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Première réalisation et franche réussite, Franck Dubosc ose et s’approprie ce sujet sensible qu’est l’handicap mobile. Avec humour, romantisme et finesse, « Tout le monde debout » s’accorde, se vit, se ressens avec talent.
Mythomane absolue, Jocelyn séduit et affabule la gente féminine depuis toujours… A l’image du film « Alibi.com » qui a généralisé le genre, cette comédie romantique inédite prône la politique du mensonge. Quelques petites références malines ne manque pas, tel le récital lyriques de « Pierre et le loup », plusieurs fois répétées en fond sonore dans le film.
En positionnant le sujet de l’handicap en phase primaire du scénario, le comédien parvient habilement à renouveler l’humour dans une candeur très optimiste. Sentiment de vivifiance donc, mené par une Alexandre Lamy rayonnante qui glorifie avec panache l’image des personnes invalides. L’exclusion, ils la vivent, la différence est inévitable, et c’est grâce à une concordance des dialogues que le jeu d’actrice de la jeune femme revalorise l’art de réapprendre le goût de la vie et les reconstructions qui s’en accompagne, notamment à travers le sport, la musique, la lecture…
Ainsi, cette abondance de positivité et d’émotions s’ajuste à un renouvellement inattendu, et pourtant si nécessaire, de l’humour. Non pas salace mais grandement audacieux, le discours est propre et, une forte empathie, sensibilise autour de la cause choisit.
En plus de réinventé le rire, Franck Dubosc modernise l’amour ! L’histoire romantique entre Jocelyn et Florence résulte sur une originalité réutilisant de vieux clichés brillamment revisités. spoiler: Un dîner au chandelle à Prague, le marathon de New York ou encore une scène dans une piscine esthétiquement chimérique, le mythomane, pris à son propre piège, finit par faire oublier à la jeune femme son handicap le temps de ces moments d’intensité et ce, en oubliant à son tour son propre mensonge
.
Une spécialité du réalisateur, on note un placement de produits discret et réussi. Nike et Reebok, le film donne même la lumière à une start-up pointue, Le Fauteuil Français.
Quoi qu’il en soit, partant d’un duo Dubosc / Lamy assez surprenant qui matche excellemment bien, Elsa Zylberstein et Gérard Darmon ajoute, par leur présence complémentaire, une fraîcheur distinguée. Un casting diversifié donc, pour un film qui jongle entre les genres, Franck Dubosc, alias Jocelyn, finit par nous séduire nous aussi et ce, sans nous mentir !
Bilan : Une telle réussite que vous en resterez scotché à votre fauteuil !
Vos meilleurs films d'hier, d'aujourd'hui et de demain avec Cinephilion.net !
Mythomane absolue, Jocelyn séduit et affabule la gente féminine depuis toujours… A l’image du film « Alibi.com » qui a généralisé le genre, cette comédie romantique inédite prône la politique du mensonge. Quelques petites références malines ne manque pas, tel le récital lyriques de « Pierre et le loup », plusieurs fois répétées en fond sonore dans le film.
En positionnant le sujet de l’handicap en phase primaire du scénario, le comédien parvient habilement à renouveler l’humour dans une candeur très optimiste. Sentiment de vivifiance donc, mené par une Alexandre Lamy rayonnante qui glorifie avec panache l’image des personnes invalides. L’exclusion, ils la vivent, la différence est inévitable, et c’est grâce à une concordance des dialogues que le jeu d’actrice de la jeune femme revalorise l’art de réapprendre le goût de la vie et les reconstructions qui s’en accompagne, notamment à travers le sport, la musique, la lecture…
Ainsi, cette abondance de positivité et d’émotions s’ajuste à un renouvellement inattendu, et pourtant si nécessaire, de l’humour. Non pas salace mais grandement audacieux, le discours est propre et, une forte empathie, sensibilise autour de la cause choisit.
En plus de réinventé le rire, Franck Dubosc modernise l’amour ! L’histoire romantique entre Jocelyn et Florence résulte sur une originalité réutilisant de vieux clichés brillamment revisités. spoiler: Un dîner au chandelle à Prague, le marathon de New York ou encore une scène dans une piscine esthétiquement chimérique, le mythomane, pris à son propre piège, finit par faire oublier à la jeune femme son handicap le temps de ces moments d’intensité et ce, en oubliant à son tour son propre mensonge
.
Une spécialité du réalisateur, on note un placement de produits discret et réussi. Nike et Reebok, le film donne même la lumière à une start-up pointue, Le Fauteuil Français.
Quoi qu’il en soit, partant d’un duo Dubosc / Lamy assez surprenant qui matche excellemment bien, Elsa Zylberstein et Gérard Darmon ajoute, par leur présence complémentaire, une fraîcheur distinguée. Un casting diversifié donc, pour un film qui jongle entre les genres, Franck Dubosc, alias Jocelyn, finit par nous séduire nous aussi et ce, sans nous mentir !
Bilan : Une telle réussite que vous en resterez scotché à votre fauteuil !
Vos meilleurs films d'hier, d'aujourd'hui et de demain avec Cinephilion.net !
Essai magnifiquement transformé pour Franck Dubosc à la réalisation de cette jolie comédie sentimentale. Il endosse ici un costume dans lequel il est très à l'aise, le beau gosse grisonnant, mais qui est là également un sacré menteur particulièrement amoral. Il tombe finalement dans le piège de ses propres mensonges et s'y enfonce irrémédiablement. Alexandra Lamy est sublime, pétillante. Gérard Darmon et Elsa Zylberstein, excellente en assistante bien gourde, ne sont pas en reste, et forment un duo d'amis pour Franck Dubosc drôle et attachant. Le sujet choisi par Franck Dubosc, tout de même délicat, est traité sans tomber dans les clichés. Le mélange tendresse et blagues un peu lourdingues se fait très bien, et on passe un très bon moment. Reste le final, qui aurait peut-être gagné à se faire différemment.
Vu en avant première il y a quelques semaines, ce film est une vraie petite vague de fraîcheur, c'est divertissant, très drôle, parfois émouvant. Une belle surprise !
Une excellente surprise que ce feel good movie français ce qui n'est vraiment pas courant. Un très bon scénario soutenu par de très bons dialogues et un très bon jeu d'acteurs/rices. De l'humour et de l'émotion. Même si tout est prévisible, ce qui est toujours la marque de ce genre de film, Franck Dubosc signe là un excellent divertissement empreint d'une réflexion sur le handicap. Alexandra Lamy et Elsa Zylberstein sont sublimes en tout point. Vraiment un bon moment.
FaRem
Un premier film étonnant pour Franck Dubosc. Étonnant parce que si c'est la première fois qu'il passe derrière la caméra, il avait déjà écrit de nombreux scénarios avec des personnages qui étaient plus ou moins fidèles à l'image qu'il renvoie dans la plupart de ses films ce qui n'est pas le cas ici du moins une fois l'histoire lancée. Au début, on retrouve le dragueur un peu lourd, mais très vite après sa rencontre avec Florence, son personnage change complètement. On pouvait craindre le pire puisque Dubosc s'attaque au handicap seulement il évite les problèmes et les gags lourds pour faire une comédie feel good très drôle, mais pas seulement, car c'est également très attendrissant et émouvant. En fait, "Tout le monde debout" est la comédie populaire par excellence, un film bienveillant, plein de tendresse et de bons sentiments qui fait passer un très bon moment. L'histoire est très agréable avec un bon mélange entre comédie et romantisme tandis que l'ensemble du casting est parfait. Le duo qui affiche une belle alchimie à l'écran est très bon surtout Alexandra Lamy qui est rayonnante. La mise en scène est soignée, il y a quelques très belles scènes comme celle dans la piscine et la bande-originale est très sympa avec des morceaux toujours bien choisis. Bref, un très beau film qui est une vraie bonne surprise.
Pour son premier film en tant que réalisateur Franck Dubosc rend une belle copie en signant une jolie comédie à l'humour léger et au message touchant. Franck Dubosc et Alexandra Lamy y forment un duo pétillant. Une belle réussite et la très bonne surprise de ce début d'année 2018.
J'ai vu ce film en avant première avec présence des artistes. Le film est très bien , plein de sensibilité et d'amour mais également de moments drôles malgré le sujet du handicap. Lors du débat post film, J'ai trouvé Franck Dubosc plein de bon sens et très juste dans ses reponses. C'est un acteur complet... Alexandra Lamy est egalement lumineuse dans ce film.
shindu77
Voilà une excellente surprise. Ce premier long-métrage de Franck Dubosc est une réussite en tout point. Le film réussi à la fois à emmener le spectateur dans des moments d’humour mais aussi d’émotion. Le casting globale est très bon avec une mention spéciale pour Alexandra Lamy qui semble être tout simplement parfaite pour le rôle. Seul petit reproche, la fin du film me semble un tout petit peu trop rapide mais cela reste un petit détail dans un film qui est une vraie réussite.
Une comédie réussie, bien interprétée et bien réalisée. Un film drôle et émouvant qui ne tombe pas dans les clichés. Bien vu.
On n’est jamais aussi bien servi que par soi-même. C’est la réflexion que l’on se fait devant Tout le monde debout. En effet, alors que la carrière cinématographique de Franck Dubosc ne brille guère par sa qualité, le comique signe pour son premier film en tant que réalisateur une comédie romantique un peu moins drôle que ce à quoi on pouvait s’attendre et qui évite la lourdeur que l’on aurait pu craindre de sa part mais qui a l’intelligence de dégager de l’émotion et de la réflexion. Servi par un casting très plaisant (Franck Dubosc, Alexandra Lamy, Gérard Darmon, Elsa Zylberstein, Claude Brasseur, François-Xavier Demaison), il montre également un certain talent de réalisateur-scénariste et une sensibilité et une subtilité que l’on n’attendait pas spécialement de sa part. Une belle réussite qui nous donne l’envie de moins voir Franck Dubosc chez les autres mais beaucoup plus souvent dans ses propres œuvres.
A la fois tendre, réaliste et dramatique, le film nous entraîne avec humour dans le monde du handicap si difficile. le duo Dubosc-Lamy est idéal. Acteurs superbes et jouant vraiment bien toute en finesse, bref un film à ne pas manquer.
J’avais des méfiances essentiellement liées à la triple casquette portée par Franck Dubosc, à la fois acteur, réalisateur et scénariste de ce « Tout le Monde Debout ». Une fois que les premières minutes sont passées durant lesquelles on retrouve son pathétique personnage de dragueur invétéré, le film prend un joli virage et se transforme en une douce comédie romantique, prévisible certes mais qui allie avec efficience les moments drôles et tendres. Un rafraîchissement que l’on doit surtout à une Alexandra Lamy lumineuse, sans oublier pour autant les seconds rôles tenus par Gérard Darmon et Elsa Zylberstein. Charmante surprise, vraiment.
Formidable ! Frank Dubosc réalise son premier long métrage, et quelle belle réussite ! Alors on peut trouver des facilités scénaristiques ou des petites incohérences assez régulièrement dans le film, mais ça ne m’a pas empêché de passer un super moment. Pour moi, « Tout le monde debout » est même considéré comme un petit bijou comme on en voit assez rarement chez les comédies françaises. C’est frais, c’est drôle (très drôle), tendre, touchant et le film fait vraiment du bien. Il s’agit plus d’une histoire d’amour que d’un film sur le handicap. Le scénario n’est certes pas bien complexe et paraît plutôt basique, mais je n’en demandais pas plus, ce n’est pas ce que je recherchais avec cette comédie, et j'ai vraiment eu un certain plaisir face au visionnage. On sent que Dubosc a mis du cœur pour sa première participation derrière la caméra. En tant que personnage du film, on peut dire qu’il n’hésite pas à utiliser le sens de l’humour fidèle à la réputation de l’homme de scène. Le protagoniste va également avoir une belle évolution. Alexandra Lamy est magnifique. Je la trouve incroyablement rayonnante dans le film (comme dans la vraie vie d’ailleurs). L’actrice s’est beaucoup impliquée pour le tournage du film, notamment avec des entraînements de tennis handisport, afin d’être le plus crédible possible dans le rôle d’une personne handicapée, en fauteuil. On s’attache terriblement au duo du début à la fin, et c’est aussi ça qui fait que je n’ai pas vu le temps passer. Dans les rôles secondaires, j’ai également beaucoup aimé le personnage de Gérard Darmon qui apporte une touche d’humour supplémentaire tout en servant de voix de la raison pour Jocelyn (le personnage principal joué par Dubosc). Bref, sans non plus s’attendre à un chef d’œuvre marquant le cinéma français, je recommande vivement cette petite perle (idéale pour profiter en même temps du Printemps du Cinéma), qui donne le sourire, à voir entre amis, en couple, ou en famille.
Comédie d’amour drôle et émouvante; l’ensemble des personnages, principaux comme secondaires, joués par deux bons acteurs, sont attachants, l’idée est originale et bien menée, et un rythme tenu tout le long, ce film est une franche réussite parfaitement bien dosée.
Fous rires et larme au rendez-vous, ce film propose une succession de scènes aussi belles que fortes, répond sincèrement aux termes graves abordés, mêlant humour et sérieux avec finesse et grande intelligence, jouant avec les émotions du spectateur avec perfection.
Messages convaincants.
Fous rires et larme au rendez-vous, ce film propose une succession de scènes aussi belles que fortes, répond sincèrement aux termes graves abordés, mêlant humour et sérieux avec finesse et grande intelligence, jouant avec les émotions du spectateur avec perfection.
Messages convaincants.
Une très belle découverte lors d'une avant première. Un film émouvant, Dubosc que l'on ne connait pas comme ça et l'on ne s'attendait pas à un tel film! C'était osé de faire son premier film sur un thème si intense et bien pari relevé! Bref je le recommande, j'ai été très touchée et bouleversée par la justesse de ce beau duo
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