Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
23 critiques presse
Culturopoing.com
par Laura Tuffery
Chacun ici entendra et retiendra le chant mystique de celui qui gravit la montagne à la recherche de Dieu ou de lui-même, le dernier chant de Gabriel, tantôt une critique acerbe du tourisme de classe, tantôt un portrait magnifié et magnifique de l’Afrique.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Humanité
par Salomé Revault d’Allonnes
Sensations proches d’Into the Wild (de Sean Penn), de 127 Heures (de Danny Boyle), mais aussi du cinéma direct de Jean Rouch : Fellipe Barbosa signe une ode sincère à la rencontre de l’autre.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Libération
par Marcos Uzal
Une épopée empreinte d’une distance très délicate.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par Christophe Narbonne
Un road-movie aux accents picaresques et profondément humain.
Positif
par Emmanuel Raspiengeas
(...) le film de Barbosa se distingue également par son intelligence d’écriture, empêtrant le spectateur dans une identification/rejet de ce marcheur aussi solaire qu’insupportable, et une impressionnante rigueur esthétique, jamais galvaudée sur l’autel de son naturalisme.
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
"Gabriel et la montagne" interroge notre perception du monde qui nous entoure et la formidable capacité du cinéma à le mettre en abîme. Un film à la fois simple et complexe, émouvant et trépidant.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Bande à part
par Olivier Pélisson
Fellipe Barbosa transcende les diktats en choisissant la fiction, qu’il nourrit d’une passionnante reconstitution documentaire, pour rendre hommage à son ami disparu Gabriel Buchmann. Sur l’écran au format Scope, le jeune homme revit et refait son ultime voyage. Bouleversant.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Cahiers du Cinéma
par Ariel Schweitzer
Le bouleversant dénouement, écartant tout pathos, achève de réunir les lignes fictionnelles et documentaires du film en un hommage perturbant et sincère à l’ami disparu.
L'Obs
par Nicolas Schaller
Barbosa filme avec délicatesse et bienveillance, rend hommage à son camarade sans faire l’impasse sur son arrogance de petit Blanc qui prétend se fondre dans les cultures locales et signe un carnet de voyage aux accents mystiques doublé d’un portrait grinçant du touriste à l’étranger.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par Morgan Pokée
Alliage subtil de fiction et de documentaire, inscription dans le réel pour en documenter – tout en le réinventant – un souvenir précis, la démarche de Barbosa fait affleurer l’hospitalité de son cinéma avec une tendresse de regard bouleversante.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Inspiré d’une histoire authentique, le film de Fellipe Barbosa est un voyage à travers les pays et les paysages qu’arpente le personnage, lequel accomplit de fait un émouvant voyage intérieur pour se dépouiller des liens qui le rattachent au monde et pour mettre son âme à nu, dans une ascension finale qui est comme son Stromboli à lui.
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
D’entrée carte postale, le film tiré de cette histoire vraie affirme sa consistance lorsqu’il révèle les contradic- tions de son héros : un touriste en sandales, a priori cool, généreux, mais toujours en fuite et parfois arrogant, finalement rattrapé par une éducation coloniale qui l’a « élevé» au-dessus des autres.
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
C’est le grand mérite de Fellipe Barbosa que d’avoir su ménager cette compréhension intellectuelle à portée historique avec le geste de compassion pour son ami défunt que le film incarne.
Les Fiches du Cinéma
par Clément Deleschaud
Fellipe Barbosa signe, en s’inspirant de faits réels, un film d’une finesse éblouissante, dressant notamment le portrait complexe et bienveillant d’un voyageur.
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Ce film tendre, sur l’enthousiasme de la jeunesse mais aussi sur le monde tel qu’il est aujourd’hui (son aspect documentaire est très important), et sur la nature et ses dangers, est (…) baigné d’une tristesse permanente et c’est ce qui fait sa beauté.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Paris Match
par Yannick Vely
Derrière son éternel sourire se cache une dépression sourde que Gabriel tentait de fuir en s'imaginant citoyen du monde. Ce film est le plus beau des tombeaux.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Télérama
par Frédéric Strauss
Gabriel était-il suicidaire, hanté par la mort de son père ou par son échec au concours d’entrée à Harvard ? La force du film est d’ouvrir toutes les pistes. Et de privilégier la plus complexe, la plus émouvante.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Le tragique mais passionnant itinéraire d’un enfant gâté.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Benoît Smith
"Gabriel et la montagne" se montre un hommage louable par sa sincérité, sa nuance respectueuse et sa délicatesse, mais qui délaie quelque peu ses efforts.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Express
par A.L.F.
Si Joao Pedro est épatant dans le rôle de Gabriel, on peut regretter trop de scènes répétitives et une réalisation assez banale.
Le Parisien
par Catherine Balle
En brossant le portrait d’un idéaliste naïf, mais aussi fier et égoïste, Barbosa rend hommage à son ami sans le sacraliser. Et si l’on connaît l’issue tragique du périple de Gabriel dès la première scène, on se passionne pourtant à essayer de comprendre comment ce jeune homme en est arrivé là.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Première
par Eric Vernay
(...) on oscille entre rire nerveux, agacement et fascination pour le courage de ce bourgeois qui, à l’instar du héros carioca de Casa Grande, défie les cases sociales établies. Jusqu’à mettre en danger sa vie : tel Icare, le naïf backpacker en sandales Masaï finira par se brûler.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Figaro
par La Rédaction
Deux heures de flash-back sur le continent africain pour refaire la route avec un adepte de l'écotourisme en quête d'authenticité, c'est long.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Culturopoing.com
Chacun ici entendra et retiendra le chant mystique de celui qui gravit la montagne à la recherche de Dieu ou de lui-même, le dernier chant de Gabriel, tantôt une critique acerbe du tourisme de classe, tantôt un portrait magnifié et magnifique de l’Afrique.
L'Humanité
Sensations proches d’Into the Wild (de Sean Penn), de 127 Heures (de Danny Boyle), mais aussi du cinéma direct de Jean Rouch : Fellipe Barbosa signe une ode sincère à la rencontre de l’autre.
Libération
Une épopée empreinte d’une distance très délicate.
Ouest France
Un road-movie aux accents picaresques et profondément humain.
Positif
(...) le film de Barbosa se distingue également par son intelligence d’écriture, empêtrant le spectateur dans une identification/rejet de ce marcheur aussi solaire qu’insupportable, et une impressionnante rigueur esthétique, jamais galvaudée sur l’autel de son naturalisme.
Studio Ciné Live
"Gabriel et la montagne" interroge notre perception du monde qui nous entoure et la formidable capacité du cinéma à le mettre en abîme. Un film à la fois simple et complexe, émouvant et trépidant.
Bande à part
Fellipe Barbosa transcende les diktats en choisissant la fiction, qu’il nourrit d’une passionnante reconstitution documentaire, pour rendre hommage à son ami disparu Gabriel Buchmann. Sur l’écran au format Scope, le jeune homme revit et refait son ultime voyage. Bouleversant.
Cahiers du Cinéma
Le bouleversant dénouement, écartant tout pathos, achève de réunir les lignes fictionnelles et documentaires du film en un hommage perturbant et sincère à l’ami disparu.
L'Obs
Barbosa filme avec délicatesse et bienveillance, rend hommage à son camarade sans faire l’impasse sur son arrogance de petit Blanc qui prétend se fondre dans les cultures locales et signe un carnet de voyage aux accents mystiques doublé d’un portrait grinçant du touriste à l’étranger.
La Septième Obsession
Alliage subtil de fiction et de documentaire, inscription dans le réel pour en documenter – tout en le réinventant – un souvenir précis, la démarche de Barbosa fait affleurer l’hospitalité de son cinéma avec une tendresse de regard bouleversante.
Le Dauphiné Libéré
Inspiré d’une histoire authentique, le film de Fellipe Barbosa est un voyage à travers les pays et les paysages qu’arpente le personnage, lequel accomplit de fait un émouvant voyage intérieur pour se dépouiller des liens qui le rattachent au monde et pour mettre son âme à nu, dans une ascension finale qui est comme son Stromboli à lui.
Le Journal du Dimanche
D’entrée carte postale, le film tiré de cette histoire vraie affirme sa consistance lorsqu’il révèle les contradic- tions de son héros : un touriste en sandales, a priori cool, généreux, mais toujours en fuite et parfois arrogant, finalement rattrapé par une éducation coloniale qui l’a « élevé» au-dessus des autres.
Le Monde
C’est le grand mérite de Fellipe Barbosa que d’avoir su ménager cette compréhension intellectuelle à portée historique avec le geste de compassion pour son ami défunt que le film incarne.
Les Fiches du Cinéma
Fellipe Barbosa signe, en s’inspirant de faits réels, un film d’une finesse éblouissante, dressant notamment le portrait complexe et bienveillant d’un voyageur.
Les Inrockuptibles
Ce film tendre, sur l’enthousiasme de la jeunesse mais aussi sur le monde tel qu’il est aujourd’hui (son aspect documentaire est très important), et sur la nature et ses dangers, est (…) baigné d’une tristesse permanente et c’est ce qui fait sa beauté.
Paris Match
Derrière son éternel sourire se cache une dépression sourde que Gabriel tentait de fuir en s'imaginant citoyen du monde. Ce film est le plus beau des tombeaux.
Télérama
Gabriel était-il suicidaire, hanté par la mort de son père ou par son échec au concours d’entrée à Harvard ? La force du film est d’ouvrir toutes les pistes. Et de privilégier la plus complexe, la plus émouvante.
aVoir-aLire.com
Le tragique mais passionnant itinéraire d’un enfant gâté.
Critikat.com
"Gabriel et la montagne" se montre un hommage louable par sa sincérité, sa nuance respectueuse et sa délicatesse, mais qui délaie quelque peu ses efforts.
L'Express
Si Joao Pedro est épatant dans le rôle de Gabriel, on peut regretter trop de scènes répétitives et une réalisation assez banale.
Le Parisien
En brossant le portrait d’un idéaliste naïf, mais aussi fier et égoïste, Barbosa rend hommage à son ami sans le sacraliser. Et si l’on connaît l’issue tragique du périple de Gabriel dès la première scène, on se passionne pourtant à essayer de comprendre comment ce jeune homme en est arrivé là.
Première
(...) on oscille entre rire nerveux, agacement et fascination pour le courage de ce bourgeois qui, à l’instar du héros carioca de Casa Grande, défie les cases sociales établies. Jusqu’à mettre en danger sa vie : tel Icare, le naïf backpacker en sandales Masaï finira par se brûler.
Le Figaro
Deux heures de flash-back sur le continent africain pour refaire la route avec un adepte de l'écotourisme en quête d'authenticité, c'est long.