Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
L'Humanité
par Sophie Joubert
Un film délicat sur la liberté retrouvée.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un beau portrait de femme.
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Les deux réalisatrices font preuve d’une délicatesse extrême pour brosser le portrait d’une attachante quinquagénaire (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Paris Match
par Fabrice Leclerc
Un road-movie de la sagesse, petit bijou hors du temps.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Yann Tobin
(...) les qualités de ce petit joyau : discrètement féministe, tranquillement surréaliste.
Télérama
par Pierre Murat
Les deux réalisatrices semblent perpétuer la délicatesse de la « nouvelle vague » argentine tant célébrée en France il y a quelques années : Historias mínimas et Bombón, el perro, de Carlos Sorín, notamment.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Fabien Reyre
Atán et Pivato vont à l’essentiel, dans une recherche d’épure qui n’exclut pas pour autant un goût affirmé pour une forme de poésie, voire même d’abstraction.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par Jérôme Garcin
Le premier film de Cecilia Atan et Valeria Pivato, jeunes réalisatrices argentines, touche par sa simplicité, à peine contrariée par une image sophistiquée, qui métamorphose peu à peu la femme de l'ombre en héroïne lumineuse.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
Jolie chronique en demi-teinte, beau portrait de femme, portée par l’une des grandes actrices du cinéma latino-américain (Paulina Garcia), épaulée par Claudio Rissi qui rayonne en macho fragile et rassurant, cette Fiancée du désert a bien du charme.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Cette traversée du désert métaphorique revêt la forme d’un road-movie initiatique qui, certes, ne sort pas des sentiers battus mais distille un charme discret de par la nature de ses interprètes et des vraies gens dont ils restituent les frustrations et les fractures.
Le Figaro
par La Rédaction
Teresa ne dit rien, absorbe l'ingratitude, rassemble son peu de bagages et prend le car.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Fiches du Cinéma
par Corentin Lê
Une capsule mélancolique dans le trajet d’une femme solitaire, qui, bien que magnifique par instants, souffre d’un clair manque d’audace.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Thomas Baurez
C’est mignon, à défaut d’être emballant. Aurore avait bien plus d’allure.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Laurent Djian
L'héroïne est touchante, mais le minimalisme de ce road movie initiatique laisse vite le spectateur sur le bas-côté.
Le Monde
par Isabelle Regnier
Teresa s’embarque dans un voyage où elle fait la connaissance d’un vendeur ambulant. Ces deux blocs de solitude traversent le désert argentin en camion, et ce jusqu’à une apothéose molle. Une épreuve.
L'Humanité
Un film délicat sur la liberté retrouvée.
Le Dauphiné Libéré
Un beau portrait de femme.
Le Journal du Dimanche
Les deux réalisatrices font preuve d’une délicatesse extrême pour brosser le portrait d’une attachante quinquagénaire (...).
Paris Match
Un road-movie de la sagesse, petit bijou hors du temps.
Positif
(...) les qualités de ce petit joyau : discrètement féministe, tranquillement surréaliste.
Télérama
Les deux réalisatrices semblent perpétuer la délicatesse de la « nouvelle vague » argentine tant célébrée en France il y a quelques années : Historias mínimas et Bombón, el perro, de Carlos Sorín, notamment.
Critikat.com
Atán et Pivato vont à l’essentiel, dans une recherche d’épure qui n’exclut pas pour autant un goût affirmé pour une forme de poésie, voire même d’abstraction.
L'Obs
Le premier film de Cecilia Atan et Valeria Pivato, jeunes réalisatrices argentines, touche par sa simplicité, à peine contrariée par une image sophistiquée, qui métamorphose peu à peu la femme de l'ombre en héroïne lumineuse.
La Croix
Jolie chronique en demi-teinte, beau portrait de femme, portée par l’une des grandes actrices du cinéma latino-américain (Paulina Garcia), épaulée par Claudio Rissi qui rayonne en macho fragile et rassurant, cette Fiancée du désert a bien du charme.
La Voix du Nord
Cette traversée du désert métaphorique revêt la forme d’un road-movie initiatique qui, certes, ne sort pas des sentiers battus mais distille un charme discret de par la nature de ses interprètes et des vraies gens dont ils restituent les frustrations et les fractures.
Le Figaro
Teresa ne dit rien, absorbe l'ingratitude, rassemble son peu de bagages et prend le car.
Les Fiches du Cinéma
Une capsule mélancolique dans le trajet d’une femme solitaire, qui, bien que magnifique par instants, souffre d’un clair manque d’audace.
Première
C’est mignon, à défaut d’être emballant. Aurore avait bien plus d’allure.
Studio Ciné Live
L'héroïne est touchante, mais le minimalisme de ce road movie initiatique laisse vite le spectateur sur le bas-côté.
Le Monde
Teresa s’embarque dans un voyage où elle fait la connaissance d’un vendeur ambulant. Ces deux blocs de solitude traversent le désert argentin en camion, et ce jusqu’à une apothéose molle. Une épreuve.