Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
22 critiques presse
Paris Match
par Karelle Fitoussi
Chef de file d’une génération perdue mais jamais résignée, Vincent Macaigne signe un premier film énervé, mais hanté par une profonde mélancolie qui va droit au coeur.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Cahiers du Cinéma
par Joachim Lepastier
Si le film convoque pareillement la tendresse et l’invective, avec une sorte de fougue aristo-punk, c’est pour en faire émerger quelques mots, quelques gestes, un « réconfort » partagé pour chercher où et comment nous pourrions vieillir ensemble.
Critikat.com
par Gabrielle Adjerad
Avec des moyens de production limités, Vincent Macaigne livre ici une version dépouillée, distanciée mais éminemment politique du classique russe. Les membres de sa troupe s’y prennent au jeu de l’invective parfois cacophonique pour rendre visible et questionner ces lignes de partage social, toujours tenaces.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Humanité
par Emile Breton
Pour le réconfort est un beau film qui a quelque chose à dire sur notre monde et sait comment le dire.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Croix
par Didier Méreuze
Vincent Macaigne s’est entouré d’une bande d’acteurs magnifiques, tous ses complices de théâtre.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaroscope
par Etienne Sorin
Une postproduction très sophistiquée en fait un objet étonnant plastiquement et musicalement.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Les Fiches du Cinéma
par Clément Deleschaud
Vincent Macaigne signe une œuvre en forme de cri rageur, à l'émotion indéniable, portée par des acteurs exceptionnels. Un film marginal et réjouissant par sa liberté de ton.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Les horreurs de la haine de classe, la médiocrité maladive des uns, l’arrogance vulgaire des autres, entrent en ébullition dans ce film qui ne trompe personne en s’avançant comme un brouillon incontrôlé : au contraire, on tient bien là un virulent retour du refoulé qui n’est pas sans résonance dans la France de Macron.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Olivier Lamm
(...) une expérience de cinéma languissante et inconfortable, in fine palpitante. Car il s’y dessine paradoxalement, entre autres tentatives, une voie de sortie affriolante pour le drame social à la française, dont l’ambition très contemporaine serait d’embrasser dans une seule et même tragédie, enfin, les affres du pied de l’échelle à son dernier barreau.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Transfuge
par Sidy Sakho
(...) un premier long-métrage féroce (...).
Télérama
par Jérémie Couston
Voilà un film générationnel, qui pose plus de questions qu’il n’apporte de réponses sur cette jeunesse française incapable de trouver sa place parmi les baby-boomeurs devenus "papy-boomeurs" triomphants. Pour tenir debout, elle peut compter sur Macaigne, rebelle sans cause et sans illusions, sinon celle de redonner un peu d’espoir.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Julien Dugois
Bien qu’il soit devenu célèbre, Vincent Macaigne n’a rien perdu de son mordant. C’est ce que prouve son premier long-métrage, une œuvre modeste sur la forme et transgressive sur le fond. Un tour de force en somme.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Sur un thème qui fait penser de loin à “La Cerisaie”, le premier film de Vincent Macaigne, tout à fait à son image : désarçonnant, tendre et grossier, entre douceur de la nostalgie et violence des luttes de classes.
Le Figaro
par Armelle Héliot
Le metteur en scène réunit ses comédiens dans un film tout en ellipses et saturation de sons et d'images. Un objet à part.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Un film déconcertant et tapageur certes, mais aussi rugueux, bien écrit et interprété avec conviction.
Le Monde
par Mathieu Macheret
(...) le véritable intérêt du film est ailleurs. Dans l’invention avec sa troupe de comédiens, d’un naturel qui doit moins au naturalisme courant qu’à la conquête d’une forme aussi viscérale que sophistiquée. Une démarche à suivre.
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Dans le costard de l’auteur névrosé, pervers narcissique, maniériste et pleurnichard, Vincent Macaigne excelle, hystérisant ses personnages dans une atmosphère qui fleure fort l’égout. Pas une once d’empathie dans cet aigre cinéma de la détestation.
Positif
par Jean-Dominique Nuttens
(...) sentiment d’assister à un concours d’improvisations théâtrales sur un sujet imposé, qui peine à constituer un film à part entière.
Première
par Christophe Narbonne
C’est un film à rebrousse-poil, mal embouché et malpoli, qui irrite plus qu’il ne convainc à cause de sa noirceur irrémédiable, de son hystérie congénitale et de son interprétation flottante –et en dépit de sa sincérité.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
(...) ces affrontements verbaux de la "France d'en haut" avec celle "d'en bas" brillent beaucoup moins à force d'enfiler des perles avec un air supérieur qui éloigne peu à peu du récit comme des personnages.
Ecran Large
par Simon Riaux
Difficile de s'accrocher à quoi que ce soit dans ce film ratatiné, qui s'inscrit dans la charte d'une ascèse factice, qui désosse le projet et en souligne la charge politique bécasse.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Express
par Christophe Carrière
Ça s'écoute parler pour ne rien dire. Ça se regarde filmer pour ne rien montrer d'intéressant.
Paris Match
Chef de file d’une génération perdue mais jamais résignée, Vincent Macaigne signe un premier film énervé, mais hanté par une profonde mélancolie qui va droit au coeur.
Cahiers du Cinéma
Si le film convoque pareillement la tendresse et l’invective, avec une sorte de fougue aristo-punk, c’est pour en faire émerger quelques mots, quelques gestes, un « réconfort » partagé pour chercher où et comment nous pourrions vieillir ensemble.
Critikat.com
Avec des moyens de production limités, Vincent Macaigne livre ici une version dépouillée, distanciée mais éminemment politique du classique russe. Les membres de sa troupe s’y prennent au jeu de l’invective parfois cacophonique pour rendre visible et questionner ces lignes de partage social, toujours tenaces.
L'Humanité
Pour le réconfort est un beau film qui a quelque chose à dire sur notre monde et sait comment le dire.
La Croix
Vincent Macaigne s’est entouré d’une bande d’acteurs magnifiques, tous ses complices de théâtre.
Le Figaroscope
Une postproduction très sophistiquée en fait un objet étonnant plastiquement et musicalement.
Les Fiches du Cinéma
Vincent Macaigne signe une œuvre en forme de cri rageur, à l'émotion indéniable, portée par des acteurs exceptionnels. Un film marginal et réjouissant par sa liberté de ton.
Les Inrockuptibles
Les horreurs de la haine de classe, la médiocrité maladive des uns, l’arrogance vulgaire des autres, entrent en ébullition dans ce film qui ne trompe personne en s’avançant comme un brouillon incontrôlé : au contraire, on tient bien là un virulent retour du refoulé qui n’est pas sans résonance dans la France de Macron.
Libération
(...) une expérience de cinéma languissante et inconfortable, in fine palpitante. Car il s’y dessine paradoxalement, entre autres tentatives, une voie de sortie affriolante pour le drame social à la française, dont l’ambition très contemporaine serait d’embrasser dans une seule et même tragédie, enfin, les affres du pied de l’échelle à son dernier barreau.
Transfuge
(...) un premier long-métrage féroce (...).
Télérama
Voilà un film générationnel, qui pose plus de questions qu’il n’apporte de réponses sur cette jeunesse française incapable de trouver sa place parmi les baby-boomeurs devenus "papy-boomeurs" triomphants. Pour tenir debout, elle peut compter sur Macaigne, rebelle sans cause et sans illusions, sinon celle de redonner un peu d’espoir.
aVoir-aLire.com
Bien qu’il soit devenu célèbre, Vincent Macaigne n’a rien perdu de son mordant. C’est ce que prouve son premier long-métrage, une œuvre modeste sur la forme et transgressive sur le fond. Un tour de force en somme.
Le Dauphiné Libéré
Sur un thème qui fait penser de loin à “La Cerisaie”, le premier film de Vincent Macaigne, tout à fait à son image : désarçonnant, tendre et grossier, entre douceur de la nostalgie et violence des luttes de classes.
Le Figaro
Le metteur en scène réunit ses comédiens dans un film tout en ellipses et saturation de sons et d'images. Un objet à part.
Le Journal du Dimanche
Un film déconcertant et tapageur certes, mais aussi rugueux, bien écrit et interprété avec conviction.
Le Monde
(...) le véritable intérêt du film est ailleurs. Dans l’invention avec sa troupe de comédiens, d’un naturel qui doit moins au naturalisme courant qu’à la conquête d’une forme aussi viscérale que sophistiquée. Une démarche à suivre.
La Voix du Nord
Dans le costard de l’auteur névrosé, pervers narcissique, maniériste et pleurnichard, Vincent Macaigne excelle, hystérisant ses personnages dans une atmosphère qui fleure fort l’égout. Pas une once d’empathie dans cet aigre cinéma de la détestation.
Positif
(...) sentiment d’assister à un concours d’improvisations théâtrales sur un sujet imposé, qui peine à constituer un film à part entière.
Première
C’est un film à rebrousse-poil, mal embouché et malpoli, qui irrite plus qu’il ne convainc à cause de sa noirceur irrémédiable, de son hystérie congénitale et de son interprétation flottante –et en dépit de sa sincérité.
Studio Ciné Live
(...) ces affrontements verbaux de la "France d'en haut" avec celle "d'en bas" brillent beaucoup moins à force d'enfiler des perles avec un air supérieur qui éloigne peu à peu du récit comme des personnages.
Ecran Large
Difficile de s'accrocher à quoi que ce soit dans ce film ratatiné, qui s'inscrit dans la charte d'une ascèse factice, qui désosse le projet et en souligne la charge politique bécasse.
L'Express
Ça s'écoute parler pour ne rien dire. Ça se regarde filmer pour ne rien montrer d'intéressant.