Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
43 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Quel film ! On pourrait croire qu’à 76 printemps, Steven Spielberg aurait tout dit et tout montré. The Fabelmans prouve qu’il en a encore sous le capot et pas qu’un peu.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Bande à part
par Anne-Claire Cieutat
Avec The Fabelmans, Steven Spielberg signe son film le plus intime. Un récit initiatique autant qu’un hommage vibrant à sa famille et au cinéma. Humaniste et bouleversant.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
CNews
par La rédaction
Fable universelle qui évoque le rêve américain à travers le récit initiatique de ce jeune Sammy, "The Fabelmans" reste un magnifique hommage au cinéma et une sublime déclaration d’amour de Steven Spielberg à son art. Avec toute la tendresse et la bienveillance que l'on retrouve dans la filmographie de l'Américain.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Cahiers du Cinéma
par Jérôme Momcilovic
Il y a plus d’une raison d’être ému aux larmes devant The Fabelmans, qui n’est pourtant pas plus un mélo qu’il n’est suspect de chantage à l’émotion (...) Au soir de sa carrière, Spielberg, comme beaucoup de ses personnages avant lui, rentre à la maison.
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Un très grand film.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Closer
par J.B.
Explorant à la fois des enjeux intimes, la poursuite du rêve américain et le Nouvel Hollywood, le réalisateur d'E.T. filme sur la corde sensible entre émerveillement, nostalgie et créativité.
Critikat.com
par Josué Morel
De ses souvenirs d'enfance, Spielberg tire un film à la fois lumineux et d'une brutalité feutrée, quasi étouffée.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par Jean-François Dickeli
Un long-métrage intimiste et sublime, qui fuit l’enfermement égotique au profit de l’universel.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Spielberg n’aurait pas été Spielberg sans Leah Adler. Elle est son « porte-bonheur ». Dans l’une des scènes les plus fortes de The Fabelmans Mitzi embarque ses enfants en voiture à la poursuite d’une tornade.
Elle
par Françoise Delbecq
Ce trente-cinquième film est déjà inoubliable.
Filmsactu
par La Rédaction
Magistral, bouleversant mais aussi drôle. Du très très grand Spielberg.
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
GQ
par Adam Sanchez
À des kilomètres de l’exercice nombriliste d’un artiste regardant dans le rétro les raisons de sa légende, The Fabelmans ressemble davantage à un exercice réflexif, et parfois douloureux, sur les manières dont l’artiste peut fédérer, diviser, bouleverser la perception de soi et des autres au travers d’un mouvement de caméra a priori insignifiant et d’images collées les unes derrière les autres.
La critique complète est disponible sur le site GQ
L'Humanité
par Cyprien Caddeo
The Fabelmans n’est pas tant une œuvre- testament qu’un film matriciel, une autobiographie intime et sensible où Steven Spielberg raconte sa famille, son enfance ballottée de l’Ohio à l’Arizona puis en Californie.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Le réalisateur star évoque frontalement son enfance, ses parents, sa passion pour le cinéma. Une vraie mise à nu, inédite. Ce faisant, il signe un film universel et bouleversant sur une dislocation familiale. Et sur la puissance révélatrice des images. Magistral.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Steven Spielberg rend aussi un hommage formidable à John Ford, grand réalisateur de l’âge d’or de Hollywood, figure légendaire du western, rencontré dans sa jeunesse.
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Le trente-quatrième long-métrage du cinéaste américain est l’un de ses plus beaux. Le plus personnel aussi, puisqu’il y retrace son enfance, sa découverte du cinéma et la séparation de ses parents.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Un jeu de miroirs aussi jubilatoire que généreux grâce à une narration d’une fluidité absolue, une interprétation tout en subtilité, une mise en scène qui tutoie l’excellence, composant des plans sublimes pour déclarer son amour à sa famille et dire la nécessité de croire en ses rêves.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Journal du Geek
par Allan Blanvillain
Le réalisateur, le vrai, filme ces vies avec une immense tendresse, offrant à chacun un bel écrin où la moindre subtilité leur permet de briller.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Geek
Le Monde
par Mathieu Macheret
Cette matière intime, Spielberg l’enrobe chaleureusement dans les termes d’un classicisme magnifique, avec un sens du détail saillant et une sensibilité tragi-comique.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Yves Jaeglé
Un magnifique récit autobiographique.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Philippe Guedj
Porté par mille idées de mise en scène et un casting attachant, cette odyssée intime frappe en plein cœur.
Les Echos
par Olivier de Bruyn
Avec un art du récit et une fluidité imparables, Steven Spielberg, dans cette fiction pudique et émouvante, se revisite comme jamais et offre au spectateur de nombreuses pistes pour mieux comprendre son parcours.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Thomas Fouet
Film-somme - film-source -, explication de texte de l’œuvre de Spielberg, autobiographie à peine déguisée, The Fabelmans est une splendeur.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
Voilà la grande leçon truffaldienne – le cinéma comme art du “mensonge organisé”, opposé à la “vérité en vrac”, l’artifice au service de l’émotion – que le film va s’évertuer à appliquer et à mettre en crise, par une dialectique follement poétique.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Clélia Cohen
On aura rarement vu un tel concentré de lumière et de tristesse mêlées dans un seul film, qui se regarde yeux mouillés et sourire aux lèvres. On savait le cinéma de Spielberg personnel depuis les débuts, mais on n’aurait jamais pu imaginer le degré d’intimité auquel soixante ans de films le mèneraient, capable de livrer ainsi une histoire-monde, simple comme bonjour, pleine de vie, de rebondissements, encapsulant ses souvenirs sans une once de mièvrerie, mais avec une bonne dose de malice.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Mad Movies
par Alexandre Poncet
Œuvre d'une précision et d'une complexité vertigineuses, soutenue par des comédiens en état de grâce et ponctuée par l'un des plus beaux thèmes musicaux jamais composés par John Williams, "The Fabelmans" est autant une autobiographie qu'une réflexion longuement mûrie sur la compréhension de l'autre, la nécessité du pardon, l'épreuve de la passion et les risques de l'art.
Marianne
par Olivier De Bruyn
Steven Spielberg aura attendu ses 76 ans pour prendre à bras-le-corps les traumatismes de sa jeunesse et la naissance de sa vocation artistique. « The Fabelmans », fiction inspirée, cocasse et émouvante, nous offre de nombreuses clés pour revisiter son œuvre colossale. Bienvenue dans l’intimité d’un grand cinéaste.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Première
par François Grelet
Et puis surtout, comme souvent dans la vie, il faudra s’en remettre à l’expertise de John Ford. Guest-star de l’épilogue et auteur ici d’un cours magistral aussi express qu’anthologique, il révélera au gamin que le cinéma est avant tout un art du déséquilibre et qu’il n’y a bien que les idiots pour placer la ligne d’horizon au milieu du cadre. Et s’il fallait vraiment trouver une morale The Fabelmans ça serait probablement celle-là.
La critique complète est disponible sur le site Première
Public
par La Rédaction
Magnifique déclaration d'amour au cinéma et à sa maman de la part de l'un des plus grands cinéastes contemporains.
Rolling Stone
par Sophie Rosemont
Malgré le lourd poids sur ses épaules, Gabriel LaBelle brille par son jeu sobre, parfois traversé d’euphorie créative ou d’accès de colère. Entre passion et mélancolie, Michelle Williams et Paul Dano sont d’une justesse épatante, tout comme Seth Rogen, dans un rôle pourtant ingrat mais crucial dans la narration.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Transfuge
par Séverine Danflous
Rarement un cinéaste aura réussi le pari de remonter avec un tel bonheur aux origines de son désir de cinéma, de son goût pour le jeu et la vie en plus grand, plus large, plus modelable.
Télé 2 semaines
par Camille Brun
Un hommage au septième art qui ne pourra que faire vibrer les cinéphiles, et une exploration impressionniste et déchirante du passé fondateur d'un artiste génial. Superbe !
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
En signant son film le plus personnel, Spielberg émerveille et touche au plus profond, parce qu’il nous offre ici des clés pour comprendre tous les autres.
Télé Loisirs
par Camille Brun
Cette œuvre magnifique est à la fois un hommage au septième art qui ne pourra que faire vibrer les cinéphiles, et une exploration impressionniste et déchirante du passé fondateur d'un artiste génial. Superbe.
Télérama
par Louis Guichard
Dans cette famille abritant un secret, l’apprentissage du fils futur cinéaste prend des allures romanesques. Le réalisateur raconte sa jeunesse. Magistral, et bouleversant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
Récit autobiographique émouvant d'une vocation et réflexion passionnante sur le pouvoir de cristallisation et de dévoilement des images, The Fabelmans est sans doute l'oeuvre la plus ouvertement psychanalytique de Steven Spielberg. Pour le coup, le vrai film du mois.
aVoir-aLire.com
par Julien Rocher
Après avoir arpenté sa cinémathèque intérieure durant plus d’une décennie, Steven Spielberg parachève son œuvre avec The Fabelmans, synthèse à la fois ingénue et érudite de l’obsession ineffable du réalisateur pour le cinéma, ultime refuge du faiseur de rêves, capable de transcender le réel.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Une des plus belles réussites de The Fablemans réside dans la transmission de la passion d’un gosse pour le cinéma. Elle s’étend à la réalisation précoce d’une foule de courts métrages amateurs de plus en plus sophistiqués, montés avec les moyens du bord, inventifs et enthousiastes.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par François Forestier
Dans « The Fabelmans », le cinéaste reprend des anecdotes mille fois racontées, les repeint aux couleurs de la mélancolie, et les livre sur une musique aux petits oignons de John Williams et des images superbes de son chef op, Janusz Kaminski.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
Autour du jeune Gabriel LaBelle, Paul Dano et Michelle Williams livrent une partition subtile dans un film qui laisse toute sa place à l’imaginaire de l’enfance et aux pouvoirs mystérieux des images.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Marie Claire
par Emily Barnett
Mi-fresque d'époque (ah, la Californie des années 60 !), mi-retour aux origines, The Fabelmans aurait-il, sous ses airs guillerets, une ambition de film testamentaire ? On y songe avec cette confession du cinéaste de 76 ans.
La critique complète est disponible sur le site Marie Claire
Paris Match
par Fabrice Leclerc
Intime et brillant.
Sud Ouest
par Julien Rousset
Steven Spielberg , à 76 ans, fend l’armure : il propose un portrait de ses parents qui évite tout pathos, reste sans cesse arrimé à la joie et la douceur.
20 Minutes
Quel film ! On pourrait croire qu’à 76 printemps, Steven Spielberg aurait tout dit et tout montré. The Fabelmans prouve qu’il en a encore sous le capot et pas qu’un peu.
Bande à part
Avec The Fabelmans, Steven Spielberg signe son film le plus intime. Un récit initiatique autant qu’un hommage vibrant à sa famille et au cinéma. Humaniste et bouleversant.
CNews
Fable universelle qui évoque le rêve américain à travers le récit initiatique de ce jeune Sammy, "The Fabelmans" reste un magnifique hommage au cinéma et une sublime déclaration d’amour de Steven Spielberg à son art. Avec toute la tendresse et la bienveillance que l'on retrouve dans la filmographie de l'Américain.
Cahiers du Cinéma
Il y a plus d’une raison d’être ému aux larmes devant The Fabelmans, qui n’est pourtant pas plus un mélo qu’il n’est suspect de chantage à l’émotion (...) Au soir de sa carrière, Spielberg, comme beaucoup de ses personnages avant lui, rentre à la maison.
CinemaTeaser
Un très grand film.
Closer
Explorant à la fois des enjeux intimes, la poursuite du rêve américain et le Nouvel Hollywood, le réalisateur d'E.T. filme sur la corde sensible entre émerveillement, nostalgie et créativité.
Critikat.com
De ses souvenirs d'enfance, Spielberg tire un film à la fois lumineux et d'une brutalité feutrée, quasi étouffée.
Culturopoing.com
Un long-métrage intimiste et sublime, qui fuit l’enfermement égotique au profit de l’universel.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Spielberg n’aurait pas été Spielberg sans Leah Adler. Elle est son « porte-bonheur ». Dans l’une des scènes les plus fortes de The Fabelmans Mitzi embarque ses enfants en voiture à la poursuite d’une tornade.
Elle
Ce trente-cinquième film est déjà inoubliable.
Filmsactu
Magistral, bouleversant mais aussi drôle. Du très très grand Spielberg.
GQ
À des kilomètres de l’exercice nombriliste d’un artiste regardant dans le rétro les raisons de sa légende, The Fabelmans ressemble davantage à un exercice réflexif, et parfois douloureux, sur les manières dont l’artiste peut fédérer, diviser, bouleverser la perception de soi et des autres au travers d’un mouvement de caméra a priori insignifiant et d’images collées les unes derrière les autres.
L'Humanité
The Fabelmans n’est pas tant une œuvre- testament qu’un film matriciel, une autobiographie intime et sensible où Steven Spielberg raconte sa famille, son enfance ballottée de l’Ohio à l’Arizona puis en Californie.
La Voix du Nord
Le réalisateur star évoque frontalement son enfance, ses parents, sa passion pour le cinéma. Une vraie mise à nu, inédite. Ce faisant, il signe un film universel et bouleversant sur une dislocation familiale. Et sur la puissance révélatrice des images. Magistral.
Le Dauphiné Libéré
Steven Spielberg rend aussi un hommage formidable à John Ford, grand réalisateur de l’âge d’or de Hollywood, figure légendaire du western, rencontré dans sa jeunesse.
Le Figaro
Le trente-quatrième long-métrage du cinéaste américain est l’un de ses plus beaux. Le plus personnel aussi, puisqu’il y retrace son enfance, sa découverte du cinéma et la séparation de ses parents.
Le Journal du Dimanche
Un jeu de miroirs aussi jubilatoire que généreux grâce à une narration d’une fluidité absolue, une interprétation tout en subtilité, une mise en scène qui tutoie l’excellence, composant des plans sublimes pour déclarer son amour à sa famille et dire la nécessité de croire en ses rêves.
Le Journal du Geek
Le réalisateur, le vrai, filme ces vies avec une immense tendresse, offrant à chacun un bel écrin où la moindre subtilité leur permet de briller.
Le Monde
Cette matière intime, Spielberg l’enrobe chaleureusement dans les termes d’un classicisme magnifique, avec un sens du détail saillant et une sensibilité tragi-comique.
Le Parisien
Un magnifique récit autobiographique.
Le Point
Porté par mille idées de mise en scène et un casting attachant, cette odyssée intime frappe en plein cœur.
Les Echos
Avec un art du récit et une fluidité imparables, Steven Spielberg, dans cette fiction pudique et émouvante, se revisite comme jamais et offre au spectateur de nombreuses pistes pour mieux comprendre son parcours.
Les Fiches du Cinéma
Film-somme - film-source -, explication de texte de l’œuvre de Spielberg, autobiographie à peine déguisée, The Fabelmans est une splendeur.
Les Inrockuptibles
Voilà la grande leçon truffaldienne – le cinéma comme art du “mensonge organisé”, opposé à la “vérité en vrac”, l’artifice au service de l’émotion – que le film va s’évertuer à appliquer et à mettre en crise, par une dialectique follement poétique.
Libération
On aura rarement vu un tel concentré de lumière et de tristesse mêlées dans un seul film, qui se regarde yeux mouillés et sourire aux lèvres. On savait le cinéma de Spielberg personnel depuis les débuts, mais on n’aurait jamais pu imaginer le degré d’intimité auquel soixante ans de films le mèneraient, capable de livrer ainsi une histoire-monde, simple comme bonjour, pleine de vie, de rebondissements, encapsulant ses souvenirs sans une once de mièvrerie, mais avec une bonne dose de malice.
Mad Movies
Œuvre d'une précision et d'une complexité vertigineuses, soutenue par des comédiens en état de grâce et ponctuée par l'un des plus beaux thèmes musicaux jamais composés par John Williams, "The Fabelmans" est autant une autobiographie qu'une réflexion longuement mûrie sur la compréhension de l'autre, la nécessité du pardon, l'épreuve de la passion et les risques de l'art.
Marianne
Steven Spielberg aura attendu ses 76 ans pour prendre à bras-le-corps les traumatismes de sa jeunesse et la naissance de sa vocation artistique. « The Fabelmans », fiction inspirée, cocasse et émouvante, nous offre de nombreuses clés pour revisiter son œuvre colossale. Bienvenue dans l’intimité d’un grand cinéaste.
Première
Et puis surtout, comme souvent dans la vie, il faudra s’en remettre à l’expertise de John Ford. Guest-star de l’épilogue et auteur ici d’un cours magistral aussi express qu’anthologique, il révélera au gamin que le cinéma est avant tout un art du déséquilibre et qu’il n’y a bien que les idiots pour placer la ligne d’horizon au milieu du cadre. Et s’il fallait vraiment trouver une morale The Fabelmans ça serait probablement celle-là.
Public
Magnifique déclaration d'amour au cinéma et à sa maman de la part de l'un des plus grands cinéastes contemporains.
Rolling Stone
Malgré le lourd poids sur ses épaules, Gabriel LaBelle brille par son jeu sobre, parfois traversé d’euphorie créative ou d’accès de colère. Entre passion et mélancolie, Michelle Williams et Paul Dano sont d’une justesse épatante, tout comme Seth Rogen, dans un rôle pourtant ingrat mais crucial dans la narration.
Transfuge
Rarement un cinéaste aura réussi le pari de remonter avec un tel bonheur aux origines de son désir de cinéma, de son goût pour le jeu et la vie en plus grand, plus large, plus modelable.
Télé 2 semaines
Un hommage au septième art qui ne pourra que faire vibrer les cinéphiles, et une exploration impressionniste et déchirante du passé fondateur d'un artiste génial. Superbe !
Télé 7 Jours
En signant son film le plus personnel, Spielberg émerveille et touche au plus profond, parce qu’il nous offre ici des clés pour comprendre tous les autres.
Télé Loisirs
Cette œuvre magnifique est à la fois un hommage au septième art qui ne pourra que faire vibrer les cinéphiles, et une exploration impressionniste et déchirante du passé fondateur d'un artiste génial. Superbe.
Télérama
Dans cette famille abritant un secret, l’apprentissage du fils futur cinéaste prend des allures romanesques. Le réalisateur raconte sa jeunesse. Magistral, et bouleversant.
Voici
Récit autobiographique émouvant d'une vocation et réflexion passionnante sur le pouvoir de cristallisation et de dévoilement des images, The Fabelmans est sans doute l'oeuvre la plus ouvertement psychanalytique de Steven Spielberg. Pour le coup, le vrai film du mois.
aVoir-aLire.com
Après avoir arpenté sa cinémathèque intérieure durant plus d’une décennie, Steven Spielberg parachève son œuvre avec The Fabelmans, synthèse à la fois ingénue et érudite de l’obsession ineffable du réalisateur pour le cinéma, ultime refuge du faiseur de rêves, capable de transcender le réel.
Franceinfo Culture
Une des plus belles réussites de The Fablemans réside dans la transmission de la passion d’un gosse pour le cinéma. Elle s’étend à la réalisation précoce d’une foule de courts métrages amateurs de plus en plus sophistiqués, montés avec les moyens du bord, inventifs et enthousiastes.
L'Obs
Dans « The Fabelmans », le cinéaste reprend des anecdotes mille fois racontées, les repeint aux couleurs de la mélancolie, et les livre sur une musique aux petits oignons de John Williams et des images superbes de son chef op, Janusz Kaminski.
La Croix
Autour du jeune Gabriel LaBelle, Paul Dano et Michelle Williams livrent une partition subtile dans un film qui laisse toute sa place à l’imaginaire de l’enfance et aux pouvoirs mystérieux des images.
Marie Claire
Mi-fresque d'époque (ah, la Californie des années 60 !), mi-retour aux origines, The Fabelmans aurait-il, sous ses airs guillerets, une ambition de film testamentaire ? On y songe avec cette confession du cinéaste de 76 ans.
Paris Match
Intime et brillant.
Sud Ouest
Steven Spielberg , à 76 ans, fend l’armure : il propose un portrait de ses parents qui évite tout pathos, reste sans cesse arrimé à la joie et la douceur.