Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
Critikat.com
par Thomas Choury
Par ces allers-retours entre l’infiniment petit et l’infiniment grand, Makala embrasse presque d’un trait de plume, la filiation d’un esclave moderne du capitalisme mondialisé aux héros de nos mythes les plus universels.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Humanité
par Dominique Widemann
Attaché au réalisme le plus sincère, Emmanuel Gras s’empare des magnificences des lumières alentour, astres et phares, composant des cadres superbes.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Toujours dans l’action, sans commentaire superflu, juste quelques dialogues épars. Bouleversant.
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
On a presque la sensation de participer, de transpirer et de s'essouffler avec le personnage. Si la grandeur du cinéma réside dans sa puissance d'incarnation, de dévoilement, de renouvellement du regard, alors on sait que "Makala" est grand dès ses premières minutes.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Marcos Uzal
Emmanuel Gras fait plus que de documenter une réalité extérieure (...). Puisqu’il est un vrai cinéaste, il sublime cette réalité en révélant sa part d’étrangeté, de grandeur ou même de beauté, et il élève son personnage à hauteur de mythe en faisant résonner la condition humaine en ce seul être, sorte de Sisyphe incarné en un miséreux prolétaire africain.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Dominique Martinez
Image somptueuse, cadrages soignés, lumière naturelle choisie et quelques notes de violoncelle qui suggèrent une dimension existentielle. Emmanuel Gras ose la beauté de l'humain et de la matière pour filmer le travail (...).
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Un vrai coup de coeur.
Sud Ouest
par Sophie Avon
En un documentaire puissant où la trajectoire obstinée de ce villageois relève du mythologique, Emmanuel Gras prouve que la force d’un récit tient en la façon de regarder, non seulement les êtres mais également ce qui les entoure et ce qu’ils font, aussi modestes soient leurs gestes, car c’est alors un monde intérieur qui s’ouvre. Grand film.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Bande à part
par Olivier Pélisson
Après les champs et les vaches à 360 degrés de "Bovines", Emmanuel Gras trace sa route pour filmer une autre marche. Sur un autre continent. Dans un autre monde. Et pourtant nous partageons la même planète. "Makala" ou un périple documentaire fascinant.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Culturopoing.com
par Thomas Roland
Emmanuel Gras offre un témoignage sur le travail ouvrier et ses difficultés, met en évidence le fossé qui se trouve entre le producteur et le consommateur.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Express
par Antoine Le Fur
Emmanuel Gras réussit un film qui confine à l'expérience immersive. Une oeuvre à la fois sublime et déconcertante.
L'Obs
par Nicolas Schaller
Grand prix de la Semaine de la Critique, "Makala" se mérite. C'est un film aride, contemplatif et néanmoins incisif sur un Sisyphe de la misère en Afrique. Tout y est vrai et cinématographique.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
Emmanuel Gras transcende les frontières entre réel et fiction avec son documentaire « Makala » racontant l’épopée d’un villageois qui part à la ville vendre son charbon de bois dans l’espoir de donner un avenir meilleur à sa famille.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Paris Match
par Karelle Fitoussi
Ce documentaire épique et déchirant du réalisateur de « Bovines » sidère par sa beauté formelle entre road-movie onirique et quête initiatique.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Télérama
par Pierre Murat
A chaque instant, on sent le cinéaste se poser des questions : comment filmer Kabwita sans l’humilier ? Comment l’aider ? La tendresse de son regard est la meilleure des réponses.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Scrutant au plus près le labeur d’un travailleur africain, le réalisateur signe un documentaire digne et formellement audacieux.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
La Septième Obsession
par Sandrine Marques
Entre thriller social et chronique métaphysique, "Makala" brûle de l’essence noire de son titre. Il en a l’éclat ténébreux et la dureté, qui est aussi celle de la vie de Kabwita, héros d’un voyage harassant.
Le Figaro
par La Rédaction
Beau, mais bien contemplatif.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
"Makala" fait à ce titre partie d’une famille disparate qui, contre toute attente, réunit le néoréaliste "Voleur de bicyclette" (1948), de Vittorio De Sica, au huis clos hollywoodien, "On achève bien les chevaux" (1969), de Sydney Pollack.
Cahiers du Cinéma
par Camille Bui
Makala se construit en « bel objet » cinématographique sur le dos de son sujet, offrant une photographie coquette et dépolitisée de la misère du monde.
Critikat.com
Par ces allers-retours entre l’infiniment petit et l’infiniment grand, Makala embrasse presque d’un trait de plume, la filiation d’un esclave moderne du capitalisme mondialisé aux héros de nos mythes les plus universels.
L'Humanité
Attaché au réalisme le plus sincère, Emmanuel Gras s’empare des magnificences des lumières alentour, astres et phares, composant des cadres superbes.
Le Journal du Dimanche
Toujours dans l’action, sans commentaire superflu, juste quelques dialogues épars. Bouleversant.
Les Inrockuptibles
On a presque la sensation de participer, de transpirer et de s'essouffler avec le personnage. Si la grandeur du cinéma réside dans sa puissance d'incarnation, de dévoilement, de renouvellement du regard, alors on sait que "Makala" est grand dès ses premières minutes.
Libération
Emmanuel Gras fait plus que de documenter une réalité extérieure (...). Puisqu’il est un vrai cinéaste, il sublime cette réalité en révélant sa part d’étrangeté, de grandeur ou même de beauté, et il élève son personnage à hauteur de mythe en faisant résonner la condition humaine en ce seul être, sorte de Sisyphe incarné en un miséreux prolétaire africain.
Positif
Image somptueuse, cadrages soignés, lumière naturelle choisie et quelques notes de violoncelle qui suggèrent une dimension existentielle. Emmanuel Gras ose la beauté de l'humain et de la matière pour filmer le travail (...).
Studio Ciné Live
Un vrai coup de coeur.
Sud Ouest
En un documentaire puissant où la trajectoire obstinée de ce villageois relève du mythologique, Emmanuel Gras prouve que la force d’un récit tient en la façon de regarder, non seulement les êtres mais également ce qui les entoure et ce qu’ils font, aussi modestes soient leurs gestes, car c’est alors un monde intérieur qui s’ouvre. Grand film.
Bande à part
Après les champs et les vaches à 360 degrés de "Bovines", Emmanuel Gras trace sa route pour filmer une autre marche. Sur un autre continent. Dans un autre monde. Et pourtant nous partageons la même planète. "Makala" ou un périple documentaire fascinant.
Culturopoing.com
Emmanuel Gras offre un témoignage sur le travail ouvrier et ses difficultés, met en évidence le fossé qui se trouve entre le producteur et le consommateur.
L'Express
Emmanuel Gras réussit un film qui confine à l'expérience immersive. Une oeuvre à la fois sublime et déconcertante.
L'Obs
Grand prix de la Semaine de la Critique, "Makala" se mérite. C'est un film aride, contemplatif et néanmoins incisif sur un Sisyphe de la misère en Afrique. Tout y est vrai et cinématographique.
La Croix
Emmanuel Gras transcende les frontières entre réel et fiction avec son documentaire « Makala » racontant l’épopée d’un villageois qui part à la ville vendre son charbon de bois dans l’espoir de donner un avenir meilleur à sa famille.
Paris Match
Ce documentaire épique et déchirant du réalisateur de « Bovines » sidère par sa beauté formelle entre road-movie onirique et quête initiatique.
Télérama
A chaque instant, on sent le cinéaste se poser des questions : comment filmer Kabwita sans l’humilier ? Comment l’aider ? La tendresse de son regard est la meilleure des réponses.
aVoir-aLire.com
Scrutant au plus près le labeur d’un travailleur africain, le réalisateur signe un documentaire digne et formellement audacieux.
La Septième Obsession
Entre thriller social et chronique métaphysique, "Makala" brûle de l’essence noire de son titre. Il en a l’éclat ténébreux et la dureté, qui est aussi celle de la vie de Kabwita, héros d’un voyage harassant.
Le Figaro
Beau, mais bien contemplatif.
Le Monde
"Makala" fait à ce titre partie d’une famille disparate qui, contre toute attente, réunit le néoréaliste "Voleur de bicyclette" (1948), de Vittorio De Sica, au huis clos hollywoodien, "On achève bien les chevaux" (1969), de Sydney Pollack.
Cahiers du Cinéma
Makala se construit en « bel objet » cinématographique sur le dos de son sujet, offrant une photographie coquette et dépolitisée de la misère du monde.