Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
L'Humanité
par Vincent Ostria
Un film à moitié improvisé, d’où sa fraîcheur incomparable, son mélange de désinvolture et de réalisme. Du coup, cela ressemble plus au cinéma naturel et primesautier de Jacques Rozier et d’Eric Rohmer qu’aux drames alambiqués de Kiarostami. Un road-movie pétillant.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Une poignante émotion impressionniste.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Voilà finalement bien le genre de film ténu et ne tenant apparemment à rien, qui défie la possibilité d’expliquer ce pourquoi il est réussi. Nous pouvons dire qu’il l’est parce qu’il touche juste.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Marie Toutée
Un superbe docu-fiction sur le déracinement d’étudiants bien réels, drôles, graves et touchants.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Cette histoire d’hommes entre eux, de surcroît réalisée par une femme, a l’immense mérite de ne jamais tomber dans la caricature. (…) La réussite du film, à peine scénarisé dans ses grandes lignes, tient largement à ses dialogues improvisés, donc aux personnalités attachantes de ses interprètes.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Elisabeth Franck-Dumas
Entre fiction et docu, les dernières semaines françaises d’un Iranien que ses amis veulent convaincre de ne pas rentrer. Subtil et nostalgique.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Bernard Génin
Délicatesse, pudeur et mélancolie : un premier film remarquable.
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Un charme fou.
Télérama
par Jérémie Couston
Riche de trois nationalités (française, suisse, belge) et de mère iranienne, la réalisatrice s'inspire largement de la vraie vie de son trio d'acteurs, sur lequel elle pose un regard d'une infinie tendresse.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Un récit entre deux cultures qui, loin des discours politiques sur l’immigration, abolit les frontières et rappelle que tous les jeunes gens de toutes les nations n’ont d’autre espoir que de vivre d’amour, d’amitié et de partages.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Florent Guézengar
Si le film a les défauts de ses qualités (…) et n’ose pas déployer sa veine poétique, il reste un agréable voyage et un vrai portrait d’hommes par une femme, accordant la gravité de l’exil et la légèreté des vacances avec une fine et profonde décontraction.
Culturopoing.com
par Sophie Yavari
Dans son premier long-métrage aux allures de comédie, Maryam Goormaghtigh filme les aventures de trois jeunes iraniens, en vacances sur les routes du sud de la France, et propose une réflexion délicate sur la séparation et le déracinement.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
La Croix
par Arnaud Schwartz
Il y a bien au long de ces 80 minutes des moments de creux, mais le spectateur ne pourra s’empêcher de s’attacher à ces personnages qui n’en sont pas – et livrent à la caméra, dans le cocon protecteur de la comédie, une part de leur vécu.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Septième Obsession
par Xavier Leherpeur
La mise en scène capte l‘émotion et la nuance sans insistance par un travail solaire sur le cadre et les corps qui l’habitent, sa composition, la lumière qui le baigne et le montage tout en douce rupture.
Le Figaro
par Etienne Sorin
Parmi ses influences, Maryam Goormaghtigh cite Le Plein de super, le road-movie d'Alain Cavalier. Il y a en effet un peu de ça dans la démarche de la réalisatrice suisse d'origine iranienne et la virée de ces trois Iraniens.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Première
par Cédric Page
Entre scènes de drague et petites siestes au camping, "Avant la fin de l’été" menace parfois de tourner en rond, mais s’en sort toujours grâce au charme indolent de ces trois héros.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Rythmée par leurs discussions, cette comédie à la lisière du documentaire repose sur ses intentions louables et la bonhomie de son héros, mais n’évite pas les longueurs.
L'Humanité
Un film à moitié improvisé, d’où sa fraîcheur incomparable, son mélange de désinvolture et de réalisme. Du coup, cela ressemble plus au cinéma naturel et primesautier de Jacques Rozier et d’Eric Rohmer qu’aux drames alambiqués de Kiarostami. Un road-movie pétillant.
L'Obs
Une poignante émotion impressionniste.
Le Monde
Voilà finalement bien le genre de film ténu et ne tenant apparemment à rien, qui défie la possibilité d’expliquer ce pourquoi il est réussi. Nous pouvons dire qu’il l’est parce qu’il touche juste.
Les Fiches du Cinéma
Un superbe docu-fiction sur le déracinement d’étudiants bien réels, drôles, graves et touchants.
Les Inrockuptibles
Cette histoire d’hommes entre eux, de surcroît réalisée par une femme, a l’immense mérite de ne jamais tomber dans la caricature. (…) La réussite du film, à peine scénarisé dans ses grandes lignes, tient largement à ses dialogues improvisés, donc aux personnalités attachantes de ses interprètes.
Libération
Entre fiction et docu, les dernières semaines françaises d’un Iranien que ses amis veulent convaincre de ne pas rentrer. Subtil et nostalgique.
Positif
Délicatesse, pudeur et mélancolie : un premier film remarquable.
Studio Ciné Live
Un charme fou.
Télérama
Riche de trois nationalités (française, suisse, belge) et de mère iranienne, la réalisatrice s'inspire largement de la vraie vie de son trio d'acteurs, sur lequel elle pose un regard d'une infinie tendresse.
aVoir-aLire.com
Un récit entre deux cultures qui, loin des discours politiques sur l’immigration, abolit les frontières et rappelle que tous les jeunes gens de toutes les nations n’ont d’autre espoir que de vivre d’amour, d’amitié et de partages.
Cahiers du Cinéma
Si le film a les défauts de ses qualités (…) et n’ose pas déployer sa veine poétique, il reste un agréable voyage et un vrai portrait d’hommes par une femme, accordant la gravité de l’exil et la légèreté des vacances avec une fine et profonde décontraction.
Culturopoing.com
Dans son premier long-métrage aux allures de comédie, Maryam Goormaghtigh filme les aventures de trois jeunes iraniens, en vacances sur les routes du sud de la France, et propose une réflexion délicate sur la séparation et le déracinement.
La Croix
Il y a bien au long de ces 80 minutes des moments de creux, mais le spectateur ne pourra s’empêcher de s’attacher à ces personnages qui n’en sont pas – et livrent à la caméra, dans le cocon protecteur de la comédie, une part de leur vécu.
La Septième Obsession
La mise en scène capte l‘émotion et la nuance sans insistance par un travail solaire sur le cadre et les corps qui l’habitent, sa composition, la lumière qui le baigne et le montage tout en douce rupture.
Le Figaro
Parmi ses influences, Maryam Goormaghtigh cite Le Plein de super, le road-movie d'Alain Cavalier. Il y a en effet un peu de ça dans la démarche de la réalisatrice suisse d'origine iranienne et la virée de ces trois Iraniens.
Première
Entre scènes de drague et petites siestes au camping, "Avant la fin de l’été" menace parfois de tourner en rond, mais s’en sort toujours grâce au charme indolent de ces trois héros.
Le Journal du Dimanche
Rythmée par leurs discussions, cette comédie à la lisière du documentaire repose sur ses intentions louables et la bonhomie de son héros, mais n’évite pas les longueurs.