Le Ciel étoilé au-dessus de ma tête : Critique presse
Le Ciel étoilé au-dessus de ma tête
Note moyenne
3,4
20 titres de presse
Cahiers du Cinéma
Libération
BIBA
Elle
Positif
Première
Télérama
Femme Actuelle
L'Express
La Septième Obsession
Le Journal du Dimanche
Le Monde
Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
Ouest France
Voici
aVoir-aLire.com
L'Obs
La Croix
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
Le symbole le plus éclatant à ce jour de cette nouvelle bohème du cinéma français dissimulant sous les scintillements de la fantaisie, du pop et du burlesque la gueule de bois d’une génération tout entière.
Libération
par Jérémy Piette
Singulière, surprenante, de bon ton, cette comédie française arrive à point nommé pour marquer son territoire. Elle se démarque, sans grande prétention ni dérision déplacée, à travers une histoire qui grossit, grossit, grossit - de l’anémie jusqu’au débordement épanoui.
La critique complète est disponible sur le site Libération
BIBA
par Lili Yubari
Un huis-clos drôle et barré tendance parano, qui n'oublie jamais que l'amour est la plus belle des folies.
Elle
par Héléna Villovitch
On s'amuse avec ce Bruno qu'interprète un Laurent Poitrenaux très inspiré.
Positif
par Philippe Niel
Ce film pourrait tourner au brûlot contre l'hospitalisation à la demande d'un tiers, s'il n'y avait la variété de jeux des acteurs. Presque tous issus du théâtre, ils réussissent dans ce quasi-huis clos, à faire osciller le film entre drame et comédie (...).
Première
par Anouk Féral
Avec ce huis clos tourné en douze jours, Ilan Klipper démontre que les vrais cinéastes peuvent frapper fort grâce à leur seul imaginaire.
Télérama
par Jérémie Couston
Salade russe et humour ashkénaze dans ce huis clos où les scènes fantasmées cohabitent joyeusement avec le réel, sans frontière tangible.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Femme Actuelle
par Amélie Cordonnier
Une comédie barrée, parfois trop décalée, portée par un Laurent Poitrenaux atteint de folie douce.
L'Express
par Antoine Le Fur
(..) ce long-métrage hybride interpelle par son inventivité, tant visuelle que scénaristique. Malheureusement, à force de vouloir chercher à tout prix l'originalité, le réalisateur finit par faire quelques sorties de route.
La Septième Obsession
par Claire Micallef
Ce très court film laisse entrevoir, derrière ses arabesques poétiques, une incontestable et salutaire dimension politique.
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Ce huis clos tragicomique peut paraître un peu brouillon, mais il séduit par son humour barré, sa pertinence et ses interprètes.
Le Monde
par Murielle Joudet
C’est l’histoire d’un raté magnifique qu’on aurait pu croiser chez Woody Allen, Arnaud Desplechin ou Philip Roth. Joué par le trop rare Laurent Poitrenaux, vu dans Victoria, de Justine Triet (2016), Bruno est un ancien prodige de la littérature qui, un jour, a subitement eu 50 ans.
Le Parisien
par La Rédaction
Jusqu’ici documentariste, Ilan Klipper signe un huis clos énergétique comme les boissons du même nom.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Thomas Fouet
En dépit de quelques trous d’air, le premier long métrage d’Ilan Klipper compose une fantaisie séduisante, empreinte d’inquiétude et guettée par la folie douce.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
Peu à peu, on ne sait plus très bien ce qui retourne du présent, du passé, du futur, du réel, de la fiction… Ce schème vieux comme le monde (et comme la folie, et comme l’art), Klipper se l’approprie brillamment grâce à une écriture comique enlevée, et à son sens de la morale.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ouest France
par Pierre Lunn
Entre réalité et fantasmes, ce premier film interroge sur le sens de la création et sur le refus des normes dans une mise en scène volontairement foutraque.
Voici
par La Rédaction
Une comédie frappadingue aux envolées parfois poétiques, qui révèle la douce folie de Laurent Poitrenaux.
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Un film libre et désordonné évoluant sans cesse entre magie transcendantale et réalité tristement banale qui peut s’enorgueillir de ne rentrer dans aucune case.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Obs
par Nicolas Schaller
Ce huis clos psy-comique en intérieur capharnaüm partage avec son protagoniste un goût pour le dilettantisme et l'entre-soi bordélique qui confine au je m'en-foutisme.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Hors norme, le film ne manque pas de panache, mais à force d’hystérie collective finit par lasser.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Cahiers du Cinéma
Le symbole le plus éclatant à ce jour de cette nouvelle bohème du cinéma français dissimulant sous les scintillements de la fantaisie, du pop et du burlesque la gueule de bois d’une génération tout entière.
Libération
Singulière, surprenante, de bon ton, cette comédie française arrive à point nommé pour marquer son territoire. Elle se démarque, sans grande prétention ni dérision déplacée, à travers une histoire qui grossit, grossit, grossit - de l’anémie jusqu’au débordement épanoui.
BIBA
Un huis-clos drôle et barré tendance parano, qui n'oublie jamais que l'amour est la plus belle des folies.
Elle
On s'amuse avec ce Bruno qu'interprète un Laurent Poitrenaux très inspiré.
Positif
Ce film pourrait tourner au brûlot contre l'hospitalisation à la demande d'un tiers, s'il n'y avait la variété de jeux des acteurs. Presque tous issus du théâtre, ils réussissent dans ce quasi-huis clos, à faire osciller le film entre drame et comédie (...).
Première
Avec ce huis clos tourné en douze jours, Ilan Klipper démontre que les vrais cinéastes peuvent frapper fort grâce à leur seul imaginaire.
Télérama
Salade russe et humour ashkénaze dans ce huis clos où les scènes fantasmées cohabitent joyeusement avec le réel, sans frontière tangible.
Femme Actuelle
Une comédie barrée, parfois trop décalée, portée par un Laurent Poitrenaux atteint de folie douce.
L'Express
(..) ce long-métrage hybride interpelle par son inventivité, tant visuelle que scénaristique. Malheureusement, à force de vouloir chercher à tout prix l'originalité, le réalisateur finit par faire quelques sorties de route.
La Septième Obsession
Ce très court film laisse entrevoir, derrière ses arabesques poétiques, une incontestable et salutaire dimension politique.
Le Journal du Dimanche
Ce huis clos tragicomique peut paraître un peu brouillon, mais il séduit par son humour barré, sa pertinence et ses interprètes.
Le Monde
C’est l’histoire d’un raté magnifique qu’on aurait pu croiser chez Woody Allen, Arnaud Desplechin ou Philip Roth. Joué par le trop rare Laurent Poitrenaux, vu dans Victoria, de Justine Triet (2016), Bruno est un ancien prodige de la littérature qui, un jour, a subitement eu 50 ans.
Le Parisien
Jusqu’ici documentariste, Ilan Klipper signe un huis clos énergétique comme les boissons du même nom.
Les Fiches du Cinéma
En dépit de quelques trous d’air, le premier long métrage d’Ilan Klipper compose une fantaisie séduisante, empreinte d’inquiétude et guettée par la folie douce.
Les Inrockuptibles
Peu à peu, on ne sait plus très bien ce qui retourne du présent, du passé, du futur, du réel, de la fiction… Ce schème vieux comme le monde (et comme la folie, et comme l’art), Klipper se l’approprie brillamment grâce à une écriture comique enlevée, et à son sens de la morale.
Ouest France
Entre réalité et fantasmes, ce premier film interroge sur le sens de la création et sur le refus des normes dans une mise en scène volontairement foutraque.
Voici
Une comédie frappadingue aux envolées parfois poétiques, qui révèle la douce folie de Laurent Poitrenaux.
aVoir-aLire.com
Un film libre et désordonné évoluant sans cesse entre magie transcendantale et réalité tristement banale qui peut s’enorgueillir de ne rentrer dans aucune case.
L'Obs
Ce huis clos psy-comique en intérieur capharnaüm partage avec son protagoniste un goût pour le dilettantisme et l'entre-soi bordélique qui confine au je m'en-foutisme.
La Croix
Hors norme, le film ne manque pas de panache, mais à force d’hystérie collective finit par lasser.