéma avec ses parents qui l'ont emmené voir son premier film : "Sous le plus grand chapiteau du monde" en 1952
.

C’est une révélation pour le jeune enfant, qui spoiler: passera son enfance et son adolescence à tenter de faire comprendre au monde la différence entre un hobby, une passion et une vocation
.

Car, ses talents innés de cinéaste s'expriment dès que spoiler: son père lui offre sa première caméra, et qu’il recrée la scène qui l'a le plus marqué dans le film de Cecil B. DeMille, à savoir la scène de l'accident de train. Une catastrophe qu'il reconstruit avec ses moyens en attendant patiemment que chaque célébration annuelle d’Hanoucca apporte un élément supplémentaire au train électrique qu'il construit dans le garage de la maison familiale
.

Au moment où son père est promu à spoiler: Phoenix en Arizona, la mère de Sammy vit déjà difficilement le déménagement, loin d’une partie de la famille étendue. Sammy, lui, peaufine ses talents avec un film sur une sortie familiale en camping dans la forêt, puis les courts métrages "Gun Mog" (1959) et "Escape to Nowhere" (1961), qu’il réalise avec l’aide de ses camarades, et qui confirment son sens de la mise en scène et de la direction d’acteurs
.

Quand son père a été à nouveau promu en spoiler: Californie du Nord, son oncle Bennie lui offre une caméra 8MM de plus haut standard, afin qu’il puisse poursuivre l’œuvre de sa vie, après que son oncle Boris lui ai fait promettre de ne jamais sacrifier l’art, et la poursuite du bonheur, pour une vie quotidienne classique
.

A Saratoga, spoiler: l’adaptation à la vie lycéenne n’est pas facile, notamment en raison de l’antisémitisme primaire et violent qui règne chez des adolescents endoctrinés par leur éducation suprématiste chrétienne. Sammy est un artiste, pas un sportif, et il peine un peu à s’adapter à l’équipe de volleyball de son lycée, surtout en raison des violences psychologiques et physiques qu’il subit
.

A la maison, spoiler: sa mère ne trouve pas l’équilibre entre son passé et ses rêves et le présent et ses réalités. Elle reproche à son mari d’accorder trop d’importance à sa carrière et tente de se réfugier dans la pratique du piano, dans laquelle elle excelle, au point d’avoir espéré en faire plus qu’un hobby. Même si son plus fidèle admirateur reste son mari, qui ne cesse de tout faire pour le bien de son couple et de ses enfants, ce dévouement ne suffit pas à Madame Fabelman, qui en arrive à vouloir divorcer. Ceci également après avoir été violente à l’encontre de son fils pour la première fois. Un électrochoc dans une famille en décomposition, qui affecte fortement les sœurs de Sammy, qui se réfugie dans la réalisation du film de fin d’année de son lycée en 16MM. La puissance émotionnelle de cette œuvre fera fortement réagir ses camarades, de diverses façons en fonction de leur profil psychologique
.

Un an plus tard, spoiler: Sammy vit avec son père à Los Angeles, la ville du cinéma, et parmi toutes ses lettres passionnées adressées aux studios, il reçoit enfin une réponse qui le convie à un premier entretien. Pour un poste « d’Assistant d’assistant ». Qu’importe la fonction et les conditions, Sammy a mis pied à Hollywood et il ne la quittera plus jamais, devant son Roi au fil des décennies suivantes
.

Malgré le génie de Maître Steven Spielberg, la perfection de la mise en scène et de l'interprétation, ainsi que la virtuosité de Maître John Williams, j'ai d'abord émis une légère réserve. Pour quelle raison ? Parce que "The Fabelmans" se termine en spoiler: 1964. Et que j'aurais aimé qu'il aborde la décennie passionnante entre cette année-là et 1974
.

Une période marquée par spoiler: "Firelight" (1964), un film d'aventures de science-fiction écrit et réalisé par Steven Spielberg à l'âge de 17 ans avec un budget de 500 dollars, projeté dans un cinéma local, puis par son entrée dans le monde de la réalisation télévisuelle et cinématographique. Avec ses deux premiers longs métrages pour Universal : "Duel" (1971), qui a reçu plusieurs Prix d'Excellence, et "The Sugarland Express" (1974)
.

" spoiler: passera son enfance et son adolescence à tenter de faire comprendre au monde la différence entre un hobby, une passion et une vocation 0
.

Certains journalistes ont d’ailleurs demandé à juste titre si spoiler: passera son enfance et son adolescence à tenter de faire comprendre au monde la différence entre un hobby, une passion et une vocation 1
»

4.8/5
Gens de la Beauce
Gens de la Beauce

10 critiques Suivre son activité

1,0
Publiée le 26 février 2023
Steven Spielberg est loin, très loin de nous faire rêver ou de nous émouvoir dans ce navet de 2h20. Énorme déception, c'est plat, sans surprise, nombriliste et même communautaire. La dernière demi heure frise le ridicule, notamment l'idylle au lycée et la rencontré avec John Ford. Le film de trop pour le créateur d'ET ?
Chuck les bons tuyaus
Chuck les bons tuyaus

2 abonnés 7 critiques Suivre son activité

5,0
Publiée le 28 février 2023
Quel film ! Le cinéma d'Hollywood dans toute sa splendeur : musique, émotions, acteurs au sommet de leur art, tout y est.
Merci monsieur Spielberg de nous rappeler à quel point le cinéma est bien vivant et comment !
A l'heure de Netflix et autres séries, qu'il est bon de constater à quel point l'expérience d'un cinéma est incomparable !
Eyrrin
Eyrrin

5 critiques Suivre son activité

2,0
Publiée le 26 février 2023
Une déception amère.
On se dit : "c'est un film de Spielberg ; ça sera forcément un film grandiose qui en met plein la vue"
On est très loin du compte.
J'ai toujours aimé sa filmographie mais ce film n'a fait ressurgir aucune joie aucune émotion de mon bien être.
Des longueurs, une musique patoche déjà entendue et encore entendue. Des émotions fausses des acteurs et actrices... tout ça recouvert d'une sauce molle américaine et résultat je me suis ennuyé du début jusqu'à la fin.
J'ai mis 2 car c'est du Spielberg et il faut un minimum de respect pour ce grand maître du cinéma. Sous prétexte que c'est un film de Spielberg et 11 nominations et 2 oscars, pffffff ça se voit que tout est payé ! Comme pour Titanic ; exactement pareil.
C'est un bon film mais ni plus et sûrement pas mérité d'obtenir autant de pub et de récompenses.
Bref je suis très déçu par ce film.
Après c'est un avis personnel, libre à vous de penser ce que vous souhaitez.
Donatelloow
Donatelloow

54 abonnés 326 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 14 mars 2023
The Fabelmans est vraiment un très beau film et un beau moment de cinéma. Le montage est impeccable et la photographie sublime.
Le seul bémol est la durée du film. J'ai trouvé qu'il y avait un peu trop de longueur surtout vers la fin.
Mais je le recommande vraiment.
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