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Hotinhere
584 abonnés
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2,5
Publiée le 4 octobre 2024
J’avais très peur mais Franck Dubosc s’en sort par mal avec cette comédie romantique très convenue et casse gueule mais attachante et marrante par moment, soutenue par un casting sympa, dont la lumineuse Alexandra Lamy. 2,75
Après avoir vu la bande annonce j'ai eu envie de regarder ce Tout Le Monde Debout - premier film en tant que réalisateur pour Franck Dubosc - qui me semblait être intéressant mais au final je me suis malheureusement trompé. L'histoire traite du handicap et je pensait que ça allait être bien écrit et subtil mais il n'en ai rien. Assez rapidement au bout de quelques minutes j'ai compris comment j'allait être mangé. L'humour est d'une lourdeur sans nom! Comme d'habitude Dubosc nous fait du Dubosc et ne sait rien faire d'autre et moi ça me fatigue mais d'une force. Son personnage est antipathique, énervant et ultra cliché. D'ailleurs tous les personnages ou presque sont ainsi à savoir insupportable. Mention spécial à Marie la secrétaire qui est totalement inutile et dont le personnage est irritant. Que sont venu faire Elsa Zylberstein et Gerard Darmon ici? Leurs personnages sont ratés et Alexandra Lamy s'en sort à peine mieux tant son personnage est creux. Seule Caroline Anglade s'en sort bien part sa fraîcheur et sa beauté. De toute façon rien ne surprend. Ah si, une scène m'as marqué car je ne m'y attendais pas c'est le moment du repas dans la piscine. Ils ont tenté quelque chose pour ce passage et c'est réussi pour le coup. Mais tout le reste du film on à le droit à des scènes, banal voir mauvaises. Il y en a au moins quatre ou cinq ou c'est ultra gênant. Alors d'accord c'est volontaire mais ça met vraiment mal à l'aise devant l'écran. Pour le reste les dialogues sont souvent affligeant, ce n'est pas drôle, la réalisation est insipide tout comme la b.o. mise à part la chanson de la maman italienne qui sort du lot. Mais globalement Tout Le Monde Debout est très long, beaucoup trop long. Je me suis ennuyé et je n'ai pas rit devant cette comédie qui passe à côté de son sujet à cause des clichés qui sont d'une lourdeur sans nom. Une énième comédie française raté que je ne peut que vous déconseiller de regarder.
Sévère tant j’aime Alexandra Lamy qui est, une nouvelle fois, parfaite dans ce film. Ce que je déplore, c’est le scénario qui est déjà vu et revu. La morale est vraiment significative et importe, cependant tout le monde savait la manière dont le film allait se finir. Il n’y a pas de surprise malheureusement.
"Mouais bof" : voilà ce que m'inspire ce film. Un scénario assez bien construit. Cependant, des passages ainsi que le dénouement sont beaucoup trop prévisibles : spoiler: le fait qu'A. Lamy sache que F. Dubosc n'est pas handicapé depuis le début ainsi que la ''happy-end'' . Les personnages sont cependant assez attachants et ont quasi tous leur rôle, hormis quelques uns : spoiler: comme les handicapés après le match de tennis qui permettent de balancer tous les clichés sur le handicap d'un coup, ou encore le camionneur qui ramène F. Dubosc qui ne sert à rien . Un film qui ne mérite pas d'être vu au cinéma.
Une comédie de Dubosc sur un sujet sérieux. Bide ou succès ? Ce ne sera ni l'un ni l'autre. Malgré une prestation de qualité des différents acteurs (surtout les femmes), le film n'est pas très drôle et le scénario beaucoup trop tiré par les cheveux. Le film est clairement scindé en deux avec une première partie axée sur la comédie et la seconde sur la romance. On rit un peu tout de même et on regarde le film sans déplaisir mais tout cela reste quand même trop moyen pour marquer durablement les esprits.
Un film avec Franck Dubosc, réalisé par Franck Dubosc sur une idée originale de Franck Dubosc, sur le papier, c’est un assez bon avant-goût de l’enfer. Lorsqu’en plus, on découvre qu’il s’agit d’une comédie romantique qui tourne autour du handicap, on est encore plus terrifié ! Dubosc y renoue d’ailleurs avec son archétype favori, celui de l’insupportable playboy sûr de son fait qu’un concours de circonstances va faire passer pour un tétraplégique...et qui va en profiter pour tenter de séduire une autre tétraplégique. On se trompe, pourtant : sur le fond, ‘Tout le monde debout’ suit la voie balisée de la rom’com générique et ne ménage aucune surprise particulière. Si l’humour est un peu lourd et au final médiocrement efficace, le film parvient cependant à parler du handicap sans sombrer dans la commisération. Si l’ensemble n’est guère original, elles ne sont pourtant pas si nombreuses, les comédies qui parviennent à atteindre l’équilibre et à traiter d’un sujet délicat sans succomber à la gaudriole gratuite ni redouter de froisser les susceptibilités : dans tous les cas, on ne croyait sûrement pas Dubosc capable d’en proposer une ! C’est une évidence qu’on oublie parfois mais l’homme vaut apparemment mieux que ses personnages et ses choix de carrière ne le laisseraient supposer. Et c’est heureux.
Pour sa première mise en scène, Franck Dubosc ne sort guère du créneau qui est le sien depuis ses débuts dans le one man show dans les années 1990. Celui du dragueur lourdingue, persuadé de son irrésistible séduction qui finit par lasser tout son monde avant de montrer ses fêlures pour remporter définitivement l'affaire. Le personnage étant toujours le même, il faut lui trouver un contexte différent pour continuer d'amuser le spectateur. Ici, PDG d'une marque de vêtements sportifs (parce qu'il le vaut bien !), il se donne le challenge d'être à chaque fois un autre pour assouvir sa soif de séduction auprès de tout ce qui porte un jupon. Ce petit jeu parfois limite, l'amène à séduire par mégarde une jeune femme handicapée qui le croit comme elle condamné au fauteuil roulant. Pourquoi pas ? Le problème étant comme presque à chaque fois dans le cinéma comique français de s'imaginer qu'il faut multiplier les gags pour faire mouche, quitte à mener les acteurs jusqu'à la caricature. A ce jeu-là, Franck Dubosc n'est pas le dernier, jamais avare d'en faire des tonnes. Heureusement, Gérard Darmon, Alexandra Lamy et Claudine Anglade sobres à sa place permettent à cette première réalisation de ne pas sombrer dans le ridicule où son auteur risquait de la précipiter. N'est pas Jerry Lewis qui veut ! Tout ceci n'est pas très grave, plus de deux millions de spectateurs ayant adhéré au concept. Il est vrai que depuis que "Les Tuches" sévissent sur nos écrans, une comédie comme "Tout le monde debout" peut passer pour un modèle de nuances et de sobriété.
Un énième film traitement de ce sujet ... le yeux des deux acteurs est correct mais le film manque de saveur et on sait ce qui va arriver à chaque fois, il n’y a pas de surprises ou de rebondissements !! Sentiments mitigés ...
Une comédie romantique de et avec Franck Dubosc et l'une des spécialistes du genre, Alexandra Lamy. Partant d'un malentendu, un dragueur invétéré se fait passer pour un handicapé en fauteuil pour s'attirer les faveurs d'une jeune femme, il rencontre la sœur de celle-ci, qui est réellement en fauteuil et peu à peu il en tombe amoureux tout en s'enfonçant dans son mensonge. Oui...mais non ! J'ai bien senti les bonnes intentions, l'empathie avec les gens en fauteuil, l'attachement à rire de son sujet sans se moquer... Cependant, on ne sort d'aucun cliché inhérent au genre du film, mis à part quelques sourires, tout est téléphoné et déjà vu bon nombre de fois, pourtant l'interprétation est plutôt juste (mention spéciale à E. Zylberstein)... Dommage !
Cette comédie romantique assez légère, mélange humour et émotion, à la Dubosc. Pas déplaisant même si le film pêche par moment (entre des scènes un peu tirés par les cheveux, un humour pas toujours réussi, et une histoire d'amour un peu rapide). On sent quand même beaucoup de sobriété chez Dubosc, qui a l'air d'y croire à mort, du coup, on éprouve un peu de compassion devant son 1er film. Son personnage est par contre assez antipathique au final (un menteur pas forcément attachant qui n'avouera jamais son mensonge au final....). Alexandra Lamy est plutôt rayonnante et crédible dans son rôle d'handicapé.
Rien de bien mémorable... Cette nouvelle pseudo-comédie de Franck Dubosc se voudrait-elle plus touchante ou plus drôle ? Une chose est sûre, on n'a ni l'un ni l'autre au final selon moi. Les acteurs ne sont pas mauvais en soi, on retrouve même une Alexandra Lamy sincère dans son jeu, mais l'histoire me laisse perplexe et je n'y trouve rien d'exceptionnel. Je m'attendais à rire davantage et certains passages supposés comiques tombent bien souvent à plat. C'est une petite déception.
Dubosc nous gratifie d'un long sketch limite franchouillard et à l'humour parfois vraiment lourdingue (première moitié du film). Et il peine à nous proposer une fin qui fait sens avec le terrain miné de l'imposture et de la trahison sur lequel il nous a baladés auparavant. Attention Signore Dubosc ! Votre humour semble en voie de se faner ...