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Nous sommes amenés à voir une jeune fille de 23 ans qui a fait de bonnes études mais qui se cherche encore.
Elle décide de candidater à la Marine Nationale.
Bien lui en a pris spoiler: car ce choix s'avèrera être le bon pour elle.
On suit son chemin, sa formation, les difficultés, sa relation ambigüe avec son supérieur.
Ce film est d'une grande sobriété, très intéressant et j'ai été captivé du début à la fin.
Elle décide de candidater à la Marine Nationale.
Bien lui en a pris spoiler: car ce choix s'avèrera être le bon pour elle.
On suit son chemin, sa formation, les difficultés, sa relation ambigüe avec son supérieur.
Ce film est d'une grande sobriété, très intéressant et j'ai été captivé du début à la fin.
(Je maintiens ma critique et ne vois pas la raison de votre censure. L'expression "enfiler des perles" n'est pas grossière. Elle fait référence à l'ennui et à l'activité classique de petites filles pour s'occuper. Si vous maintenez votre censure abusive, tant pis... Ma critique est déjà sur mon blog ).
Ce film présente tous les atouts d’un succès : une affiche pleine de sensibilité, une jeune actrice très « engagée » au regard expressif ; un sujet sortant de l’ordinaire avec le quotidien des commandos de marine entre terre et mer… Et puis, il y a Lambert Wilson au casting. Un programme donc alléchant… qui ne tient malheureusement pas ses promesses.
C’est difficile de dire du mal de ce film, tant il est pavé de bonnes intentions. La réalisatrice a voulu raconter une histoire d’amour impossible au sein de l’Armée. Il y a là sur le papier une bonne idée de scénario, puisque la grande muette est devenue mixte, et que la hiérarchie pesante y crée un environnement propice à des tentatives d’approche feutrées « à l’ancienne ». Quelques silences bien sentis sont de rares moments authentiques entre les personnages. Hélas, la réalisatrice est une femme qui semble peu connaître les milieux de la marine. Elle s’attache aux seules relations humaines, faisant de la Marine un milieu désoeuvré où chacun semble là pour saluer les couleurs, et enfiler des perles le reste du temps. Le personnage de Lambert Wilson est monolithique, et pour tout dire sans intérêt. Quant à l’histoire, elle semble proprement improbable. On se demande ce que cette jeune femme peut trouver d’excitant dans un job sans intérêt qui l’amène à rompre avec son fiancé. Comment peut-elle aussi laisser naître un béguin pour un commandant enfermé dans son bureau comme dans une forteresse inexpugnable. C’est dommage car il y a de bons moments dans ce film, du fait de la présence lumineuse de Diane Rouxel, jeune actrice que l’on espère revoir. Elle réussit à rendre un peu crédible un rôle qui ne l’est pas.
Ce film présente tous les atouts d’un succès : une affiche pleine de sensibilité, une jeune actrice très « engagée » au regard expressif ; un sujet sortant de l’ordinaire avec le quotidien des commandos de marine entre terre et mer… Et puis, il y a Lambert Wilson au casting. Un programme donc alléchant… qui ne tient malheureusement pas ses promesses.
C’est difficile de dire du mal de ce film, tant il est pavé de bonnes intentions. La réalisatrice a voulu raconter une histoire d’amour impossible au sein de l’Armée. Il y a là sur le papier une bonne idée de scénario, puisque la grande muette est devenue mixte, et que la hiérarchie pesante y crée un environnement propice à des tentatives d’approche feutrées « à l’ancienne ». Quelques silences bien sentis sont de rares moments authentiques entre les personnages. Hélas, la réalisatrice est une femme qui semble peu connaître les milieux de la marine. Elle s’attache aux seules relations humaines, faisant de la Marine un milieu désoeuvré où chacun semble là pour saluer les couleurs, et enfiler des perles le reste du temps. Le personnage de Lambert Wilson est monolithique, et pour tout dire sans intérêt. Quant à l’histoire, elle semble proprement improbable. On se demande ce que cette jeune femme peut trouver d’excitant dans un job sans intérêt qui l’amène à rompre avec son fiancé. Comment peut-elle aussi laisser naître un béguin pour un commandant enfermé dans son bureau comme dans une forteresse inexpugnable. C’est dommage car il y a de bons moments dans ce film, du fait de la présence lumineuse de Diane Rouxel, jeune actrice que l’on espère revoir. Elle réussit à rendre un peu crédible un rôle qui ne l’est pas.
Pathétique ... Des invraisemblances , des incohérences , des clichés ! Des citations reprises dans des reportages sur les commandos marine , Un capitaine de frégate qui se fait tutoyer et chambrer par un 1er maitre devant un éléve officier , le meme capitaine de frégate ( directeur des études ) qui passe sont temps à regarder par la fenêtre , une candidate du s "STAC " qui rate ses épreuves et qui gagne quand meme le beret vert .. mdr ..... Et une josiane Balasko qui " cachetonne " , NUL !
WutheringHeights
Entre récit d’apprentissage et histoires d’amour non consommées, Diane Rouxel et Corentin Fila brillent dans ce film à la mise en scène précise.
D'un ennui... Scénario léger, invraisemblances militaires, Lambert Wilson mono expressif.
Seul le jeu de Diane Rouxel m'a empêché de partir avant la fin.
Seul le jeu de Diane Rouxel m'a empêché de partir avant la fin.
J'apprécie beaucoup ce genre de films particulièrement classiques et sobres.
La réalisation est très soignée et c'est agréable.
Un excellent film selon moi.
La réalisation est très soignée et c'est agréable.
Un excellent film selon moi.
J'ai adoré ce film : très bien joué par des acteurs sublimes. Lambert Wilson dans un de ses meilleurs rôles. J'ai beaucoup aimé, non seulement les acteurs mais toutes ces émotions cachées.....Belle histoire d'amour inavouée et cachée. Que d'émotions !!!
Un meilleur nom pour ce film pourait etre "volontaire car je suis amoureuse de mon chef" !! Quand j'ai vue l'extrait j'ai croye que le film parle de courage d'une jeunne person vis a vis des prejuges. Mais ce que j'ai trouve apres le voir c'etais un commandant plutot gentil et une fille amoureuse qui souhaite d'impressioner l'homme qu'elle aime et finalemnt le pousse a abandonne son poste. A l'epoque du mouvement "me too" contre les harcelements sexuels dans les lieux de travil je n'attende pas un tell film, surtout dans un millieur militaire.
Quelle déception ! Tellement déçu que je m'inscris à Allociné pour en parler. Tous les ingrédients d'un grand film étaient pourtant là : deux grands acteurs (Diane Rouxel parfaite), un sujet intéressant (la place des femmes dans les armées à l'heure de Me too) et un univers qui offre de grandes possibilités (la Marine et ses commandos pour une fois traités dans une optique autre que le film de guerre). A l'arrivée : un navet. N'est pas Schoendoerffer qui veut.
La Marine est racontée (fantasmée) par des gens qui ne la connaissent pas. Pour moi qui la connais bien, ainsi que les lieux concernés, le film est rempli d’invraisemblances du début à la fin. Presque tout est erroné : incorporation, grades, uniformes, attitudes, sécurisation et vie des bases... Dire qu'un conseiller militaire est crédité au générique, pauvre de lui !
Le commandant Rivière est totalement psycho-rigide, ce qui est quand même rarissime chez les commandos qui sont notamment recrutés sur critères psy. Les autres officiers sont à peine plus ouverts...
Le parcours de la jeune aspi tient du miracle : en quelques semaines, elle passe d'un niveau sportif moyen à l'obtention du béret vert, une des épreuves physiques les plus sélectives des armées.
Enfin, la question des femmes dans la marine est elle aussi traitée sans la connaître. Ici, on l'appelle "meuf", "la miss", les autres femmes lui sont hostiles... La réalité est heureusement moins dure.
Bref, beau sujet, traité n'importe comment par quelqu'un qui s'est dit que l'univers de la Marine serait un beau cadre sans chercher à en rien connaître autre que ses propres a priori. Aussi crédible que si je faisais moi-même un film sur les danseurs de tango de Patagonie : une suite de clichés.
La Marine est racontée (fantasmée) par des gens qui ne la connaissent pas. Pour moi qui la connais bien, ainsi que les lieux concernés, le film est rempli d’invraisemblances du début à la fin. Presque tout est erroné : incorporation, grades, uniformes, attitudes, sécurisation et vie des bases... Dire qu'un conseiller militaire est crédité au générique, pauvre de lui !
Le commandant Rivière est totalement psycho-rigide, ce qui est quand même rarissime chez les commandos qui sont notamment recrutés sur critères psy. Les autres officiers sont à peine plus ouverts...
Le parcours de la jeune aspi tient du miracle : en quelques semaines, elle passe d'un niveau sportif moyen à l'obtention du béret vert, une des épreuves physiques les plus sélectives des armées.
Enfin, la question des femmes dans la marine est elle aussi traitée sans la connaître. Ici, on l'appelle "meuf", "la miss", les autres femmes lui sont hostiles... La réalité est heureusement moins dure.
Bref, beau sujet, traité n'importe comment par quelqu'un qui s'est dit que l'univers de la Marine serait un beau cadre sans chercher à en rien connaître autre que ses propres a priori. Aussi crédible que si je faisais moi-même un film sur les danseurs de tango de Patagonie : une suite de clichés.
PLR
Sur ce type de sujet, on se dit qu'on va suivre la difficile intégration de notre héroïne dans le monde militaire. Bien que la Marine Nationale, choisie comme cadre ici, ne soit pas le milieu le plus hermétique à cette féminisation. Et force est de constater qu'au final dans ce scénario les choses se passent finalement assez bien, sans vraiment d'accrocs. Tant mieux. Mais le cinéphile, lui, il est a priori attiré et en attente de quelque chose de plus intense et dramatique que cette douce romance. D'où une certaine indifférence puisqu'il n'y a pas vraiment de sujet.
Second long métrage d’Hélène Fillières, Volontaire est une vision assez originale de l’armée puisqu’il montre le parcours d’une femme pour devenir une militaire au sein de la Marine française en évitant le passage obligé du départ sur le terrain
spoiler:
(la seule scène de combat se révélant être au final un entraînement)
. L’étude du caractère des personnages est assez subtile (à l’exception peut-être de celui de la mère jouée par Josiane Balasko qui est l’archétype de la comédienne foncièrement anti-militariste) et les acteurs sont tout à fait convaincants (Diane Rouxel, Lambert Wilson, Corentin Fila ou encore Hélène Fillières elle-même). Toutefois, à l’instar d’Une histoire d’amour (dont le sujet poussait également à ce type de traitement), Hélène Fillières filme le tout avec une froideur pouvant laissé de côté certains spectateurs.
. L’étude du caractère des personnages est assez subtile (à l’exception peut-être de celui de la mère jouée par Josiane Balasko qui est l’archétype de la comédienne foncièrement anti-militariste) et les acteurs sont tout à fait convaincants (Diane Rouxel, Lambert Wilson, Corentin Fila ou encore Hélène Fillières elle-même). Toutefois, à l’instar d’Une histoire d’amour (dont le sujet poussait également à ce type de traitement), Hélène Fillières filme le tout avec une froideur pouvant laissé de côté certains spectateurs.
Un duo très prenant dans l’univers codifié de l’armée. Belle découverte de Diane Rouxel qui incarne très bien cette jeune aspirante et Lambert Wilson en Commandant rigide mais protecteur. Belle histoire à voir absolument. Bon moment de cinéma.
Très bon drame Français menée par des acteurs formidables! La bande son est génial, le jeu d’acteur en est tout autant. L’histoire est simple a comprendre, une jeune femme doit trouver un travail, elle postule de partout et on lui propose un travail à l’armée. Je le conseille à n’importe quel personne qui aime les comédies dramatiques, on ne s’ennuie pas une seule fois pendant ce long.
Volontaire est un film qui nous emmène à la découverte d'un univers peu connu : l'armée, ici la marine. Discipline, rigueur, self-control, force d'âme en sont les principales valeurs, plutôt "viriles" a priori mais qui ont de façon surprenante attiré une fragile, féminine et jolie jeune femme qui se cherche et y fera ses difficiles mais réussis premiers pas C'est un film sérieux mais éclairé et porté par la grâce de son interprète féminine et le charisme . de Lambert Wilson, impeccable dans le rôle de l'inflexible, intraitable commandant Rivière. C'est aussi une jolie histoire d'amour impossible, toute en retenue et en pudeur. Les acteurs sont très convaincants y compris les seconds rôles (Josiane Balasko en mère antimilitariste mais qui s'avérera au final fière de sa fille, son "petit soldat' ansi que Alex Descas, étonnamment crédible en militaire !) Ce film m'a beaucoup plu. Seul léger reproche : quelques longueurs, sans plus.
Simplement magnifique..... Diane Rouxel et Lambert Wilson au top pour nous donner du plaisir, du frisson. Dans un cadre militaire assez strict, un passage réalisée par Hélène Fillères, qui fait de Laure (La Miss ) une étudiante brillante certes, mais paumée - des parents élastiques (dont J Balasko, comédienne) et qui n'a pas encore trouvé sa voie. Ce chemin passera par la Bretagne et celle école et sa haute exigence. Lambert Wilson (Le Moine) incarne l'autorité et la rigueur.... enfin ces deux là semblent avoir percé dans l'autre, un quelque chose de plus puissant et moteur. J'ai trouvé les scènes, commando, ou d'entrainement venant alterner les tâches administratives lisses, intéressantes. Les lumières et décors somptueux. Que dire des dialogues et des silences à eux seuls, le sel du film. Excellent film qui ravira beaucoup de mes connaissances...attention pas ceux qui s'attendent à du bon vieux film de guerre - on est ici dans du sensible et du "tiré à 4 épingles" !!**
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