Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
25 critiques presse
Bande à part
par Anne-Claire Cieutat
Un film à couper le souffle.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Ecran Large
par Simon Riaux
Impeccablement nuancé, cinématographiquement accompli, interprété avec une précision psychologique qui impressionne souvent, "La Belle et la Meute" est une des créations les plus fortes et abouties, d’un genre qui ne nous avait pas durablement imprimé la rétine depuis le surpuissant "Mustang".
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Sociétal et politique, "La Belle et la meute" peut également se voir comme un véritable thriller dont on ressort passablement chamboulé. Maîtrisé et percutant.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Express
par Christophe Carrière
Au-delà du message, il y a le film. Du grand cinéma, fait d'impressionnants plans-séquences qui happent l'attention et augmentent la tension, avec une image soigneusement éclairée et en format CinémaScope.
Le Figaro
par Nathalie Simon
Thriller militant autour du viol en Tunisie, La Belle et la Meute abandonne l'héroïne à son sort. Coup de poing garanti.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
La cinéaste Kaouther Ben Hania met en scène, avec une radicalité jamais démonstrative, un combat digne de David contre Goliath contre les institutions toujours corrompues malgré la révolution de Jasmin de 2011, et même la société tunisienne dans son ensemble.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par Renaud Baronian
Un film étonnant, remarquablement interprété par la jeune comédienne Mariam Al Ferjani, et mené comme un thriller par la réalisatrice tunisienne Kaouther Ben Hania.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Aude Jouanne
Après l'excellent “Challat de Tunis”, Kaouther Ben Hania troque l'ironie mordante pour le drame dans ce nouveau pamphlet féministe sur la Tunisie post-révolution.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Anne Diatkine
(...) on reste estomaqué par la maîtrise de la cinéaste, formée à la section scénario de la Femis, et l’émotion qui se dégage du film, notamment grâce aux acteurs, en premier lieu Mariam Al Ferjani mais aussi Ghanem Zrelli.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Rolling Stone
par Jessica Saval
Bouleversante tranche d'une vie brisée, "La Belle et la Meute" est une œuvre rare, nécessaire.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Studio Ciné Live
par Antoine Le Fur
"La Belle et la meute" est un film engagé. La jeune Mariam Al Ferjani, de tous les plans, est une comédienne dont on devrait entendre parler. Tout comme Kaouther Ben Hania, réalisatrice d'un film choc, et surtout essentiel.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Cette façon de se reconstruire sous l’œil de la caméra et de ses propres bourreaux donne au récit sa dimension universelle. « La belle et la meute » où comment une jeune fille perd son innocence et fait l’apprentissage du réel.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télérama
par Guillemette Odicino
Thriller surprenant, La Belle et la Meute est, avant tout, la chronique de la naissance d’une conscience politique.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par Lola Sciamma
Ce thriller féministe post-Printemps arabe, tiré d'une histoire vraie, est une claque.
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
S’il reste cruel et âpre, ce film n’en demeure pas moins un bel espoir pour la jeune république tunisienne, car il est bien évident qu’il n’aurait pu exister avant 2011.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Culturopoing.com
par Carine Trenteun
Certes l’empathie vis-à-vis de l’héroïne et le processus d’identification ne disparaissent jamais, mais brusquement, l’emprise du cliché fait décrocher le spectateur dans ce passage de l’authenticité au procédé maladroit. Là où dans "Victoria", Sebastian Schipper réussissait si bien à ce que son dispositif serve le propos avec la gageure d’un unique plan-séquence, Kaouther Ben Hania échoue à le tenir sur toute la longueur.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Le côté kafkaïen et anxiogène de cette tragédie, hélas banale dans une Tunisie patriarcale et corrompue, est bien rendu, mais sans atténuer l'impression d'un naturalisme parfois un peu factice.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par Pamela Pianezza
En ne lâchant pas d’une semelle son héroïne et sans jamais montrer la scène de viol, la réalisatrice fait ressentir au spectateur, jusque dans ses tripes, les différents états d’âme de Mariam.
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Ce plaidoyer se caractérise notamment par de beaux partis pris elliptiques, celui de ne rien montrer de l’acte traumatisant et de se concentrer sur ses effets, tout aussi dérangeants.
Première
par Damien Leblanc
Inspiré d’une histoire vraie, ce coup de force cinématographique en devient autant glaçant que porteur d’espoir.
La critique complète est disponible sur le site Première
Transfuge
par Frédéric Mercier
Très impressionnant, très maîtrisé, le film n'échappe pas parfois au didactisme.
Critikat.com
par Jérôme Provençal
Haletant et percutant, le film, inspiré de faits réels, s’alourdit progressivement d’une volonté démonstrative que la mise en scène, souvent un peu trop appuyée, rend encore plus rébarbative.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Une dénonciation des tares d’une société tunisienne où la femme reste soumise au pouvoir masculin le plus brutal, mais dont la force se perd dans une réalisation trop lourdement démonstrative.
Le Monde
par Mathieu Macheret
Une situation aberrante, qui met en lumière l’archaïsme des institutions et un déni plus général de l’opinion publique. Le film retrace librement les événements et la longue lutte de Mariam contre l’administration hospitalière et policière.
Positif
par Eithne O'Neill
Par une brève séquence d’échanges entre copines, le prologue éveille l’intérêt du spectateur. Mais la maladresse de la suite déçoit, tant et si bien qu’on en sort convaincu qu’aucune cause ne saurait être vraiment servie par un cinéma pauvre.
Bande à part
Un film à couper le souffle.
Ecran Large
Impeccablement nuancé, cinématographiquement accompli, interprété avec une précision psychologique qui impressionne souvent, "La Belle et la Meute" est une des créations les plus fortes et abouties, d’un genre qui ne nous avait pas durablement imprimé la rétine depuis le surpuissant "Mustang".
Franceinfo Culture
Sociétal et politique, "La Belle et la meute" peut également se voir comme un véritable thriller dont on ressort passablement chamboulé. Maîtrisé et percutant.
L'Express
Au-delà du message, il y a le film. Du grand cinéma, fait d'impressionnants plans-séquences qui happent l'attention et augmentent la tension, avec une image soigneusement éclairée et en format CinémaScope.
Le Figaro
Thriller militant autour du viol en Tunisie, La Belle et la Meute abandonne l'héroïne à son sort. Coup de poing garanti.
Le Journal du Dimanche
La cinéaste Kaouther Ben Hania met en scène, avec une radicalité jamais démonstrative, un combat digne de David contre Goliath contre les institutions toujours corrompues malgré la révolution de Jasmin de 2011, et même la société tunisienne dans son ensemble.
Le Parisien
Un film étonnant, remarquablement interprété par la jeune comédienne Mariam Al Ferjani, et mené comme un thriller par la réalisatrice tunisienne Kaouther Ben Hania.
Les Fiches du Cinéma
Après l'excellent “Challat de Tunis”, Kaouther Ben Hania troque l'ironie mordante pour le drame dans ce nouveau pamphlet féministe sur la Tunisie post-révolution.
Libération
(...) on reste estomaqué par la maîtrise de la cinéaste, formée à la section scénario de la Femis, et l’émotion qui se dégage du film, notamment grâce aux acteurs, en premier lieu Mariam Al Ferjani mais aussi Ghanem Zrelli.
Rolling Stone
Bouleversante tranche d'une vie brisée, "La Belle et la Meute" est une œuvre rare, nécessaire.
Studio Ciné Live
"La Belle et la meute" est un film engagé. La jeune Mariam Al Ferjani, de tous les plans, est une comédienne dont on devrait entendre parler. Tout comme Kaouther Ben Hania, réalisatrice d'un film choc, et surtout essentiel.
Sud Ouest
Cette façon de se reconstruire sous l’œil de la caméra et de ses propres bourreaux donne au récit sa dimension universelle. « La belle et la meute » où comment une jeune fille perd son innocence et fait l’apprentissage du réel.
Télérama
Thriller surprenant, La Belle et la Meute est, avant tout, la chronique de la naissance d’une conscience politique.
Voici
Ce thriller féministe post-Printemps arabe, tiré d'une histoire vraie, est une claque.
aVoir-aLire.com
S’il reste cruel et âpre, ce film n’en demeure pas moins un bel espoir pour la jeune république tunisienne, car il est bien évident qu’il n’aurait pu exister avant 2011.
Culturopoing.com
Certes l’empathie vis-à-vis de l’héroïne et le processus d’identification ne disparaissent jamais, mais brusquement, l’emprise du cliché fait décrocher le spectateur dans ce passage de l’authenticité au procédé maladroit. Là où dans "Victoria", Sebastian Schipper réussissait si bien à ce que son dispositif serve le propos avec la gageure d’un unique plan-séquence, Kaouther Ben Hania échoue à le tenir sur toute la longueur.
L'Obs
Le côté kafkaïen et anxiogène de cette tragédie, hélas banale dans une Tunisie patriarcale et corrompue, est bien rendu, mais sans atténuer l'impression d'un naturalisme parfois un peu factice.
La Septième Obsession
En ne lâchant pas d’une semelle son héroïne et sans jamais montrer la scène de viol, la réalisatrice fait ressentir au spectateur, jusque dans ses tripes, les différents états d’âme de Mariam.
La Voix du Nord
Ce plaidoyer se caractérise notamment par de beaux partis pris elliptiques, celui de ne rien montrer de l’acte traumatisant et de se concentrer sur ses effets, tout aussi dérangeants.
Première
Inspiré d’une histoire vraie, ce coup de force cinématographique en devient autant glaçant que porteur d’espoir.
Transfuge
Très impressionnant, très maîtrisé, le film n'échappe pas parfois au didactisme.
Critikat.com
Haletant et percutant, le film, inspiré de faits réels, s’alourdit progressivement d’une volonté démonstrative que la mise en scène, souvent un peu trop appuyée, rend encore plus rébarbative.
Le Dauphiné Libéré
Une dénonciation des tares d’une société tunisienne où la femme reste soumise au pouvoir masculin le plus brutal, mais dont la force se perd dans une réalisation trop lourdement démonstrative.
Le Monde
Une situation aberrante, qui met en lumière l’archaïsme des institutions et un déni plus général de l’opinion publique. Le film retrace librement les événements et la longue lutte de Mariam contre l’administration hospitalière et policière.
Positif
Par une brève séquence d’échanges entre copines, le prologue éveille l’intérêt du spectateur. Mais la maladresse de la suite déçoit, tant et si bien qu’on en sort convaincu qu’aucune cause ne saurait être vraiment servie par un cinéma pauvre.