Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
Bande à part
par Olivier Bombarda
Un film décoiffant et magnifique.
L'Humanité
par Dominique Widemann
Devant une caméra rigoureuse, l’artiste fait retour vers un orme gisant. A ses yeux, l’or des feuilles de cet arbre donnent un jaune inégalable. Il les appose sur des troncs, des escaliers de villes, d’infinis tracés serpentins, en tresses patientes. Une nuit de gel peut tout noircir.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Croix
par Cécile Jaurès
Fruit de quatre ans de collaboration, le superbe documentaire « Penché dans le vent » dévoile le processus de création du magicien du land art, de ses projets monumentaux en pierre à ses gestes éphémères.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par La Rédaction
C'est parfois un peu long et ingrat, mais souvent d'une beauté et d'une sagesse surprenantes.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Fiches du Cinéma
par Simon Hoarau
Dix-sept ans après "Rivers and Tides", cette figure du “land art” retrouve Thomas Riedelsheimer dans un documentaire aussi personnel que passionnant.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Paris Match
par Yannick Vely
Fascinant.
Première
par Gaël Golhen
Un documentaire beau et émouvant.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Goldsworthy se confie sur sa vie et son parcours : c'est l'intérêt et la limite de ce voyage inattendu, contemplatif et biographique.
Le Monde
par Jean-François Rauger
Les oeuvres de Galsworthy sont l’objet de l’érosion qui émousse, du vent qui disperse, de la pluie qui efface.
Le Parisien
par Yves Jaeglé
Ce documentaire montre la vie d’artiste d’un Robinson père de cinq enfants qui se sont pris à son jeu. Un bon génie de nos forêts et cours d’eau. L’homme qui murmure à l’oreille des arbres.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Positif
par Pierre Eisenreich
La timidité et la modestie d'Andy Glodsworthy, certes louables, auraient mérité d'être un peu bousculées afin de nous faire partager sa vie dédiée à un land art, ô combien émouvant.
Télérama
par Nicolas Didier
Ce documentaire est pertinent quand il immortalise ses travaux éphémères : collages de feuilles aux couleurs vives le long d’escaliers, forme humaine dessinée par la pluie sur le trottoir. Ou quand il montre à quel point les performances de Goldsworthy sont imprégnées d’humour absurde et de cinéma burlesque. Et il faut voir l’homme déjouer la gravité en rampant dans les arbres…
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Bande à part
Un film décoiffant et magnifique.
L'Humanité
Devant une caméra rigoureuse, l’artiste fait retour vers un orme gisant. A ses yeux, l’or des feuilles de cet arbre donnent un jaune inégalable. Il les appose sur des troncs, des escaliers de villes, d’infinis tracés serpentins, en tresses patientes. Une nuit de gel peut tout noircir.
La Croix
Fruit de quatre ans de collaboration, le superbe documentaire « Penché dans le vent » dévoile le processus de création du magicien du land art, de ses projets monumentaux en pierre à ses gestes éphémères.
Le Figaro
C'est parfois un peu long et ingrat, mais souvent d'une beauté et d'une sagesse surprenantes.
Les Fiches du Cinéma
Dix-sept ans après "Rivers and Tides", cette figure du “land art” retrouve Thomas Riedelsheimer dans un documentaire aussi personnel que passionnant.
Paris Match
Fascinant.
Première
Un documentaire beau et émouvant.
Le Journal du Dimanche
Goldsworthy se confie sur sa vie et son parcours : c'est l'intérêt et la limite de ce voyage inattendu, contemplatif et biographique.
Le Monde
Les oeuvres de Galsworthy sont l’objet de l’érosion qui émousse, du vent qui disperse, de la pluie qui efface.
Le Parisien
Ce documentaire montre la vie d’artiste d’un Robinson père de cinq enfants qui se sont pris à son jeu. Un bon génie de nos forêts et cours d’eau. L’homme qui murmure à l’oreille des arbres.
Positif
La timidité et la modestie d'Andy Glodsworthy, certes louables, auraient mérité d'être un peu bousculées afin de nous faire partager sa vie dédiée à un land art, ô combien émouvant.
Télérama
Ce documentaire est pertinent quand il immortalise ses travaux éphémères : collages de feuilles aux couleurs vives le long d’escaliers, forme humaine dessinée par la pluie sur le trottoir. Ou quand il montre à quel point les performances de Goldsworthy sont imprégnées d’humour absurde et de cinéma burlesque. Et il faut voir l’homme déjouer la gravité en rampant dans les arbres…