Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
L'Humanité
par Ioanis Nuguet
Mariana Otero a saisi admirablement cette brèche spatio-temporelle qu’offrait Nuit debout à l’histoire, à la politique et au politique, au collectif que nous sommes, habitants de France.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Bande à part
par Isabelle Danel
Sur la place de la République, la documentariste observe les "Nuit Debout" et filme l’Histoire. Passionnant.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Cahiers du Cinéma
par Laura Tuillie
Mariana Otero ne cherche pas à rendre hommage à Nuit Debout, même si la sympathie est là. Elle adopte plutôt la position d’un spectateur assidu et silencieux, comme il y en a eu beaucoup, qui naviguerait de groupe en groupe.
Critikat.com
par Julien Marsa
D’une certaine manière, "L’Assemblée" vient effectuer le travail de synthèse difficilement mis en œuvre sur la place de la République, en opérant des choix de montage pour suivre la chronologie du déroulement de la contestation.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par Carine Trenteun
Face à une démocratie malade qui utilise le 49.3, qui légitime les violences policières physiques sous couvert de l'état d'urgence pour empêcher les gens de filmer, de se rassembler pour parler et manifester, le désir d'une autre démocratie éclot.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
par La Rédaction
L’Assemblée est un film réussi, qui sort ce mercredi dans quelques salles de cinéma. (...) Il décrit avec la même objectivité l’enthousiasme et la naïveté assumée d’un mouvement citoyen qui se construit, et ses indécisions, ses querelles internes et sa lente détérioration.
La critique complète est disponible sur le site Dernières Nouvelles d'Alsace
L'Obs
par Jérôme Garcin
Impossible, en voyant ce passionnant documentaire sur Nuit debout, de ne pas penser à "120 Battements par minute". Comme Robin Campillo, Mariana Otero filme la naissance brouillonne, passionnelle, combative du débat démocratique. A ceci près qu'elle ne le reconstitue pas, mais le saisit en direct, à l'instinct.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par La Rédaction
C’est extrêmement bavard car c’était le principe de Nuit debout. Et pourtant, ça reste captivant car au milieu de ces débats interminables et parfois stériles, ont émergé les thèmes qui ont agité la campagne électorale.
La critique complète est disponible sur le site Le Dauphiné Libéré
Libération
par Marcos Uzal
Le film tente lui-même de ne pas faire de ses spectateurs un simple public contemplant un événement passé et nous met sans cesse face à un questionnement, une recherche, une insatisfaction qui ne demandent qu’à être complétés, prolongés, remis en cause. Par sa modestie et son inachèvement, l’Assemblée est donc une manière de perpétuer des aspirations sans cesse ravivées par l’actualité (depuis Nuit debout, la loi travail n’a pas seulement été adoptée mais également durcie).
La critique complète est disponible sur le site Libération
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
(...) un doc passionnant car narrant une double utopie : réinventer en trois mois une autre manière de faire de la politique et embrasser un tel mouvement en un film d'1h40.
Télérama
par Louis Guichard
L’élan collectif qu’elle capte renvoie d’ailleurs à l’engouement suscité en ce moment par 120 Battements par minute, où la discussion politique tient une place cruciale. Et bien sûr, au climat d’effervescence, lui aussi imprévisible, de cette rentrée sociale.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
La Croix
par Marie Soyeux
En bien des moments, le spectateur est tenté de mouliner des bras : trop long, déjà dit ! Oui, mais ces répétitions ont ici du sens. Elles expriment le flux et le reflux des espoirs de changement, elles donnent voix et chair aux questions philosophiques et concrètes soulevées par la démocratie participative.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Fiches du Cinéma
par Gaël Reyre
Mariana Otero signe un documentaire plutôt intéressant mais qui reste trop collé à son sujet et oublie de prendre de la hauteur.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
En tournant sa caméra vers Nuit debout la documentariste saisit à vif cette tentative inédite de mise en place d’une démocratie directe.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Christophe Narbonne
Le résultat est un instantané in situ plein de vie et d’imprévus qui humanise un mouvement que les récupérations par les uns (ou par les autres) et une médiatisation parfois maladroite ont fini par caricaturer. À chacun, désormais, de se faire son opinion.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Arthur Champilou
Un documentaire intéressant qui éclaire les tenants et les aboutissants d’un grand mouvement social et politique.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Express
par Eric Libiot
(...) cette "Assemblée" fonctionne comme un long prologue à un film qui serait plus abouti.
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Ce film-tract aurait bien gagné à être moins répétitif.
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
On aurait tout de même voulu qu’une pensée s’articule, qu’une vision s’élève. Or, à l’instar de la parole qui y circule et des enthousiastes qui la font vivre, le film, tristement, s’étiole. C’est ainsi par le louable souci de la fidélité absolue au mouvement que Mariana Otero finit par manquer à son film.
Le Figaro
par La Rédaction
Mariana Otero résume trois mois en moins de deux heures. Il ne reste pas grand-chose sinon des palabres fatigantes.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
L'Humanité
Mariana Otero a saisi admirablement cette brèche spatio-temporelle qu’offrait Nuit debout à l’histoire, à la politique et au politique, au collectif que nous sommes, habitants de France.
Bande à part
Sur la place de la République, la documentariste observe les "Nuit Debout" et filme l’Histoire. Passionnant.
Cahiers du Cinéma
Mariana Otero ne cherche pas à rendre hommage à Nuit Debout, même si la sympathie est là. Elle adopte plutôt la position d’un spectateur assidu et silencieux, comme il y en a eu beaucoup, qui naviguerait de groupe en groupe.
Critikat.com
D’une certaine manière, "L’Assemblée" vient effectuer le travail de synthèse difficilement mis en œuvre sur la place de la République, en opérant des choix de montage pour suivre la chronologie du déroulement de la contestation.
Culturopoing.com
Face à une démocratie malade qui utilise le 49.3, qui légitime les violences policières physiques sous couvert de l'état d'urgence pour empêcher les gens de filmer, de se rassembler pour parler et manifester, le désir d'une autre démocratie éclot.
Dernières Nouvelles d'Alsace
L’Assemblée est un film réussi, qui sort ce mercredi dans quelques salles de cinéma. (...) Il décrit avec la même objectivité l’enthousiasme et la naïveté assumée d’un mouvement citoyen qui se construit, et ses indécisions, ses querelles internes et sa lente détérioration.
L'Obs
Impossible, en voyant ce passionnant documentaire sur Nuit debout, de ne pas penser à "120 Battements par minute". Comme Robin Campillo, Mariana Otero filme la naissance brouillonne, passionnelle, combative du débat démocratique. A ceci près qu'elle ne le reconstitue pas, mais le saisit en direct, à l'instinct.
Le Dauphiné Libéré
C’est extrêmement bavard car c’était le principe de Nuit debout. Et pourtant, ça reste captivant car au milieu de ces débats interminables et parfois stériles, ont émergé les thèmes qui ont agité la campagne électorale.
Libération
Le film tente lui-même de ne pas faire de ses spectateurs un simple public contemplant un événement passé et nous met sans cesse face à un questionnement, une recherche, une insatisfaction qui ne demandent qu’à être complétés, prolongés, remis en cause. Par sa modestie et son inachèvement, l’Assemblée est donc une manière de perpétuer des aspirations sans cesse ravivées par l’actualité (depuis Nuit debout, la loi travail n’a pas seulement été adoptée mais également durcie).
Studio Ciné Live
(...) un doc passionnant car narrant une double utopie : réinventer en trois mois une autre manière de faire de la politique et embrasser un tel mouvement en un film d'1h40.
Télérama
L’élan collectif qu’elle capte renvoie d’ailleurs à l’engouement suscité en ce moment par 120 Battements par minute, où la discussion politique tient une place cruciale. Et bien sûr, au climat d’effervescence, lui aussi imprévisible, de cette rentrée sociale.
La Croix
En bien des moments, le spectateur est tenté de mouliner des bras : trop long, déjà dit ! Oui, mais ces répétitions ont ici du sens. Elles expriment le flux et le reflux des espoirs de changement, elles donnent voix et chair aux questions philosophiques et concrètes soulevées par la démocratie participative.
Les Fiches du Cinéma
Mariana Otero signe un documentaire plutôt intéressant mais qui reste trop collé à son sujet et oublie de prendre de la hauteur.
Les Inrockuptibles
En tournant sa caméra vers Nuit debout la documentariste saisit à vif cette tentative inédite de mise en place d’une démocratie directe.
Première
Le résultat est un instantané in situ plein de vie et d’imprévus qui humanise un mouvement que les récupérations par les uns (ou par les autres) et une médiatisation parfois maladroite ont fini par caricaturer. À chacun, désormais, de se faire son opinion.
aVoir-aLire.com
Un documentaire intéressant qui éclaire les tenants et les aboutissants d’un grand mouvement social et politique.
L'Express
(...) cette "Assemblée" fonctionne comme un long prologue à un film qui serait plus abouti.
La Voix du Nord
Ce film-tract aurait bien gagné à être moins répétitif.
Le Monde
On aurait tout de même voulu qu’une pensée s’articule, qu’une vision s’élève. Or, à l’instar de la parole qui y circule et des enthousiastes qui la font vivre, le film, tristement, s’étiole. C’est ainsi par le louable souci de la fidélité absolue au mouvement que Mariana Otero finit par manquer à son film.
Le Figaro
Mariana Otero résume trois mois en moins de deux heures. Il ne reste pas grand-chose sinon des palabres fatigantes.