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    The Rider
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    4,0
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    141 critiques spectateurs

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    Ladyoscar L.
    Ladyoscar L.

    6 abonnés 46 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 mars 2018
    Sublime film durant lequel on assiste impuissant à la déliquescence d’un monde. Un univers qui semble sombrer sous nos yeux avec délicatesse et gravité. Tout simplement bouleversant.
    SaintPauly
    SaintPauly

    19 abonnés 64 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 30 mars 2018
    Ce sont des vrais gens qui jouent leur propre rôle et c'est ça qui fait de ce film d'art et essaie un bon film. Un jeune star de rodéo est blessé gravement à la tête et doit faire face à la réalité de cette situation avec un père absent et une soeur handicapé (qui jouent leur propre rôle rôles eux aussi) à la main.

    Ce film vous hante comme les phantoms d'un cow-boy solitaire sur un long chemin qui mène nulle part.

    Les acteurs amateurs sont agaçants et attachants. Les paysages sont mondains et immenses. Les émotions sont intimes et universelles. J'ai quitté la salle saturée de souvenirs de moments je n'ai pas vécu, comme si je tenais une carte postale d'une autre vie dans l'arrière poche de mon jean préféré.
    ANDRÉ T.
    ANDRÉ T.

    83 abonnés 484 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 mars 2018
    MAGNIFIQUE,
    La force de la simplicité!
    Les grands espaces, la passion des chevaux,
    mais aussi un moyen de gagner sa VIE….en la risquant à chaque instant.
    Dans ce Dakota, on aime les gens…et les chevaux !!!!
    On peut y voir une réflexion sur le sens de la Vie...
    Le premier film de Chloe Zhao était déjà très beau; à suivre
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 29 mars 2018
    Pour un premier film, c'est plutôt une réussite, rythme lent certe mais très bien filmé, très réaliste et touchant qui permet d'apprendre l'existence et le mode de vie de ces Cowboys indiens du Dakota, bon c'est pas très joyeux mais après tout c'est un drame. A voir en tout les cas.
    islander29
    islander29

    884 abonnés 2 385 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 29 mars 2018
    Un film de grande émotion, sur la résilience d'un cowboy. Le film se passe dans le sud Dakota, et on a le droit a de superbes paysages (arrêtons de nous culpabiliser parce que nous regardons un coucher de soleil)....Le film est lent et les dialogues sont lents et conviviaux, les personnages si humains, qu'ils nous font méditer. C'est une histoire entre un homme et des chevaux, et je dois avouer qu'une des scènes de dressage est admirable, car on entre dans l'intimité de la relation entre le cheval et l'homme......A savourer fortement.....les liens entre les cowboys et les chevaux sont le nœud du film, et je dois dire qu'ils sont une bouffée d'air pur....Ils apaisent l'âme du spectateur.....Les personnages sont vrais et tendrement liés...Plus le film avance plus l'émotion s'installe. ce film quelque part est une leçon de vie qui va à l'essentiel, notamment sur la relation père fils .....Je conseille chaleureusement.
    Jmartine
    Jmartine

    173 abonnés 679 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 mars 2018
    Dans son premier film « Les chansons que mes frères m’ont apprises » Chloé Zhao, jeune réalisatrice new-yorkaise, d’origine chinoise, portait un regard doux et amer sur la vie dans une réserve indienne dans le Dakota du Sud. Un film réaliste, presque un documentaire (la réalisatrice a vécu plusieurs années dans cette réserve), au ton poétique et mélancolique, ballade désespérée mais néanmoins d’une esthétique magnifique, paysages arides, sols ravinés, ciels d’orages, immenses prairies qui ondulent au vent….C’est sur ce tournage que Chloé Zhao a rencontré un groupe de cowboys Lakota. Malgré le teint clair que certains d’entre eux peuvent avoir, ils sont nés et ont grandi dans la réserve et sont à la fois des Sioux Lakota Oglala et d’authentiques cowboys qui portent des plumes à leurs chapeaux en l’honneur de leurs ancêtres Lakota – des cowboys indiens – une réelle contradiction américaine. Parmi ces cow-boys, elle s’est arrêtée sur un jeune d’une vingtaine d’années, Brady Jandreau, Sioux résidant à Pine Ridge, depuis son enfance dresseur de chevaux , s’appliquant à les débourrer et les dompter jusqu’à ce qu’ils soient aptes à la vente…Il a semble comprendre chaque mouvement de ces animaux, comme s’il communiquait par télépathie…Il vit dans un mobil home avec son père Wayne et sa jeune sœur Lilly, autiste…Comme beaucoup de ses amis, Brady est un adepte du rodéo sur cheval sauvage et est considéré comme une étoile montante de la discipline…Malheureusement lors d’une compétition il est projeté par sa monture et atteint à la tête par les sabots de son cheval…Victime d’une hémorragie interne, sombrant dans le coma, il ressort de l’hôpital avec une plaque métallique dans la tête et des diverses séquelles notamment dans la préhension de sa main droite. Et comme le souligne Brady : s’il avait été un cheval, on l’aurait achevé. Les médecins lui déconseillent fortement de remonter …difficile à accepter pour quelqu’un qui ne sait faire que cela…et ce n’est pas son intérim dans un supermarché qui pourra redonner un sens à sa vie…Dans un certain sens il s’en tire mieux que son ami Lane, adepte du rodéo sur taureau sauvage et qu’un accident a rendu tétraplégique…Brandy lui rend visite dans son ventre de réadaptation où il essaye de lui redonner le sourire en lui montrant les vidéos des compétitions passées… Ni véritable fiction, ni réel documentaire, The Rider, fusionne en fait les deux genres pour dresser le portrait émouvant d’un jeune homme exalté et en crise et, partant, d’une communauté restée en marge de la société américaine comme nous avons pu la retrouver dans The Ride de Stéphanie Gillard…Chloé Zhao porte un regard bienveillant sur Brady et les siens, sans dénonciation ni pathos excessifs… En même temps, elle revisite la mythologie du Far West, cette Amérique perdue, ses grands espaces et ses chevaux sauvages, et comme dans son précédent film, elle a, à nouveau, fait confiance à Joshua James Richards, pour filmer ces étendues herbeuses du Dakota, ses sublimes couchers de soleil et ses impressionnants ciels d’orage…Peu être moins poétique que son précédent film, The Rider reste un film fort et prenant…Le film a reçu le Grand Prix au dernier Festival du Film Américain de Deauville et l’Art Cinéma Award à la quinzaine des réalisateurs.
    WutheringHeights
    WutheringHeights

    112 abonnés 930 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 mars 2018
    Malgré quelques répétitions, la douceur du film et le regard si tendre porté sur Brady font de Chloé Zhao une réalisatrice sur lequel le cinéma indépendant devra désormais compter.
    Ufuk K
    Ufuk K

    529 abonnés 1 492 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 mars 2018
    " the rider " récompense l'an dernier au festival de cannes et deauville est un drame poignant. En effet la réalisatrice chloe zhao nous montre à quel point il est difficile de vivre dans une certaine Amérique, qu'il est difficile de vivre de sa passion que poussé à l'extrême elle finit par nous dévorer. bref je fus conquis devant cette histoire avec un brandy jandreau ( le cowboy ) totalement investit dans ce rôle.
    petitbandit
    petitbandit

    95 abonnés 636 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 mars 2018
    Un joli film avec une photographie superbe, des images sublimes et des comédiens convaincants. Une histoire simple sur la vie d'un homme victime d'un accident mais tenant coûte que coûte à reprendre sa passion du cheval. Seulement si l'histoire est minimaliste, l'indigence du scénario fait qu'il ne passe pas grand chose quand même. Si on y ajoute un rythme d'une lenteur extrême, l'ennui gagne par moment...
    Bien mais pas à s'en réveiller la nuit non plus.
    Scénario Catastrophe
    Scénario Catastrophe

    31 abonnés 156 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 mars 2018
    Les premières images sont déjà sublimes, et on voudrait qu'elles durent bien plus longtemps, tout comme celles qui suivent pendant les quinze premières minutes . J'ai commencé à rentrer dans l'histoire quand on voit un ami de Brady jouer de la guitare : une scène plus longue où chaque cowboy commence par raconte une mésaventure.
    C'est un film honnête, modeste, qui ne cherche pas à tout prix à nous apitoyer et c'est un film pour ceux qui aiment la nature. Le lien entre l'homme et l'animal est très beau, en particulier quand Brady compare sa situation à celle du cheval Apollo... Les scènes de dressages sont particulièrement intrigantes, avec une caméra, objective, qui nous amène presque dans le registre du documentaire. Ce film m'a soudainement donné envie d'en savoir plus sur le rodéo !
    Brady est un personnage à la fois attachant et distant, un personnage, inspiré de sa propre histoire, qui n'a jamais vécu que pour ce qu'il aimait le plus. Ses proches, qui gravitent autour de lui servent vraiment le récit et permettent à Brady de gagner en épaisseur et le lien avec sa sœur est particulièrement bien construit. À côté de ça, les lumières et les ciels changeant du Dakota du Sud sont époustouflants.
    velocio
    velocio

    1 333 abonnés 3 171 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 mars 2018
    Deux ans après "Ces chansons que mes frères" m’ont apprises, premier long métrage de la réalisatrice chinoise Chloé Zhao, son deuxième, "The rider", a suivi à peu près le même parcours que le premier avec des étapes à Cannes (Quinzaine des Réalisateurs) et à Deauville, avec, cette fois ci, des prix à la clé, le Festival de Toronto venant par ailleurs s’ajouter à celui de Sundance. Contredisant les idées préconçues que les westerns nous ont inculquées depuis les débuts du cinéma, il est tout à fait possible, dans l’ouest des Etats-Unis, d’être à la fois cowboy et indien. C’est le cas de Brady, as du rodéo et expert dans le débourrage des chevaux sauvages. Brady vit dans la réserve indienne de Pine Ridge, dans le Dakota du sud, auprès de sa petite sœur Lilly, une jeune autiste atteinte du syndrome d’Asperger, et de Wayne, leur père, un ancien cowboy devenu accro aux jeux.
    Le rodéo est un exercice très dangereux et Brady va malheureusement subir un accident très grave : crâne écrasé par les sabots d’un cheval, il va rester 3 jours dans le coma avant de s’entendre dire que son état lui interdit dorénavant de remonter sur un cheval et, plus encore, de participer à des rodéos. Ce qui était toute sa vie s’écroule brutalement et il se retrouve face à un véritable choix existentiel : vivre, en reprenant peu ou prou sa vie d’avant, ce qui signifie prendre des risques énormes avec son intégrité physique, ou mourir à petit feu en se pliant au choix de la raison. Pris entre les visites qu’il rend à son ami Lane, spécialiste du rodéo sur taureau, devenu paraplégique suite à un accident et, de fait, encore bien plus amoché que lui, et ses tentatives pour dompter un cheval particulièrement rétif, la nouvelle vie de Brady va petit à petit prendre forme.
    Le séjour qu’elle a passé auprès des résidents de la réserve de Pine Ridge, dans le Dakota du sud, s’avère très bénéfique pour la réalisatrice chinoise Chloé Zhao, les deux films qu’elle y a tournés ayant fait le tour du monde et lui ayant permis d’assoir sa notoriété dans un domaine cinématographique de plus en plus riche : le docu-fiction. Elle a pour elle une qualité rare : arriver à intéresser le spectateur à des sujets dont il est a priori très éloigné.
    chas
    chas

    37 abonnés 180 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 mars 2018
    Le cow boy est blessé gravement. Il ne reviendra pas sur la piste des rodéos où une fulgurante ruade lui a fracassé le crâne.
    Il reprend son métier de dresseur de chevaux avec lesquels il utilise les mots adéquats, sans être guère bavard, comme avec sa sœur atypique ; son père dépensant son argent dans des machines à sous. Il visite son pote des rodéos, tétraplégique qui fut au sommet de la beauté, de la maîtrise comme l’attestent des vidéos qu’ils regardent ensemble.
    La réalisatrice en immersion comme dans son magnifique premier film « Les chansons que mes frères m’ont apprises. » nous donne à voir, avec sensibilité, mais sans pathos, des protagonistes jouant leur vie, cassés pour quelques secondes en apesanteur, devant des publics faméliques.
    Dans cet univers en voie de marginalisation, les chevaux sont aimés, les dresseurs sont attentifs, fins, pertinents, courageux et doux. J’étais soulagé de voir le héros diminué renoncer à mettre sa vie en danger alors qu’une voisine de salle obscure regrettait qu’il ne poursuive pas ses rêves.
    Les beaux mots romantiques doivent-ils condamner à la mort ? Non ! Surtout si c’est pour une brève image de soleil couchant, rougeoyant, accompagnée de quelques émouvantes notes de musique, avant de s’engouffrer à Cannes dans une prochaine file d’attente qui promettait un film marrant.
    Audrey L
    Audrey L

    656 abonnés 2 596 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 27 mars 2018
    Un superbe film poignant dans son drame humain qui nous touche profondément, et puissant dans sa représentation de l'Amérique rurale, dont les hobbys et philosophies de vie sont différents de la ville... Le parcours de ces rodeomen, qui chevauchent avec assiduité et courage ces animaux rendus fous (un pincement au cœur tout de même pour l'amoureuse des animaux que je suis...), après leur chute fatale les empêchant de remonter en selle à jamais. Emouvant par la solidarité que se vouent ces jeunes avant et après le drame, comme des frères de coeur éternels, et l'amitié avec leurs chevaux est tout aussi touchante : comment ne pas se sentir ému lorsque l'on comprend que spoiler: si Brady tient autant à son cheval Gus c'est aussi car Lane (le cowboy paraplégique que Brady soutient) l'a chevauché aussi...
    Quelques scènes très fortes en émotion (la fin d’Apollo, les visites à Lane, le final humaniste...) et des acteurs qui ne jouent pas pour la plupart (ce sont leur propre existence, voir le générique de fin). Le dressage des chevaux est une vraie découverte, les rodéos sont impressionnant, le dépaysement est total par les plans de paysages magnifiques et la vie tragique de Brady émeut, une réussite pour ce premier film de Chloé Zhao !
    traversay1
    traversay1

    3 686 abonnés 4 890 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 mars 2018
    Dans le droit fil de son premier film, Les chansons que mes frères m'ont apprises, la cinéaste Chloé Zhao poursuit son exploration des peuples amérindiens, dans le portrait d'un cavalier de rodéo qui se rapproche beaucoup de la réalité. Dans ce documentaire fictionnalisé, Brady Jendreau et ses proches jouent leurs propres rôles. L'histoire de Brady est en partie la sienne, dans sa tentative de s'adapter à une nouvelle vie après une lourde chute qui lui interdit, en principe, de goûter de nouveau aux joies de son sport favori. Un régime sans selle dur à vivre quand on a cette passion chevillée au corps et une seule question se pose : quand remontera t-il malgré l'avis des médecins ? Cette interrogation lancinante traverse tout du long The Rider, qui ne réussit pas toujours à nous passionner, d'autant que la réalisatrice nous met parfois dans une position de voyeur (l'ami hémiplégique). Le problème de ce genre de films, étiqueté cinéma américain indépendant, est que l'on va obligatoirement le ranger dans la case des longs-métrages décrivant l'existence des "laissés-pour-compte" du rêve américain alors que l'on peut d'abord le voir comme une évocation d'un destin individuel brisé. Un thème qui n'est pas neuf, d'ailleurs, puisque traité par exemple par Nicholas Ray en 1952 dans Les indomptables avec l'inénarrable Robert Mitchum dans le rôle d'un vieux cowboy lui aussi accidenté et finissant par se remettre en selle une dernière fois, au mépris de sa santé. Malgré (ou grâce à ) sa facture hollywoodienne, le film atteignait un acmé romanesque que The Rider est loin d'atteindre malgré quelques qualités.
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 405 abonnés 4 251 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 26 mars 2018
    Brady Jandreau est un vrai cowboy ! Cet américain du Dakota du Sud vit parmi les chevaux depuis son plus jeune âge. Passionné par le rodéo, il est l’exemple pour beaucoup de générations à suivre, lui qui n’a que 23 ans. Mais le 1er avril 2006, son cheval Baie des Eclairs le désarçonne. Coincé dans l’étrier, le sabot du cheval le frappe violemment à la tête. Après des convulsions et une hémorragie interne, on lui impose des mois de convalescence et surtout de ne plus remonter à cheval. Mais Brady est têtu et comment voulez-vous lui empêcher une passion viscérale ? Cette histoire vraie, c’est aussi la fiction de la réalisatrice Chloé Zhao. Tourné avec toute la famille Jandreau, The Rider est un drame poignant tourné dans des décors dignes d’un western. Les docu-fictions ont souvent la problématique de résonner faux lorsqu’ils sont joués par les vrais protagonistes. Tel n’est pas le cas ici, tout est vibrant.
    D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
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