Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Bande à part
par Pierre Charpilloz
De camps de travaux forcés en manoirs de riches politiciens, I Am Not a Witch dresse un portrait acerbe, drôle, violent, mais surtout inhabituel d’une certaine Afrique contemporaine.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
La Septième Obsession
par Xavier Leherpeur
Son film, tout comme ses héroïnes rattachées au sol par d’immenses fils, refuse la gravité – dans tous les sens du terme – et s’émancipe grâce à une mise en scène en apesanteur. Sans jamais égarer sa force dénonciatrice et féministe.
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Rungano Nyoni est née en Zambie, a grandi au Pays de Galles, étudié à Londres et trouvé refuge au Portugal. Son premier long-métrage – qui aurait bien mérité de décrocher la Caméra d’or à Cannes – elle est allée le tourner sur sa terre natale.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Sur fond de croyances immémoriales, un film plein d’originalité et d’émotion qui passe la superstition et l’emprise des hommes sur les femmes qu’elle recouvre, au crible d’un regard féminin, féministe, coloré et insolite.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
L’empathie est totale envers l’héroïne en détresse interprétée par la charismatique Maggie Mulubwa.
Les Fiches du Cinéma
par Aude Jouanne
Ce conte aux accents surréalistes dresse le portrait puissant d’une société empêtrée dans ses croyances et superstitions.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Emily Barnett
Malgré l’extrême violence de ce qui est représenté, les ressorts cyniques, ridicules mais aussi sincères de cette coutume, Rungano Nyoni fait le pari de filmer autre chose, un horizon qui serait de l’ordre du conte.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Marie Claire
par Emily Barnett
Une fable mordante.
La critique complète est disponible sur le site Marie Claire
Positif
par Ariane Allard
Rungano Nyoni témoigne d'une inventivité remarquable, dans sa matière comme dans sa manière.
Studio Ciné Live
par Thierry Chèze
Rungano Nyoni signe surtout une fable subtile autour de la gent féminine mise à l'écart car vue -et crainte- comme une incongruité dans un monde modelé par et pour les hommes.
Cahiers du Cinéma
par Florence Maillard
Le film intrigue et se révèle prometteur.
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Au drame sociétal, la cinéaste préfère la fable et un humour narquois. Autant de garde-fous qui renforcent la charge dénonciatrice et féministe, tenant hors champ une inéluctable tragédie, qui finira par reprendre ses droits.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par La Rédaction
Un premier film entre la fable et la satire.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Isabelle Regnier
Un mélange de solennité et de comique colore tout le film. Le pari était risqué, mais il est réussi.
Première
par La Rédaction
Une belle leçon d'humour noir.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Pierre Murat
Ce film est une farce, avec des moments plaisants : notamment celui où Shula découvre en l’épouse d’un membre du gouvernement une sorcière comme elle, qui lui apprend à la fois la mode et la survie…
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Bande à part
De camps de travaux forcés en manoirs de riches politiciens, I Am Not a Witch dresse un portrait acerbe, drôle, violent, mais surtout inhabituel d’une certaine Afrique contemporaine.
La Septième Obsession
Son film, tout comme ses héroïnes rattachées au sol par d’immenses fils, refuse la gravité – dans tous les sens du terme – et s’émancipe grâce à une mise en scène en apesanteur. Sans jamais égarer sa force dénonciatrice et féministe.
La Voix du Nord
Rungano Nyoni est née en Zambie, a grandi au Pays de Galles, étudié à Londres et trouvé refuge au Portugal. Son premier long-métrage – qui aurait bien mérité de décrocher la Caméra d’or à Cannes – elle est allée le tourner sur sa terre natale.
Le Dauphiné Libéré
Sur fond de croyances immémoriales, un film plein d’originalité et d’émotion qui passe la superstition et l’emprise des hommes sur les femmes qu’elle recouvre, au crible d’un regard féminin, féministe, coloré et insolite.
Le Journal du Dimanche
L’empathie est totale envers l’héroïne en détresse interprétée par la charismatique Maggie Mulubwa.
Les Fiches du Cinéma
Ce conte aux accents surréalistes dresse le portrait puissant d’une société empêtrée dans ses croyances et superstitions.
Les Inrockuptibles
Malgré l’extrême violence de ce qui est représenté, les ressorts cyniques, ridicules mais aussi sincères de cette coutume, Rungano Nyoni fait le pari de filmer autre chose, un horizon qui serait de l’ordre du conte.
Marie Claire
Une fable mordante.
Positif
Rungano Nyoni témoigne d'une inventivité remarquable, dans sa matière comme dans sa manière.
Studio Ciné Live
Rungano Nyoni signe surtout une fable subtile autour de la gent féminine mise à l'écart car vue -et crainte- comme une incongruité dans un monde modelé par et pour les hommes.
Cahiers du Cinéma
Le film intrigue et se révèle prometteur.
L'Obs
Au drame sociétal, la cinéaste préfère la fable et un humour narquois. Autant de garde-fous qui renforcent la charge dénonciatrice et féministe, tenant hors champ une inéluctable tragédie, qui finira par reprendre ses droits.
Le Figaro
Un premier film entre la fable et la satire.
Le Monde
Un mélange de solennité et de comique colore tout le film. Le pari était risqué, mais il est réussi.
Première
Une belle leçon d'humour noir.
Télérama
Ce film est une farce, avec des moments plaisants : notamment celui où Shula découvre en l’épouse d’un membre du gouvernement une sorcière comme elle, qui lui apprend à la fois la mode et la survie…