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Ce film ne casse pas trois pattes à un canard si je puis dire... ça reste une comédie correcte avec Duboscq mais c'était pas non plus exceptionnel. 4.2/5 me parait surnoté comme moyenne, je vais mettre 3/5
Pour son premier passage derrière la caméra, Frank DUBOSC livre une comédie rythmée, pertinente et riche en humour. L'acteur/réalisateur se dote d'un bon casting pour mettre en scène cette tendre fable avec la pétillante Alexandra LAMY. Ce dernier parvient même à se réinventer en tant qu'acteur. Nous l'avons rarement vu aussi touchant dans un registre où il aborde le problème du handicap avec justesse sans blague de mauvais goût.
Malgré le sujet le film ne souffre pas trop de bons sentiments, très bien interprété, un bon moment à passer.
Mouais...un film gentillet sans surprise. Franc Dubosc ne tombe pas dans le panneau d’être drôle a tout prix ou de nous refourguer des vielles blagues de ses spectacles - c'est déjà pas mal. Pour le reste il suit la (mauvaise) manie des acteurs de vouloir réaliser un film. Bon...pourquoi pas mais...pourquoi?
J'attendais beaucoup de cette comédie qui avait l'air prometteuse,les acteurs se donnent du mal pour porter le film mais il manque trop de gags,de quiproquos concernant leur différence de situation physique (que 3 ou 4 scènes durant tout le film), or tout l'intérêt du film se nouait dans ce décalage qui n'a pas été assez exploité, on s'ennuie.
Une bonne petite comédie, sympa et agréable à regarder, reste à savoir ce qu'en penseront les principaux intéressés, nous avons encore des progrès à faire sur le handicap, à quand des acteurs en fauteuils au lieu d'acteurs valides qui jouent le handicap, à quand des acteurs en fauteuil qui joue des rôles où le handicap n'est ni le prétexte ni le sujet ? Là nous aurons réellement avancés !
C'est certain que le film a de réelles qualités.
Franck Dubosc a le mérite de pas en faire trop pour une fois.
La réalisation est d'un classissisme sans nom mais a le mérite de ne pas dérouter.
Le thème abordé ( le handicap) n'est pas si fréquent que cela au cinéma et c'est tout à l'honneur de Dubosc de faire un film sur cela.
D'autant plus que vu le sujet sensible ce n'est pas évident d'en rire sans tomber dans le mauvais goût.
Oui tout cela est très bien.
Mais à côté de cela c'est très classique très linéaire.
On se doute de la fin des le début du film et le twist final est lui aussi très convenu.
Bref malheureusement le film pêche par trop de bons sentiments et de happy end en comédie romantique.
dommage
Franck Dubosc a le mérite de pas en faire trop pour une fois.
La réalisation est d'un classissisme sans nom mais a le mérite de ne pas dérouter.
Le thème abordé ( le handicap) n'est pas si fréquent que cela au cinéma et c'est tout à l'honneur de Dubosc de faire un film sur cela.
D'autant plus que vu le sujet sensible ce n'est pas évident d'en rire sans tomber dans le mauvais goût.
Oui tout cela est très bien.
Mais à côté de cela c'est très classique très linéaire.
On se doute de la fin des le début du film et le twist final est lui aussi très convenu.
Bref malheureusement le film pêche par trop de bons sentiments et de happy end en comédie romantique.
dommage
Alain D.
Même si elle ne restera pas dans les cahiers du cinéma, cette comédie réalisée, écrite et jouée par Franck Dubosc, se révèle très distrayante. Son scénario assez original nous propose de bons dialogues, quelques gags plaisants et même des moments d'émotion. La mise en scène dynamique nous offre de jolis décors naturels.
Outre la sympathique participation de Claude Brasseur, le casting, nous permet d'apprécier de jolis seconds rôles pour Caroline Anglade (la sœur d'Alexandra Lamy) et Laurent Bateau (le frère de Franck Dubosc). Aux avants postes nous retrouvons le toujours excellent Gérard Darmon ainsi qu'une pétillante Alexandra Lamy. Dommage qu'Elsa Zylberstein, habituellement très brillante, n'ai pas bénéficié d'un rôle à la hauteur de son talent.
Outre la sympathique participation de Claude Brasseur, le casting, nous permet d'apprécier de jolis seconds rôles pour Caroline Anglade (la sœur d'Alexandra Lamy) et Laurent Bateau (le frère de Franck Dubosc). Aux avants postes nous retrouvons le toujours excellent Gérard Darmon ainsi qu'une pétillante Alexandra Lamy. Dommage qu'Elsa Zylberstein, habituellement très brillante, n'ai pas bénéficié d'un rôle à la hauteur de son talent.
Pour un premier long métrage Franck Dubosc ne se débrouille pas si mal. Il ne se réinvente pas vraiment, mais réussit à travers le personnage de Florence, à proposer une certaine sensibilité, une douceur nouvelle. Alexandra Lamy comme à la bonne habitude est rayonnante et cette fois-ci assez « bluffante », je dois avouer, car il n’y a aucun doute, aucun doute du travail qu’elle a dû accomplir pour mener à bien et de façon crédible le personnage de Florence. Le sourire de Mme Lamy aura raison de nous tous. En revanche le personnage de Jocelyn semble plus fade à côté, moins étoffé ou oserai-je dire moins travaillé. Mention spéciale également à Elsa Zylberstein qui surprend dans le rôle de Marie, un personnage vraiment très drôle. Bonne surprise.
Comédie dramatique drôle et émouvante à la fois, quelques très bonnes scènes. A voir .
Pour sa première réalisation Dubosc assure mais reste vraiment trop cliché campé dans son éternel personnage. Le film repose avant tout sur ses protagonistes féminins bien interprétés, son scénario sympathique approchant un sujet délicat qui aurait pu virer pathos et quelques bonnes scènes. Au-dessus du lot de comédies françaises lourdingues.
Dommage que ce film rigolo, sympathique et rythmé s'alourdisse progressivement dans une comédie plus sentimentale. Dubosc aurait pu rester hilarant de bout en bout en PDG séducteur qui ment tout le temps ou dans son faux rôle d'handicapé en chaise roulante. L'histoire d'amour aurait dû être minorée ou juste gardée pour la toute fin, car c'est plus une comédie romantique qu'un film comique, même si on est bluffé au début. On peut toutefois souligner le grand respect pour l'univers des handicapés physiques dont témoigne ce film.
Sachant que Franck Dubosc en était le réalisateur, je m'attendais à voir un film dans le style de "Camping" ou Dubosc, éternel séducteur fait du Dubosc. Le début s'annonçait comme tel.. Il annonce la couleur "je rencontre, j'emballe et je laisse tomber" Mais la, c'est lui qui est pris á son propre jeu.. Tout commence par un quiproquo qu'il n'a pas le courage de démentir. Il se fera prendre à son propre jeu. La machine s'emballe, plus il attend, plus il s'emmêle les pinceaux et ne peut plus reculer.
Le sujet est traité avec un humour savamment dosé, des jeux de mots savoureux sans pour autant tourner autour de l'humour grinçant ou le pathos qui, pour reprendre une expression que j'emprunte à l'un de mes éclaireurs "fait pleurer dans les chaumières" .
Les acteurs qui l'entoure font également un travail excellent.. La secrétaire amoureuse en secret de son patron qui fini par le lui avouer maladroitement, le copain proctologue, tous se prête au jeu de Jocelyn en tentant de l'aider de leur mieux, le soutenant tant dans le mensonge que dans la gestion de sa tristesse.
Jocelyn se retrouve donc pris à son propre piège, l'arroseur arrosé en quelque sorte.
Le sujet est traité avec un humour savamment dosé, des jeux de mots savoureux sans pour autant tourner autour de l'humour grinçant ou le pathos qui, pour reprendre une expression que j'emprunte à l'un de mes éclaireurs "fait pleurer dans les chaumières" .
Les acteurs qui l'entoure font également un travail excellent.. La secrétaire amoureuse en secret de son patron qui fini par le lui avouer maladroitement, le copain proctologue, tous se prête au jeu de Jocelyn en tentant de l'aider de leur mieux, le soutenant tant dans le mensonge que dans la gestion de sa tristesse.
Jocelyn se retrouve donc pris à son propre piège, l'arroseur arrosé en quelque sorte.
Film archi conventionnel mais l'association Dubosc (sympa mais répétitif dans ces gags au point d'en recycler quelques uns de ses spectacles) et Lamy (touchante et attachante) fonctionne bien. L'histoire de cet homme à la séduction mensongère et de cette femme avide de séduction justement, nous plonge dans des situations cocasses et drôles. Si le film n'évite (malheureusement) pas les absurdités d'usage (je pense aux 5 dernières minutes bâclées avec
spoiler:
l'excès de vitesse inutile et la parodie du marathon de New York
), il reste un divertissement sympathique à voir.
), il reste un divertissement sympathique à voir.
"Tout le monde debout" démarre un peu lentement, comme un diesel, mais ensuite on a une belle comédie romantique, bâtie autour du handicap physique, avec un très bon casting et des scènes assez sympathiques. Franck Dubosc aurait pu s'abstenir de quelques scènes faciles
spoiler:
(tout ce qui tourne autour de son anus)
mais l'ensemble est de belle facture. On n'atteint néanmoins pas les sommets de la comédie romantique made in UK.
mais l'ensemble est de belle facture. On n'atteint néanmoins pas les sommets de la comédie romantique made in UK.
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