Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Ecran Large
par Chris Huby
Un premier long-métrage signé Zhang Tao auquel il faut s’intéresser pour peu que l’on connaisse la Chine et ses problématiques. Le cinéaste propose un film important pour son pays et il est fort probable qu’il finisse par développer des réflexions encore plus universelles.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un film tout en finesse et loin de tout pathos, pour dire le drame de la vieillesse et les relations familiales avec les vieux : dans la ligne d’Ozu, la force du minimalisme.
Le Figaro
par La Rédaction
Un beau premier film.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Un tableau pas franchement gai mais restitué de façon pertinente, sans exclure l’amour ni l’humour au sein d’une famille singulière.
Les Fiches du Cinéma
par Roland Hélié
Ce petit théâtre sociologique de la cruauté est l’un des plus beaux films qu’ait présenté cette année l’ACID à Cannes.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Transfuge
par Damien Aubel
il faut saluer l’intelligence narrative de Zhang Tao, il troue son récit de suffisamment d’ellipses, lui fait emprunter suffisamment de bifurcations, pour renverser l’aspect programmatique et instiller du romanesque dans le sociologique.
Télérama
par Jacques Morice
Le film est âpre, sec, tout près du documentaire, servi par des comédiens non professionnels excellents.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Camille Bui
Sans grand souffle de vie, le film ne fait qu’effleurer le drame intime que constitue cette fracture générationnelle dans une mise en scène souvent littérale.
L'Obs
par François Forestier
Zhang Tao, pour ce premier film, adopte un style documentaire (acteurs non professionnels) : le regard est terrible, la tragédie vire à l’horreur. C’est intéressant, certes, mais pourquoi doit-on s’infliger ce spectacle ?
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
La limite de ce film austère est clairement son étrangeté pour un public français, au sens premier – il peut s’y sentir étranger. (...) Pourtant, ce long-métrage offre une radiographie saisissante de la Chine rurale et évidemment de la condition de ses aînés.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Le rire de madame Lin est un cri social, une gifle à l’indifférence et à la cruauté d’une société cauchemardesque.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Alain Masson
Si la fragmentation du récit en scènes isolées par un seul cadrage contribue puissamment au sentiment d’authenticité qu’entendent produire la mise en scène et le dialogue, parce que ces scènes apparaissent comme de simples prélèvements arrachés au réel, il faut avouer que cette façon de faire voir ne favorise pas le dynamisme d’une intrigue : aucune progression, rien d’inattendu pour conduire à l’inévitable dénouement.
Le Monde
par Thomas Sotinel
Le style quasi documentaire véhicule les informations sur le sort des personnes âgées en République populaire de Chine, mais pas toujours l’émotion.
Libération
par Marcos Uzal
Trop paresseux et mécanique, le film de Zhang Tao manque d’émotion dans son portrait d’une aïeule chinoise devenue une charge pour les siens.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Studio Ciné Live
par Antoine Le Fur
Le scénario poussif et l'absence de mise en scène rendent ce film terriblement ennuyeux, malgré une bonne idée de départ.
Ecran Large
Un premier long-métrage signé Zhang Tao auquel il faut s’intéresser pour peu que l’on connaisse la Chine et ses problématiques. Le cinéaste propose un film important pour son pays et il est fort probable qu’il finisse par développer des réflexions encore plus universelles.
Le Dauphiné Libéré
Un film tout en finesse et loin de tout pathos, pour dire le drame de la vieillesse et les relations familiales avec les vieux : dans la ligne d’Ozu, la force du minimalisme.
Le Figaro
Un beau premier film.
Le Journal du Dimanche
Un tableau pas franchement gai mais restitué de façon pertinente, sans exclure l’amour ni l’humour au sein d’une famille singulière.
Les Fiches du Cinéma
Ce petit théâtre sociologique de la cruauté est l’un des plus beaux films qu’ait présenté cette année l’ACID à Cannes.
Transfuge
il faut saluer l’intelligence narrative de Zhang Tao, il troue son récit de suffisamment d’ellipses, lui fait emprunter suffisamment de bifurcations, pour renverser l’aspect programmatique et instiller du romanesque dans le sociologique.
Télérama
Le film est âpre, sec, tout près du documentaire, servi par des comédiens non professionnels excellents.
Cahiers du Cinéma
Sans grand souffle de vie, le film ne fait qu’effleurer le drame intime que constitue cette fracture générationnelle dans une mise en scène souvent littérale.
L'Obs
Zhang Tao, pour ce premier film, adopte un style documentaire (acteurs non professionnels) : le regard est terrible, la tragédie vire à l’horreur. C’est intéressant, certes, mais pourquoi doit-on s’infliger ce spectacle ?
La Croix
La limite de ce film austère est clairement son étrangeté pour un public français, au sens premier – il peut s’y sentir étranger. (...) Pourtant, ce long-métrage offre une radiographie saisissante de la Chine rurale et évidemment de la condition de ses aînés.
Les Inrockuptibles
Le rire de madame Lin est un cri social, une gifle à l’indifférence et à la cruauté d’une société cauchemardesque.
Positif
Si la fragmentation du récit en scènes isolées par un seul cadrage contribue puissamment au sentiment d’authenticité qu’entendent produire la mise en scène et le dialogue, parce que ces scènes apparaissent comme de simples prélèvements arrachés au réel, il faut avouer que cette façon de faire voir ne favorise pas le dynamisme d’une intrigue : aucune progression, rien d’inattendu pour conduire à l’inévitable dénouement.
Le Monde
Le style quasi documentaire véhicule les informations sur le sort des personnes âgées en République populaire de Chine, mais pas toujours l’émotion.
Libération
Trop paresseux et mécanique, le film de Zhang Tao manque d’émotion dans son portrait d’une aïeule chinoise devenue une charge pour les siens.
Studio Ciné Live
Le scénario poussif et l'absence de mise en scène rendent ce film terriblement ennuyeux, malgré une bonne idée de départ.