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Ce récit initiatique (un de plus) dérivant sur l’apprentissage de la liberté est filmé d’épidermique manière et interprété, avec grâce, par de furieuses natures d’actrices et d’acteurs. La claque !
Sur le même schéma qu’un film de danse, un film d’apprentissage qui est à la fois le portrait d’un âge encore tendre et une approche quasi documentaire sur un sport et un milieu. Et les deux sont réussis.
Tandis que son corps est mis à l'épreuve de la glace, ses désirs adolescents la détournent de ses ambitions sportives... Les deux réalisatrices filment leurs espoirs et les moments de découragement et dessinent un portrait fascinant de leur héroïne.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Kiss & Cry, outre sa charpente naturaliste, incorpore avec brio la greffe de bribes d’onirisme, d’instants clipés et de chorégraphies sublimées qui viennent s’épanouir dans d’épaisses volutes de fumée barbapapa, doux mariage de mouvements qui ont valeur de paroles et de musiques ravivant les corps.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Sur son versant de chronique, Kiss and Cry rejoint un petit continent récemment très exploré, de Mercuriales à Pauline s’arrache, de films qui font confiance au charisme de leur personnage pour laisser couler le temps nécessairement perdu des errances adolescentes.
Oscillant entre moments de franche comédie et vraie mélancolie distillée par endroits, le tendre et acide "Kiss And Cry" porte finalement bien son titre.
Entre documentaire et fiction, les deux réalisatrices nous embarquent dans un univers de compétition impitoyable, et réussissent à saisir les affres de l’adolescence en évitant les clichés.
Sans doute le film se repose-t-il un peu trop sur l’attrait inné de ses personnages (jeunesse et paillettes), s’en tenant à l’acquis d’une séduction évidente, sans trop chercher à construire avec eux quelque chose – une trame, une métamorphose – qui les dépasse. Mais, si léger soit-il, son charme n’en demeure pas moins réel (...).
Grâce au milieu décrit (…), le naturalisme trash est ici mâtiné d’un esprit pop élargissant le spectre de ce cinéma : comme si Prince rencontrait Pialat.
"Kiss & Cry" est un teen movie atypique, mal aimable qui capte avec une vérité rare la transition vers l’âge adulte avec son cortège de malentendus, de violence, d’hystérie et d’acceptation.
La critique complète est disponible sur le site Première
Après un documentaire sur le même sujet et avec les mêmes personnages (Boucle piqué, 2014), le duo de réalisatrices a imaginé ce film hybride, qui insuffle de la fiction et de l’onirisme dans une réalité déjà passionnante. Mélange concluant, jolie performance.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Lila Pinell et Chloé Mahieu s'inspirent du cinéma direct et dressent le portrait rebattu d'une ado d'aujourd'hui, dans la lignée des films de Sophie Letourneur ("la Vie au ranch"). Dommage, elles tenaient un beau personnage, réduit au méchant de l'histoire, en l'entraîneur Xavier, grande folle masquant sous ses méthodes tyranniques ses frustrations de champion raté.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Critikat.com
Il en ressort un teenage movie solaire qui revisite habilement les codes du genre.
La Voix du Nord
Ce récit initiatique (un de plus) dérivant sur l’apprentissage de la liberté est filmé d’épidermique manière et interprété, avec grâce, par de furieuses natures d’actrices et d’acteurs. La claque !
Le Dauphiné Libéré
Sur le même schéma qu’un film de danse, un film d’apprentissage qui est à la fois le portrait d’un âge encore tendre et une approche quasi documentaire sur un sport et un milieu. Et les deux sont réussis.
Le Figaro
Tandis que son corps est mis à l'épreuve de la glace, ses désirs adolescents la détournent de ses ambitions sportives... Les deux réalisatrices filment leurs espoirs et les moments de découragement et dessinent un portrait fascinant de leur héroïne.
Libération
Kiss & Cry, outre sa charpente naturaliste, incorpore avec brio la greffe de bribes d’onirisme, d’instants clipés et de chorégraphies sublimées qui viennent s’épanouir dans d’épaisses volutes de fumée barbapapa, doux mariage de mouvements qui ont valeur de paroles et de musiques ravivant les corps.
Ouest France
Un beau teen movie qui avance entre réalisme brut et fantasme violent.
Transfuge
Voilà un beau film hybride.
Cahiers du Cinéma
Sur son versant de chronique, Kiss and Cry rejoint un petit continent récemment très exploré, de Mercuriales à Pauline s’arrache, de films qui font confiance au charisme de leur personnage pour laisser couler le temps nécessairement perdu des errances adolescentes.
La Septième Obsession
Oscillant entre moments de franche comédie et vraie mélancolie distillée par endroits, le tendre et acide "Kiss And Cry" porte finalement bien son titre.
Le Journal du Dimanche
Entre documentaire et fiction, les deux réalisatrices nous embarquent dans un univers de compétition impitoyable, et réussissent à saisir les affres de l’adolescence en évitant les clichés.
Le Monde
Sans doute le film se repose-t-il un peu trop sur l’attrait inné de ses personnages (jeunesse et paillettes), s’en tenant à l’acquis d’une séduction évidente, sans trop chercher à construire avec eux quelque chose – une trame, une métamorphose – qui les dépasse. Mais, si léger soit-il, son charme n’en demeure pas moins réel (...).
Le Parisien
Un joli film.
Les Fiches du Cinéma
Le portrait, tendre et juste, d’une jeune fille en proie aux tourments de l’adolescence.
Les Inrockuptibles
Grâce au milieu décrit (…), le naturalisme trash est ici mâtiné d’un esprit pop élargissant le spectre de ce cinéma : comme si Prince rencontrait Pialat.
Première
"Kiss & Cry" est un teen movie atypique, mal aimable qui capte avec une vérité rare la transition vers l’âge adulte avec son cortège de malentendus, de violence, d’hystérie et d’acceptation.
Studio Ciné Live
Si sa forme hybride laisse dubitatif, ce doc capte néanmoins d'incroyables moments de vérité.
Télérama
Après un documentaire sur le même sujet et avec les mêmes personnages (Boucle piqué, 2014), le duo de réalisatrices a imaginé ce film hybride, qui insuffle de la fiction et de l’onirisme dans une réalité déjà passionnante. Mélange concluant, jolie performance.
aVoir-aLire.com
Chronique d’une adolescence tourmentée comme le cinéma en a tant offert, le film se distingue par son délicat dosage de fiction et de reportage.
L'Humanité
Quelques jolies touches kitsch sauvent le film de la banalité naturaliste.
L'Obs
Lila Pinell et Chloé Mahieu s'inspirent du cinéma direct et dressent le portrait rebattu d'une ado d'aujourd'hui, dans la lignée des films de Sophie Letourneur ("la Vie au ranch"). Dommage, elles tenaient un beau personnage, réduit au méchant de l'histoire, en l'entraîneur Xavier, grande folle masquant sous ses méthodes tyranniques ses frustrations de champion raté.