AlloCiné
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J'avais brièvement entendu parler du film, qui ne semblait pas déplaisant mais je ne savais pas du tout à quoi m'attendre... Je pars donc le découvrir après un changement de planning. J'ai été agréablement surprise par la réalisation de Franck Dubosc ainsi que par le scénario. Tout n'est pas parfait, mais la construction du film suit une suite logique tout comme l'évolution des personnages. On s'attache assez vite aux deux protagonistes, et finalement le romance est presque secondaire comparé au cheminement du personnage de Jocelyn. On nous donne beaucoup de pistes mais qui s’essoufflent un peu trop vite pour certaines, en tout cas j'aurais voulu en savoir plus. Le casting apporte un réel plus aux personnages, Franck Dubosc est une fois de plus dans la position du dragueur invétéré, mais casse peu à peu son image, comme si ce film tournait une page dans sa carrière, Alexandra Lamy apporte sensibilité et fraîcheur qui va peu à peu aider le personnage de Jocelyn à évoluer. J'ai eu beaucoup de plaisir à retrouver Gérard Darmon, qui se fait beaucoup trop rare à mon goût, ainsi qu'Elsa Zylberstein dont j'ai beaucoup aimé le personnage. La réalisation est plus que convaincante, l'utilisation de la lumière, la photographie nous offre des plans et des séquences magnifiques. L'une d'elle va me marquer pendant un bon moment de par sa beauté, ses couleurs, sa lumière... La bande originale est sublime, je me la repasse en boucle depuis plusieurs minutes, ses notes au piano me touche particulièrement. Malgré un scénario convenu dès le départ, la façon dont le film conduit le spectateur est intéressante, je regrette simplement certains trous scénaristique sur la remise en question de Jocelyn dans son histoire et quelques simplicités qui ont été prises. Toutefois, j'ai passé une bon moment devant ce film, j'ai été surprise par la réalisation et le montage, il m'a offert ce que j'avais besoin à l'instant T du visionnage et c'est bien l'essentiel.
Belle surprise et découverte d'un autre (nouveau?) Franck Dubosc. Chapeau Monsieur. Non seulement c'est bien filmé, inventif et touchant, mais les interprètes sont tous épatants, Lamy en tête, lumineuse et très crédible, et bien sur Dubosc, incroyablement sobre. L'humour met un certain temps à arriver mais pas l'émotion qui affleure tout du long. Il y a un mélange d'humour parfois potache qui est la patte même de l'humoriste/acteur, mais il est le bienvenue et on rit de bon coeur. Il y a en parallèle un autre humour bcp plus subtile, ce qui rend le film bien au-dessus de la moyenne de nombreuses comédies françaises de ces dernières années. C'est une jolie histoire d'amour, d'un homme qui grandit enfin. Les seconds rôles sont enfin travaillés et utiles. Darmond est juste impayable, mélange de douceurs et d'humanité avec un ton sarcastique ; Zylberstein est elle extraordinaire dans l'excès.
La Bande son apporte également une partition réjouissante. Les réparties font mouche, l'enchaînement aussi.
Le quator apporte des scènes savoureuses d'ailleurs.
C'est donc une belle réussite, pleine de charme et d'entrain. A quand le 2ème ?
La Bande son apporte également une partition réjouissante. Les réparties font mouche, l'enchaînement aussi.
Le quator apporte des scènes savoureuses d'ailleurs.
C'est donc une belle réussite, pleine de charme et d'entrain. A quand le 2ème ?
« Tout le monde debout », premier film de Franck Dubosc, est une jolie surprise. Pas forcément hilarante dans ses sketchs, cette comédie arrive cependant à nous donner une très belle leçon de vie et une histoire assez intéressante et touchante. Les acteurs sont formidables ; même si Dubosc fait du Dubosc à la Camping et autres ; la réalisation est très soignée, quelques plans sont assez magnifiques (la scène de la piscine en particulier), et l’humour, potache, fonctionne assez bien mais ne brille pas d’inventivité. C’est globalement une belle histoire, très touchante, bien réalisée, plaisante à voir. En tout cas plus plaisante à voir qu’une certaine Ch’tite Famille.
Belle surprise ! Le thème de l’handicap, déjà traité à plusieurs reprise, surprend ici par certains aspects et amène quelque chose de nouveau. Le duo Lamy - Dubosc se complète à merveille et le scénario souvent très drôle nous régale. Dubosc à la réalisation ça fonctionne, dommage cependant qu’il y’ai quelque passages creux et moins rythmé.
Pour sa première réalisation Franck Dubosc s'en tire pas mal. Une comédie romantique pleine de charme, beauoup d'humour des dialogues percutants on rit, on retourve bien la patte de Dubosc dans les dialogues et l'attitude du protagoniste. Dépourvu de cynisme le handicap traité avec légèreté sans en enlever la gravité du sujet. Alexandra Lamy quoique très belle dans le film est too muche trop parfaite beaucoup trop souriante trop "la vie est belle" elle en fait trop, mais le film nous permet de voir d'une façon loufoque un dujet douloureux. une mention spéciale à Elsa Zylberstein elle totalement géniale.!!!!!
Pour un premier long métrage, F.Dusbosc réalise un film avec une justesse surprenante sur un sujet tabou, tout en le dédramatisant avec un humour, bien loin de ses standards actuelles. Une bonne comédie romantique rafraîchissante avec en prime, un petit rebondissement.
Enfin un film rafraîchissant! Une comédie qui allie avec subtilité humour et moments touchants. Il y a bien une ou deux caricatures qui trahissent un manque de finesse, mais ça passe vite à la trappe devant l’enthousiasme général du film. On se laisse embarquer avec plaisir, et on découvre une sensibilité que l’on aurait pas soupçonné chez Franck Dubosc. La meilleure comédie française depuis « qu’est Qu’on a fait au bon Dieu? »
Dommage que ce film rigolo, sympathique et rythmé s'alourdisse progressivement dans une comédie plus sentimentale. Dubosc aurait pu rester hilarant de bout en bout en PDG séducteur qui ment tout le temps ou dans son faux rôle d'handicapé en chaise roulante. L'histoire d'amour aurait dû être minorée ou juste gardée pour la toute fin, car c'est plus une comédie romantique qu'un film comique, même si on est bluffé au début. On peut toutefois souligner le grand respect pour l'univers des handicapés physiques dont témoigne ce film.
Après deux tentatives dans le monde de la comédie légère ( très légère ) avec les "brillantismes" films de Michelle Laroque et Sophie Marceau , j'avais pratiquement renoncé à ce genre tant on ne respectait plus les spectateurs . Et bien non , j'avoue avoir passé avec le film de Franck Dubosc un bon moment . Certes on atteint pas les sommets ( pas sûr que c'était l'objectif voulu ) mais l'humour et le regard tendre du réalisateur sur les handicapés font , enfin , mouche . Alexandra Lamy est lumineuse de facilité et crédible dans un rôle , finalement , pas si cool que ça . Dubosc , entre cynisme et légèreté , est juste et , pour une fois , ne surjoue pas à l'excès . Bref , malgré une fin baclée et ultra-prévisible , on a vu une bonne comédie et surtout elle remonte le niveau affligeant des dernières daubes indigestes que certains veullent nous faire avaler et dont même certains médias trouvent formidables .
Premier film de Franck Dubosc et belle réussite. J’ai bien rigolé et c’est tout ce qu’on demande à ce film. Dommage que beaucoup de gags soient dans la BA cela dit.
Film cool à voir. L’humour que l’on retrouve dans le film c’est vraiment celui de Dubosc. Alexandra Lamy est merveilleuse dedans. Après le film est pas ouf.
Je suis parti avec énormément d'enthousiasme. Malheureusement, ce dernier n'a pas suivi. Je crains fort que ce film, aussi soigné soit-il, n'arrive que trop tard. Dubosc apparaît pour la première fois devant et derrière la caméra et accueille un grand succès auprès des critiques, ce qui n'est pas mon cas. Et tout le problème se porte sur l'écriture. Certes l'ensemble est finement emballé, mais après avoir compris que "Tout le monde debout" n'est en fait pas là pour nous faire éclater de rire, pour les spectateurs comme moi, il ne reste plus qu'à se raccrocher à la romance d'une banalité sans nom avec un tour de pirouette faiblement maîtrisé. Il n'en reste pas moins un film correct et solide, mais n'apportant rien, manquant cruellement de sel et de poivre.
Ce premier Dubosc est riche d’idées à la fois comique et societal (concernant la différence). Un bon premier film pour lui et pour nous.
Voilà un film français dont on peut être fier. De bons acteurs, un bon scénario, une morale, un plot twist réussi.
Vive l’amour sans frontières. Ça y est, c’est définitif, Dubosc est incapable de jouer un vrai salaud. On se demande toujours comment il va lâchement abandonner ses convictions de séducteur-mâle-inoffensif. Ici c’est une jolie fille uniquement handicapée des membres inférieurs qui va lui faire lâcher prise. Le macho caricatural finit par comprendre que la connerie est le pire des handicaps. Depuis Timsit le handicap s’est libéré de ses carcans et est devenu un sujet de comédie comme les autres. Passons sur quelques blagounettes un peu datées et sur l’interprétation un peu sketch de Dubosc, pour dire que quelques rires francs et beaucoup de sourires sont souvent la marque d’une bonne comédie. Le personnage Dubosc est attachant jusque dans ses mensonges véniels, et donc je suis un fidèle client de son cynisme romantique. J’ai un faible pour Alexandra Lamy, cette fille est top. Par contre j’ai été heureux de découvrir que Elsa Zylberstein pouvait secouer un peu son masque de cire de geisha. La comédie française avait bien besoin de ce film pour redevenir un peu crédible. On va pas s’emballer non plus.
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