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Cinéphiles 44
« Tout le monde debout » est la première réalisation du comédien Franck Dubosc. Aussi devant la caméra, il campe le rôle d’un homme d’affaire à qui tout a réussi, mais qui ment pour échapper à lui-même. Un jour il se retrouve malgré lui à séduire une jolie femme en se faisant passer pour un handicapé. Cette dernière lui présente sa sœur, elle-même handicapée, Alexandra Lamy. Il s’invente alors une double vie, assis dans un fauteuil et l’autre debout. Bien que le scénario frôle le prévisible avec ces deux êtres que tout opposent, qui vont s’aimer puis qui vont devoir faire face à la réalité, « Tout le monde debout » trouve la juste mesure entre le drame et la comédie. L’actrice est étincelante et le comédien s’offre un rôle plus humain que ceux qu’on lui colle habituellement. Bien que la succession de sketchs soit apparente, Dubosc ose se moquer du handicap pour mieux l’intégrer.
D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
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Une bonne comédie sentimentale plein de bonnes idées malgré son manque d'originalité sur la forme. Dubosc campe heureusement un personnage assez loin des "beaufs" habituels qu'il a l'habitude de jouer et il est surtout entouré par des personnages féminins très bien interprétés.
Une comédie sympathique avec quelques moments drôles et un duo Franck Dubosc / Alexandra Lamy qui fonctionne plutôt. Mais un peu de mal à rentrer et à croire à cette histoire dont la fin est à mon goût un beau raté.
Comédie originale.
Un homme aux multiples conquêtes se retrouve pris au piège de son fauteuil afin de séduire une superbe demoiselle. Seul hic, il tombe amoureux de sa soeur réellement handicapée...
Peur d'affronter la vérité, cela en devient touchant..
Cependant, la fin m'a un peu déçu, trop facile à mes yeux..
Mention spéciale à Elsa Zylberstein, très hilarante!! Elle me rappelle dans son style, l'humoriste Laura Laune. 3/5
Un homme aux multiples conquêtes se retrouve pris au piège de son fauteuil afin de séduire une superbe demoiselle. Seul hic, il tombe amoureux de sa soeur réellement handicapée...
Peur d'affronter la vérité, cela en devient touchant..
Cependant, la fin m'a un peu déçu, trop facile à mes yeux..
Mention spéciale à Elsa Zylberstein, très hilarante!! Elle me rappelle dans son style, l'humoriste Laura Laune. 3/5
Film sympa et frais qui met en avant l'amour et le handicap, pas souvent visible dans les films et les médias. On trouve un nouveau Franc Duboscq, pas lourd comme à son habitude, qui match parfaitement avec la pétillante Alexandra Lamy. Une comédie romantique que l'on peut voir en famille.
Cinememories
Ni nouveau, ni-renouveau, c’est avec un brin de redondance que l’on retrouve Franck Dubosc et son humour. Il n’y aura pas de déçu pour ceux qui se réconfortent derrière sa démarche, à la fois solitaire et décalée. Mais c’est sur deux fronts qu’il nous présente son premier long-métrage, qui vaut malgré tout un coup d’œil. Il y a de quoi s’apaiser un peu l’esprit en nous offrant un divertissement plutôt convaincant, bien que parfois brouillonne à son dénouement. Il y a donc de quelques belles surprises au rendez-vous, ce que les comédies populaires parviennent peu à générer ces dernières années dans l’hexagone.
Menteur, draguer et folklorique, c’est Jocelyn, personnage taillé sur mesure pour son interprète qui ne manque pas de renforcer le type d’acting qui le définit. C’est tout d’abord une aventure personnelle et positive qui doit le propulser sur une scène qu’il fréquente de plus en plus depuis l’époque de « Camping » et compagnie. Le quiproquo est son gagne-pain, car la maladresse qui en découle fait de ce personnage quelqu’un de compréhensible. On saisit rapidement où l’émotion veut nous emmener et c’est sur des roulettes que l’on se risquera à emprunter une voie de tromperie jusqu’à ce que la réparation vienne tout pardonner. Et c’est à ce moment qu’entre en scène le point fort de l’œuvre. Accompagnée d’une fraîcheur étincelante, Florence, campée par une délicieuse Alexandra Lamy, insuffle l’intelligence du script qui rend hommage aux femmes en général. Le handicap n’est que le support sentimental qui liera les deux protagonistes dans des échanges burlesques, à défaut d’être solidement créatifs.
Cette complicité passera sans surprise par les étapes habituelles, mais c’est ailleurs que le plaisir du divertissement sera dans les pseudo-sketchs de l’acteur vedette, si l’on s’épargne le peu de gags pesants. Le récit fait preuve d’un remarquable équilibre entre la romance et la comédie. Mary (Elsa Zylberstein), la secrétaire, en témoigne avec toute la bonté et le brin de folie qu’elle possède. C’est elle qui est porteuse du discours axé sur la différence. Elle porte un regard neutre sur les personnalités qui l’entourent, alors que tout le monde cherche profondément à manigancer un jeu de rôle, celui du héros. On le retrouve chez Dubosc et Lamy, où chacun tente de composer sa symphonie. C’est au moment où ils recoupent leur partition que le spectacle devient touchant.
En somme, « Tout Le Monde Debout » n’est pas une campagne qui insiste sur le conflit entre l’individu et son handicap, non. Il appelle à se réconcilier avec lui. Le handicap n’est pas ce qui est censé nous différencier des autres, il faut le voir autrement. Il est important de comprendre que c’est ce qui définit une personnalité, c’est indissociable de son âme, qu’importe, si elle se déplace en roulette ou pas. L’essentiel de cette comédie tourne autour de ce jeu, auquel nous jonglons constamment d’une chaise à une autre, à savoir celle de la pétillante Florence et celle de l’extravagant Jocelyn, qui partagent tout deux un sentiment commun, qui suffit amplement à justifier toutes les escapades vécues.
Menteur, draguer et folklorique, c’est Jocelyn, personnage taillé sur mesure pour son interprète qui ne manque pas de renforcer le type d’acting qui le définit. C’est tout d’abord une aventure personnelle et positive qui doit le propulser sur une scène qu’il fréquente de plus en plus depuis l’époque de « Camping » et compagnie. Le quiproquo est son gagne-pain, car la maladresse qui en découle fait de ce personnage quelqu’un de compréhensible. On saisit rapidement où l’émotion veut nous emmener et c’est sur des roulettes que l’on se risquera à emprunter une voie de tromperie jusqu’à ce que la réparation vienne tout pardonner. Et c’est à ce moment qu’entre en scène le point fort de l’œuvre. Accompagnée d’une fraîcheur étincelante, Florence, campée par une délicieuse Alexandra Lamy, insuffle l’intelligence du script qui rend hommage aux femmes en général. Le handicap n’est que le support sentimental qui liera les deux protagonistes dans des échanges burlesques, à défaut d’être solidement créatifs.
Cette complicité passera sans surprise par les étapes habituelles, mais c’est ailleurs que le plaisir du divertissement sera dans les pseudo-sketchs de l’acteur vedette, si l’on s’épargne le peu de gags pesants. Le récit fait preuve d’un remarquable équilibre entre la romance et la comédie. Mary (Elsa Zylberstein), la secrétaire, en témoigne avec toute la bonté et le brin de folie qu’elle possède. C’est elle qui est porteuse du discours axé sur la différence. Elle porte un regard neutre sur les personnalités qui l’entourent, alors que tout le monde cherche profondément à manigancer un jeu de rôle, celui du héros. On le retrouve chez Dubosc et Lamy, où chacun tente de composer sa symphonie. C’est au moment où ils recoupent leur partition que le spectacle devient touchant.
En somme, « Tout Le Monde Debout » n’est pas une campagne qui insiste sur le conflit entre l’individu et son handicap, non. Il appelle à se réconcilier avec lui. Le handicap n’est pas ce qui est censé nous différencier des autres, il faut le voir autrement. Il est important de comprendre que c’est ce qui définit une personnalité, c’est indissociable de son âme, qu’importe, si elle se déplace en roulette ou pas. L’essentiel de cette comédie tourne autour de ce jeu, auquel nous jonglons constamment d’une chaise à une autre, à savoir celle de la pétillante Florence et celle de l’extravagant Jocelyn, qui partagent tout deux un sentiment commun, qui suffit amplement à justifier toutes les escapades vécues.
Un bon petit film mais qui n’est pas à mettre dans “comédie� même si on rigole de temps en temps. Alexandra L. Joue son rôle à merveille et on trouve on Franck D. plutôt bon.
Une fin un abusée à mon goût.
Une fin un abusée à mon goût.
Le film n’est pas très moral mais relativement intéressant quant à la prise de conscience de la trahison et l’égoïsme.
F Duboscq en acteur/réalisateur est à la hauteur de l’ambition du film et A Lamy est excellente dans son rôle de femme handicapée à la recherche du bonheur.
Même si des imperfections sont notables, l’ensemble du film est agréable et parfois touchant.
F Duboscq en acteur/réalisateur est à la hauteur de l’ambition du film et A Lamy est excellente dans son rôle de femme handicapée à la recherche du bonheur.
Même si des imperfections sont notables, l’ensemble du film est agréable et parfois touchant.
Le film démarre de manière très lourde, avec une rencontre basée sur un mensonge, comme on le voit dans beaucoup de comédies. Mais c'est original et traité avec suffisamment de retenue pour qu'on prenne goût à suivre l'histoire. En ajoutant des second rôles intéressants, quelques bons gags, des dialogues assez drôles, du rythme, cela donne au final un divertissement très correct. Sans être ni génial ni parvenir à éradiquer tous les clichés des comédies actuelles mettant en scène les CSP des beaux quartiers, on évite au final une partie de la vulgarité éculée qu'on aurait pu craindre. Mention encourageante aux 2 acteurs qui réussissent à être un plus sobres que d'habitude et y gagnent en élégance.
ffred
Pour cette première réalisation de Franck Dubosc je m'attendais à un gros navet. Contre toute attente, j'ai trouvé cela sympathique, drôle et bien interprété. Ça reste classique mais ça se laisse aussi facilement regarder.
Excellente comédie avec des acteurs épatants, de Dubosc à Lamy en passant par Darmont, ça coule de rires, sourires, tout est de bienveillance et de sobriété. Presque un sans fautes, jusqu'à la fin !? Mais pourquoi ne pas aller jusqu'au bout du bout et faire une fin ridicule ! Dommage, mais c'est déjà pas mal pour un premier film.
bsalvert
une comédie portée par des acteurs efficaces autour de vrais sujets.
PLV : le résultat est plutôt sympa
PLV : le résultat est plutôt sympa
darkvash
Franck Dubosc signe ici un film drôle et touchant en traitant d'un sujet difficile.
Le film est bien interprété, bien réalisé.
Maintenant, et je sais que les gens vont me jeter des cailloux, le film ne m'a pas surpris. Certes, le film est bon et posséde les qualités que j'aie citées, mais ne surprend pas.
En prenant deux têtes d'affiche, des acteurs secondaires tout aussi connus, un sujet délicat difficilement critiquable et au final peu de risque, Franck Dubosc était quasiment assuré de succés.
Entendons nous bien, le film en lui même ne souffre pas d'erreur, simplement on sait comment il va se finir trés vite.
Cela est dommageable dans le cinéma Françcias qui se complet dans son marasme profond, sans jamais, ou presque, nous proposer autre chose que la fin Bisounours que tout le monde attend. Tout le monde? non, pas moi, il suffit de regarder autour de nous pour s'apercevoir souvent de la supercherie des sujets traités, cela ne se passe pas comme cela dans la vraie vie.
Bref, un bon film, sans surprise.
Le film est bien interprété, bien réalisé.
Maintenant, et je sais que les gens vont me jeter des cailloux, le film ne m'a pas surpris. Certes, le film est bon et posséde les qualités que j'aie citées, mais ne surprend pas.
En prenant deux têtes d'affiche, des acteurs secondaires tout aussi connus, un sujet délicat difficilement critiquable et au final peu de risque, Franck Dubosc était quasiment assuré de succés.
Entendons nous bien, le film en lui même ne souffre pas d'erreur, simplement on sait comment il va se finir trés vite.
Cela est dommageable dans le cinéma Françcias qui se complet dans son marasme profond, sans jamais, ou presque, nous proposer autre chose que la fin Bisounours que tout le monde attend. Tout le monde? non, pas moi, il suffit de regarder autour de nous pour s'apercevoir souvent de la supercherie des sujets traités, cela ne se passe pas comme cela dans la vraie vie.
Bref, un bon film, sans surprise.
Un film français de qualité. Dubosc est toujours très drôle et il sait être émouvant. Le casting est bon, une bonne surprise
Florent B.
Pour son premier film Dubosc réalise un film, drôle mais touchant, perdant pour une fois, son identité de beauf de service à se trimballer en slip. J’apprécie beaucoup Franck mais à force ça devenait lourd. Là il rajoute une touche de sincérité en parlant d’un sujet qui, parfois, reste tabou. Sans rentrer dans la vulgarité et le cliché, le film se suit avec plaisir, du moins j’ai passé un bon moment. Pour une première, c’est réussi.
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