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25 critiques presse
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Ce Brady, beau, pensif, affligé, est comme le symbole de l’Amérique qui s’interroge sur son caractère indomptable et son invulnérabilité. Il est surtout un grand héros de cinéma.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Critikat.com
par Thomas Choury
La douceur et la simplicité de la mise en scène de Zhao trouve sa raison d’être dans ce territoire crépusculaire et apaisé : faits d’éclats impressionnistes, proches de la captation documentaire et nourris par une intimité qui n’est jamais intrusive, elle filme Brady et ses proches comme membres à part entière d’une harmonie, témoins d’un retour à l’état de nature où toutes les frontières (si cruciales dans la définition du western et de l’histoire de l’Amérique) se brouillent.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Femme Actuelle
par Sabrina Nadjar
Ce drame réaliste, brut de poésie et tourné dans des paysages magnifiques, nous touche en plein coeur.
Le Parisien
par La Rédaction
Un film sublime sur le monde des cowboys porté par un héros formidable dans son propre rôle.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Roland Hélié
Aussi enthousiasmant que l’était "Les Chansons que mes frères m’ont apprises", si ce n’est davantage encore, ce deuxième film de Chloé Zhao s’apparente à une ballade -au sens musical du terme.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Emmanuel Raspiengeas
Il en résulte un film bouleversant et magistral, un anti-western (...).
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Après Les Chansons que mes frères m’ont apprises, Chloé Zhao poursuit dans la même veine et réussit une touchante fiction documentaire, vibrant hommage au peuple amérindien.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Bande à part
par Olivier Pélisson
Un film au charisme incroyable, entre western du 21e siècle et documentaire sur une Amérique invisible.
Ecran Large
par Simon Riaux
Si Claire Zhao s'empêtre parfois un peu dans l'héritage westernien qu'elle ne peut esquiver, son film devient absolument bouleversant quand il se fait l'évocation d'un continent mythologique en plein naufrage.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Elle
par Françoise Delbecq
Un très beau film.
Franceinfo Culture
par Jean-François Lixon
Avec rigueur et délicatesse, la réalisatrice chinoise observe le drame réel qui bouleverse la vie d'un jeune champion de rodéo.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Express
par Antoine Le Fur
Hymne à l'espoir et à la nature, le film de Chloé Zhao est une des plus belles réussites que le cinéma indépendant américain ait pu nous offrir ces derniers temps.
L'Obs
par Nicolas Schaller
Que faire, dès lors, de son talent de dresseur, de cette attention à l'autre, de ces gestes patients, précautionneux, quasi amoureux, que Chloé Zhao ("Les chansons que mes frères m'ont apprises") filme comme ils l'ont rarement été ? La réponse qu'apporte ce western humaniste aux vertus documentaires est à l'image de Brady : humble et digne.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Dans ce film récompensé du Grand Prix au festival de Deauville, la cinéaste Chloé Zhao nous immerge avec délicatesse au cœur du quotidien d’un jeune Indien après une chute lors d’un rodéo.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Le film est sombre, rempli de silences. Il a une belle lenteur, une âpre gravité.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphane Joby
Une fiction documentaire délicate sur le drame d’un champion de rodéo.
Le Monde
par Thomas Sotinel
Chloé Zhao joue avec beaucoup de finesse de la contraction et de l’expansion de l’espace. L’espace intérieur de Brady, tiraillé entre son rêve de grandeur et le lien très fort qui l’unit aux siens.
Les Inrockuptibles
par Emily Barnett
La force de ce film primé à Deauville consiste à détruire les dernières fondations du mythe de l’Ouest. Si le western a rendu l’âme dès les années 1970, Zhao renverse l’épopée en une fresque d’éclopés, poignante et existentielle.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Sud Ouest
par Sophie Avon
La cinéaste sino-américaine Chloé Zhao l’a rencontré quand elle tournait « Les chansons que mes frères m’ont apprises », son superbe premier long-métrage, et elle a eu à cœur de raconter cette histoire vraie avec Bradly, ce héros brisé, dont elle filme les tourments les plus intimes. (...) Elle scrute ainsi, de son œil aigu et amoureux, les métamorphoses invisibles d’un pays.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
Surprenant, jamais ennuyeux ni misérabiliste, "The Rider" rappelle, par la beauté de ses paysages et la fragilité de ses héros, "Les Moissons du ciel" de Terrence Malick mais aussi les romans de Jim Harrison.
Télérama
par Jérémie Couston
Dans des paysages sublimes, toujours filmés à l’aube ou au crépuscule, pour donner des couleurs à des existences qui en manquent cruellement, Chloé Zhao aborde, en creux, des questions aussi cruciales que l’assimilation, la relation homme-animal, la nature et la culture.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
L'histoire d'un homme blessé et touchant, qui peine à trouver sa place dans la société.
Cahiers du Cinéma
par Mathis Badin
The Rider, qui partage plusieurs thèmes avec Les Chansons que mes frères m’ont apprises (désœuvrement adolescent, attachement à la terre natale), réussit mieux à faire coexister documentaire et fiction.
Libération
par La rédaction
(...) le film, on l’aura vu venir, fait le même parcours que son héros : creusant la déception amère au milieu de la splendeur générale des visages, des paysages, des cabrages, pour en ressortir brisé et grandi (c’est un western).
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Eric Vernay
Le temps d’une longue et fascinante séance de dressage équestre (« débourrage ») ou d’une soirée virile passée à égrener d’authentiques exploits de rodéo autour d’un feu de camp, on découvre un monde aux paysages aussi familiers que la silhouette de John Wayne, mais réinvestis par des visages neufs, insoupçonnés.
La critique complète est disponible sur le site Première
CinemaTeaser
Ce Brady, beau, pensif, affligé, est comme le symbole de l’Amérique qui s’interroge sur son caractère indomptable et son invulnérabilité. Il est surtout un grand héros de cinéma.
Critikat.com
La douceur et la simplicité de la mise en scène de Zhao trouve sa raison d’être dans ce territoire crépusculaire et apaisé : faits d’éclats impressionnistes, proches de la captation documentaire et nourris par une intimité qui n’est jamais intrusive, elle filme Brady et ses proches comme membres à part entière d’une harmonie, témoins d’un retour à l’état de nature où toutes les frontières (si cruciales dans la définition du western et de l’histoire de l’Amérique) se brouillent.
Femme Actuelle
Ce drame réaliste, brut de poésie et tourné dans des paysages magnifiques, nous touche en plein coeur.
Le Parisien
Un film sublime sur le monde des cowboys porté par un héros formidable dans son propre rôle.
Les Fiches du Cinéma
Aussi enthousiasmant que l’était "Les Chansons que mes frères m’ont apprises", si ce n’est davantage encore, ce deuxième film de Chloé Zhao s’apparente à une ballade -au sens musical du terme.
Positif
Il en résulte un film bouleversant et magistral, un anti-western (...).
aVoir-aLire.com
Après Les Chansons que mes frères m’ont apprises, Chloé Zhao poursuit dans la même veine et réussit une touchante fiction documentaire, vibrant hommage au peuple amérindien.
Bande à part
Un film au charisme incroyable, entre western du 21e siècle et documentaire sur une Amérique invisible.
Ecran Large
Si Claire Zhao s'empêtre parfois un peu dans l'héritage westernien qu'elle ne peut esquiver, son film devient absolument bouleversant quand il se fait l'évocation d'un continent mythologique en plein naufrage.
Elle
Un très beau film.
Franceinfo Culture
Avec rigueur et délicatesse, la réalisatrice chinoise observe le drame réel qui bouleverse la vie d'un jeune champion de rodéo.
L'Express
Hymne à l'espoir et à la nature, le film de Chloé Zhao est une des plus belles réussites que le cinéma indépendant américain ait pu nous offrir ces derniers temps.
L'Obs
Que faire, dès lors, de son talent de dresseur, de cette attention à l'autre, de ces gestes patients, précautionneux, quasi amoureux, que Chloé Zhao ("Les chansons que mes frères m'ont apprises") filme comme ils l'ont rarement été ? La réponse qu'apporte ce western humaniste aux vertus documentaires est à l'image de Brady : humble et digne.
La Croix
Dans ce film récompensé du Grand Prix au festival de Deauville, la cinéaste Chloé Zhao nous immerge avec délicatesse au cœur du quotidien d’un jeune Indien après une chute lors d’un rodéo.
Le Figaro
Le film est sombre, rempli de silences. Il a une belle lenteur, une âpre gravité.
Le Journal du Dimanche
Une fiction documentaire délicate sur le drame d’un champion de rodéo.
Le Monde
Chloé Zhao joue avec beaucoup de finesse de la contraction et de l’expansion de l’espace. L’espace intérieur de Brady, tiraillé entre son rêve de grandeur et le lien très fort qui l’unit aux siens.
Les Inrockuptibles
La force de ce film primé à Deauville consiste à détruire les dernières fondations du mythe de l’Ouest. Si le western a rendu l’âme dès les années 1970, Zhao renverse l’épopée en une fresque d’éclopés, poignante et existentielle.
Sud Ouest
La cinéaste sino-américaine Chloé Zhao l’a rencontré quand elle tournait « Les chansons que mes frères m’ont apprises », son superbe premier long-métrage, et elle a eu à cœur de raconter cette histoire vraie avec Bradly, ce héros brisé, dont elle filme les tourments les plus intimes. (...) Elle scrute ainsi, de son œil aigu et amoureux, les métamorphoses invisibles d’un pays.
Télé 7 Jours
Surprenant, jamais ennuyeux ni misérabiliste, "The Rider" rappelle, par la beauté de ses paysages et la fragilité de ses héros, "Les Moissons du ciel" de Terrence Malick mais aussi les romans de Jim Harrison.
Télérama
Dans des paysages sublimes, toujours filmés à l’aube ou au crépuscule, pour donner des couleurs à des existences qui en manquent cruellement, Chloé Zhao aborde, en creux, des questions aussi cruciales que l’assimilation, la relation homme-animal, la nature et la culture.
Voici
L'histoire d'un homme blessé et touchant, qui peine à trouver sa place dans la société.
Cahiers du Cinéma
The Rider, qui partage plusieurs thèmes avec Les Chansons que mes frères m’ont apprises (désœuvrement adolescent, attachement à la terre natale), réussit mieux à faire coexister documentaire et fiction.
Libération
(...) le film, on l’aura vu venir, fait le même parcours que son héros : creusant la déception amère au milieu de la splendeur générale des visages, des paysages, des cabrages, pour en ressortir brisé et grandi (c’est un western).
Première
Le temps d’une longue et fascinante séance de dressage équestre (« débourrage ») ou d’une soirée virile passée à égrener d’authentiques exploits de rodéo autour d’un feu de camp, on découvre un monde aux paysages aussi familiers que la silhouette de John Wayne, mais réinvestis par des visages neufs, insoupçonnés.