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FaRem
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3,5
Publiée le 24 juillet 2017
Après quatre courts-métrages de qualité, Aaron B. Koontz qui était l'un des producteurs du bon "Starry Eyes" réalise son premier long-métrage qui est adapté de son dernier projet "Aperture". S'il y a bien quelque chose que l'on remarque après avoir vu ses réalisations, c'est qu'il aime la misère et mettre ses personnages principaux dans de terribles situations. Il apprécie également fortement tout ce qui est sanglant comme on le remarque une nouvelle fois ici. Si on compare avec le court, le film est moins profond malgré l'ajout du stress post-traumatique qui n'est finalement que très peu évoqué et l'histoire se focalise moins sur l'appareil photo et son ancien propriétaire voir cette malédiction ce qui est pourtant le plus intéressant. Pour ce long format, il a privilégié la forme au fond avec cette succession de meurtres à la fois violents et sanglants tout en mettant l'accent sur l'abnégation dont fait preuve Jack pour tenter de sauver la personne qui compte le plus à ses yeux. On peut regretter que l'histoire ne soit pas plus développée seulement le film est, je trouve bien comme ça même s'il y a un côté redondant au niveau des faits. Ce n'est pas parfait, mais c'est vraiment un bon film très divertissant et prenant.
entre hallucinations et réalité, caméra obscura bénéficie d'un scénario original et déstabilisant en plus d'être bien bien réalisé. certaines scènes sont assez gores mais la folie du personnage et l'engrenage dans lequel il se trouve captivent. une bonne surprise!
Le film traîne pendant une heure une intrigue poussive de thriller fantastique assez confuse puis finit par nous offrir qqs brefs moments de folie, hélas trop brefs pour sauver un ensemble manquant cruellement de peps, et finalement de sujet: le récit aurait gagné à s'affranchir de sa proposition fantastique de départ pour bifurquer vers un traitement psychologique, une descente dans la folie du héros, ceci est rapidement abordé et ébauché, puis abandonné pour revenir au propos de départ.