Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
Cœurs purs s’inscrit dans la même veine sociale que A Ciambra et L’Intrusa mais, comme eux, s’échappe assez rapidement des rails de la chronique pour épouser, avec beaucoup de tact et de douceur, l’intimité d’une jeunesse prise entre divers feux.
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Dénué de pathos mais pas d’émotion, jamais manichéen et interprété par deux acteurs convaincants, ce "Cœurs purs" fait battre notre palpitant.
Positif
par Vincent Thabourey
Une belle surprise du cinéma italien qui, à défaut d'être novatrice, bénéficie d'une fougueuse interprétation.
Studio Ciné Live
par Thierry Chèze
Une chronique sociale et passionnelle sous tension, remarquablement interprétée.
Critikat.com
par Gautier Babe
(...) une œuvre empreinte d’un symbolisme naïf qui déroule placidement ses convictions, quitte à rester trop anecdotique.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
Évidemment, passé ce constat assez saisissant, on aurait aimé un récit un peu plus habité (un peu comme le plus réussi A Ciambra, sur des Gitans italiens). On ne peut pas tout avoir.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Un premier film dans la mouvance de ces jeunes cinéastes qui ont à cœur d'évoquer une Italie contemporaine à travers ses tensions sociales et économiques. Un pays replié sur ses ostracismes que le scénario et la mise en scène scrutent avec une grave lucidité.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Agnese et Stefano, dont la rencontre rappelle celle des deux héros de L’Affranchie de Marco Danieli sorti en avril 2017, sont des personnages intéressants, y compris dans leur passivité face à des parents déficients ou abusifs, mais ils se révèlent peu émouvants.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par La Rédaction
Porté par deux jeunes acteurs incandescents, ce premier film dose avec beaucoup de justesse réalisme social et idéalisme amoureux, des aspirations intimes.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Murielle Joudet
Présenté à la Quinzaine des réalisateurs, le film de Roberto De Paolis évite avec subtilité les écueils de la chronique sociale.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Première
par Thierry Chèze
Un film aussi cérébral que physique, porté par un duo de comédiens (Selene Caramazza et Simone Liberati) au charisme et à la puissance naturelle renversants.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Jacques Morice
Elle (Selene Caramazza), souvent indéchiffrable, lui (Simone Liberati), d’une force rassurante malgré sa fébrilité. Toujours justes l’un et l’autre, dans des situations de conflit comme de concorde, ils forment un beau couple à la fois pur et sexué, assorti dans la volupté de vivre.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
On regrettera toutefois (...) un ton assez lisse, loin du choc esthétique suscité en leur temps par les œuvres de Rossellini ou de Sica. En dépit de ces réserves, Cœurs purs distille un charme réel et est bien porté par ses deux jeunes interprètes.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Le choc de deux mondes ; mais entre étude sociale à la Dardenne et romance sentimentale sur fond de drame intimiste, le film balance un peu, sans toujours trouver son équilibre.
Libération
par Jérémy Piette
A nous présenter en long et en large la passionnette entre le molto bello et sa dulcinée, on vrille d’un tableau social réaliste et tendu à un fil mou de telenovela italienne criblée d’attentions sirupeuses et d’une caution tee-shirt enlevé pour nous maintenir (tous) éveillés.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Cahiers du Cinéma
Cœurs purs s’inscrit dans la même veine sociale que A Ciambra et L’Intrusa mais, comme eux, s’échappe assez rapidement des rails de la chronique pour épouser, avec beaucoup de tact et de douceur, l’intimité d’une jeunesse prise entre divers feux.
Le Journal du Dimanche
Dénué de pathos mais pas d’émotion, jamais manichéen et interprété par deux acteurs convaincants, ce "Cœurs purs" fait battre notre palpitant.
Positif
Une belle surprise du cinéma italien qui, à défaut d'être novatrice, bénéficie d'une fougueuse interprétation.
Studio Ciné Live
Une chronique sociale et passionnelle sous tension, remarquablement interprétée.
Critikat.com
(...) une œuvre empreinte d’un symbolisme naïf qui déroule placidement ses convictions, quitte à rester trop anecdotique.
L'Humanité
Évidemment, passé ce constat assez saisissant, on aurait aimé un récit un peu plus habité (un peu comme le plus réussi A Ciambra, sur des Gitans italiens). On ne peut pas tout avoir.
L'Obs
Un premier film dans la mouvance de ces jeunes cinéastes qui ont à cœur d'évoquer une Italie contemporaine à travers ses tensions sociales et économiques. Un pays replié sur ses ostracismes que le scénario et la mise en scène scrutent avec une grave lucidité.
La Croix
Agnese et Stefano, dont la rencontre rappelle celle des deux héros de L’Affranchie de Marco Danieli sorti en avril 2017, sont des personnages intéressants, y compris dans leur passivité face à des parents déficients ou abusifs, mais ils se révèlent peu émouvants.
Le Figaro
Porté par deux jeunes acteurs incandescents, ce premier film dose avec beaucoup de justesse réalisme social et idéalisme amoureux, des aspirations intimes.
Le Monde
Présenté à la Quinzaine des réalisateurs, le film de Roberto De Paolis évite avec subtilité les écueils de la chronique sociale.
Première
Un film aussi cérébral que physique, porté par un duo de comédiens (Selene Caramazza et Simone Liberati) au charisme et à la puissance naturelle renversants.
Télérama
Elle (Selene Caramazza), souvent indéchiffrable, lui (Simone Liberati), d’une force rassurante malgré sa fébrilité. Toujours justes l’un et l’autre, dans des situations de conflit comme de concorde, ils forment un beau couple à la fois pur et sexué, assorti dans la volupté de vivre.
aVoir-aLire.com
On regrettera toutefois (...) un ton assez lisse, loin du choc esthétique suscité en leur temps par les œuvres de Rossellini ou de Sica. En dépit de ces réserves, Cœurs purs distille un charme réel et est bien porté par ses deux jeunes interprètes.
Le Dauphiné Libéré
Le choc de deux mondes ; mais entre étude sociale à la Dardenne et romance sentimentale sur fond de drame intimiste, le film balance un peu, sans toujours trouver son équilibre.
Libération
A nous présenter en long et en large la passionnette entre le molto bello et sa dulcinée, on vrille d’un tableau social réaliste et tendu à un fil mou de telenovela italienne criblée d’attentions sirupeuses et d’une caution tee-shirt enlevé pour nous maintenir (tous) éveillés.