Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
Transfuge
par Damien Aubel
Premier long de Matan Yair, "Les Destinées d’Asher" rejoue brillamment l’éternel malaise du teenager.
Les Fiches du Cinéma
par Roland Hélié
Un premier long métrage sensible et singulier, qui fait de la transmission du savoir son beau souci.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Ophir Levy
Les jeunes comédiens amateurs sont, à l'image du film, d'une justesse remarquable (...).
Télérama
par Pierre Murat
Dans une société israélienne masculine (Asher est sans mère et sans vraie copine), Matan Yair signe un premier long métrage extrêmement prometteur, tout en violences secrètes et en hypocrisies cachées.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Humanité
par Vincent Ostria
Stylistiquement passe-partout, le film tire toute sa force de son jeune acteur explosif.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par François Forestier
Asher Lax, l'acteur et personnage principal, a été l'étudiant de Yair, et on sent, dans le film, une vérité évidente. Situé à Herzliya, au nord de Tel-Aviv, dans un milieu prolétaire (rare dans le cinéma israélien), le récit est un roman d'apprentissage, filmé de façon quasi documentaire. Une découverte mineure, mais une découverte.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par La Rédaction
Un exercice d'humanité riche d'enseignement et de poésie.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Murielle Joudet
Le surgissement d’un drame qui affectera profondément Asher et la manière dont le cinéaste négocie ce virage étonne par un sens de la réinvention permanente où aucun événement ne se laisse anticiper.
Le Parisien
par La Rédaction
« Les destinées d’Asher » brosse un portrait touchant, subtil et extrêmement juste d’un jeune adulte qui cherche son chemin entre deux mondes.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Les Destinées d’Asher est une illustration classique des vertus de la pédagogie, mais aussi du dépassement de soi. Ça ne serait qu’une gentille leçon de sagesse si le film n’était pas transcendé par la présence explosive d’Asher Lax (...).
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Sophie Benamon
Filmé et écrit dans une veine très réaliste, interprété brillamment par des non professionnels aux trajectoires très similaires à celles de leurs personnages, Les destinées d’Asher est un film qui vous prend aux tripes.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
par Ariel Schweitzer
Un film qui peine à exister, la faute à un scénario un peu brouillon, voire expéditif, et à une mise en scène retenue, ou en manque d’inspiration, qui l’empêchent de déployer pleinement ses promesses.
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Si la banlieue de Tel Aviv et chacun des personnages sont dépeints avec sincérité et authenticité, on est saisi mais moins convaincu par le scénario, marqué sur le tard par une tragédie inattendue brouillant les pistes.
Libération
par Marcos Uzal
Sur le sujet d’un élève tiraillé entre déterminisme familial et émancipation par la culture, Matan Yair livre un film démonstratif et sans innovation.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Transfuge
Premier long de Matan Yair, "Les Destinées d’Asher" rejoue brillamment l’éternel malaise du teenager.
Les Fiches du Cinéma
Un premier long métrage sensible et singulier, qui fait de la transmission du savoir son beau souci.
Positif
Les jeunes comédiens amateurs sont, à l'image du film, d'une justesse remarquable (...).
Télérama
Dans une société israélienne masculine (Asher est sans mère et sans vraie copine), Matan Yair signe un premier long métrage extrêmement prometteur, tout en violences secrètes et en hypocrisies cachées.
L'Humanité
Stylistiquement passe-partout, le film tire toute sa force de son jeune acteur explosif.
L'Obs
Asher Lax, l'acteur et personnage principal, a été l'étudiant de Yair, et on sent, dans le film, une vérité évidente. Situé à Herzliya, au nord de Tel-Aviv, dans un milieu prolétaire (rare dans le cinéma israélien), le récit est un roman d'apprentissage, filmé de façon quasi documentaire. Une découverte mineure, mais une découverte.
Le Figaro
Un exercice d'humanité riche d'enseignement et de poésie.
Le Monde
Le surgissement d’un drame qui affectera profondément Asher et la manière dont le cinéaste négocie ce virage étonne par un sens de la réinvention permanente où aucun événement ne se laisse anticiper.
Le Parisien
« Les destinées d’Asher » brosse un portrait touchant, subtil et extrêmement juste d’un jeune adulte qui cherche son chemin entre deux mondes.
Les Inrockuptibles
Les Destinées d’Asher est une illustration classique des vertus de la pédagogie, mais aussi du dépassement de soi. Ça ne serait qu’une gentille leçon de sagesse si le film n’était pas transcendé par la présence explosive d’Asher Lax (...).
Première
Filmé et écrit dans une veine très réaliste, interprété brillamment par des non professionnels aux trajectoires très similaires à celles de leurs personnages, Les destinées d’Asher est un film qui vous prend aux tripes.
Cahiers du Cinéma
Un film qui peine à exister, la faute à un scénario un peu brouillon, voire expéditif, et à une mise en scène retenue, ou en manque d’inspiration, qui l’empêchent de déployer pleinement ses promesses.
Le Journal du Dimanche
Si la banlieue de Tel Aviv et chacun des personnages sont dépeints avec sincérité et authenticité, on est saisi mais moins convaincu par le scénario, marqué sur le tard par une tragédie inattendue brouillant les pistes.
Libération
Sur le sujet d’un élève tiraillé entre déterminisme familial et émancipation par la culture, Matan Yair livre un film démonstratif et sans innovation.