Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
23 critiques presse
Bande à part
par Olivier Pélisson
Le renouveau du cinéma algérien est là. Le premier long-métrage de Karim Moussaoui éblouit par sa virtuosité narrative, sa richesse d’âme et sa beauté aride. Il offre un instantané saisissant d’une nation au terreau meurtri et aux rêves en attente.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Libération
par Didier Péron
Une première œuvre d’une rare maîtrise.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Eric Derobert
La structure du film s'avère en effet composer un virtuose Marabout-Bout de ficelle, récit ad libitum qui laissera entrevoir un prolongement virtuel inquiétant.
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
Moussaoui n’attend pas : il avance par-delà le désenchantement lucide de son écriture et nous promet de beaux lendemains.
L'Humanité
par Dominique Widemann
Un premier long métrage à voies nouvelles.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Septième Obsession
par Pamela Pianezza
Karim Moussaoui dresse un portrait fin et patient de l’Algérie contemporaine à travers le cheminement personnel et tout aussi tortueux de ses personnages.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Trois histoires, qui s’enchaînent. Et qui offrent une radiographie révélatrice de l’Algérie d’aujourd’hui, pas propre, pas nette, pas débarrassée de ce qui l’empoussière, et où l’on attend toujours le retour des hirondelles qui ont fait le printemps arabe.
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Sur un fil narratif aussi frêle que captivant, au gré d'images de toute beauté, il nous embarque dans une méditation poétique, avisée en forme d'état des lieux d'un pays de tous les possibles (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Karim Moussaoui signe un film à la fois sensuel et rageur, où l’histoire pèse sur les consciences.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Renaud Baronian
Si le premier récit n'a rien d'exceptionnel, les deux histoires qui suivent forcent l'admiration, et l'ensemble tient de la révélation.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Michel Berjon
Portraits d’Algériens d’aujourd’hui, à travers trois histoires riches en situations variées et mettant en scène des personnages souffrants de blessures liées à leurs frustrations et à leurs lâchetés quotidiennes. Une œuvre maîtrisée et subtile.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Une alternance de figures imposées et de figures libres, de situations familières et d'échappées belles.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Un film étonnant.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Trois suspenses qui nous plongent dans la société arabe contemporaine, pleine de contradictions, de petites lâchetés et de grandes passions. Très beau film.
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Les mouvements de caméra alliés à la musique et à la fluidité des corps nous immergent dans une atmosphère d’émotion et de réflexion.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Jérôme Provençal
En attendant les hirondelles parvient tout de même à sortir du cadre un peu restrictif de son scénario et à se déployer en affirmant une belle aptitude à prendre la tangente – au sens propre comme au sens figuré.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par Miriem Méghaïzerou
Le film échappe à toute volonté démonstrative en misant sur les silences et le jeu feutré, intimiste et pudique des acteurs. Il suggère plus qu'il ne dit le poids du passé, duquel les envolées musicales et les paysages époustouflants délivrent.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Express
par Antoine Le Fur
Il y a des problèmes de rythme et une inégalité entre les différentes histoires. Malgré ses longueurs, le film recèle des moments de grâce (...).
L'Obs
par Nicolas Schaller
Après "les Jours d'avant", l'épatant moyen-métrage qui l'a révélé, Karim Moussaoui poursuit l'auscultation de son pays avec élégance et sensibilité, moins l'étincelle.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par La Rédaction
À travers ces trois histoires, qui font déambuler dans des milieux sociaux et des paysages différents, le réalisateur ausculte l'Algérie d'aujourd'hui. Mais s'il fait bien vivre ses personnages, avec des interprètes convaincants, leurs histoires interrompues forment un constat parfois trop allusif pour qui n'est pas au fait du contexte politique et social.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Première
par Frédéric Foubert
En résulte une tension et une intensité constantes, même dans les moments les plus anodins – une scène de danse, une voiture qui avance dans la nuit. Moussaoui est un cinéaste à suivre.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Sophie Benamon
Ce premier film de l'Algérien Karim Moussaoui est audacieux dans son propos, mais inégal dans sa narration.
Télérama
par Pierre Murat
Cette dernière partie l’emporte, de loin, sur les autres par sa force et son intensité. Le reste manque, par moments, de flamme et de fluidité.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Bande à part
Le renouveau du cinéma algérien est là. Le premier long-métrage de Karim Moussaoui éblouit par sa virtuosité narrative, sa richesse d’âme et sa beauté aride. Il offre un instantané saisissant d’une nation au terreau meurtri et aux rêves en attente.
Libération
Une première œuvre d’une rare maîtrise.
Positif
La structure du film s'avère en effet composer un virtuose Marabout-Bout de ficelle, récit ad libitum qui laissera entrevoir un prolongement virtuel inquiétant.
Cahiers du Cinéma
Moussaoui n’attend pas : il avance par-delà le désenchantement lucide de son écriture et nous promet de beaux lendemains.
L'Humanité
Un premier long métrage à voies nouvelles.
La Septième Obsession
Karim Moussaoui dresse un portrait fin et patient de l’Algérie contemporaine à travers le cheminement personnel et tout aussi tortueux de ses personnages.
Le Dauphiné Libéré
Trois histoires, qui s’enchaînent. Et qui offrent une radiographie révélatrice de l’Algérie d’aujourd’hui, pas propre, pas nette, pas débarrassée de ce qui l’empoussière, et où l’on attend toujours le retour des hirondelles qui ont fait le printemps arabe.
Le Journal du Dimanche
Sur un fil narratif aussi frêle que captivant, au gré d'images de toute beauté, il nous embarque dans une méditation poétique, avisée en forme d'état des lieux d'un pays de tous les possibles (...).
Le Monde
Karim Moussaoui signe un film à la fois sensuel et rageur, où l’histoire pèse sur les consciences.
Le Parisien
Si le premier récit n'a rien d'exceptionnel, les deux histoires qui suivent forcent l'admiration, et l'ensemble tient de la révélation.
Les Fiches du Cinéma
Portraits d’Algériens d’aujourd’hui, à travers trois histoires riches en situations variées et mettant en scène des personnages souffrants de blessures liées à leurs frustrations et à leurs lâchetés quotidiennes. Une œuvre maîtrisée et subtile.
Les Inrockuptibles
Une alternance de figures imposées et de figures libres, de situations familières et d'échappées belles.
Ouest France
Un film étonnant.
Sud Ouest
Trois suspenses qui nous plongent dans la société arabe contemporaine, pleine de contradictions, de petites lâchetés et de grandes passions. Très beau film.
aVoir-aLire.com
Les mouvements de caméra alliés à la musique et à la fluidité des corps nous immergent dans une atmosphère d’émotion et de réflexion.
Critikat.com
En attendant les hirondelles parvient tout de même à sortir du cadre un peu restrictif de son scénario et à se déployer en affirmant une belle aptitude à prendre la tangente – au sens propre comme au sens figuré.
Culturopoing.com
Le film échappe à toute volonté démonstrative en misant sur les silences et le jeu feutré, intimiste et pudique des acteurs. Il suggère plus qu'il ne dit le poids du passé, duquel les envolées musicales et les paysages époustouflants délivrent.
L'Express
Il y a des problèmes de rythme et une inégalité entre les différentes histoires. Malgré ses longueurs, le film recèle des moments de grâce (...).
L'Obs
Après "les Jours d'avant", l'épatant moyen-métrage qui l'a révélé, Karim Moussaoui poursuit l'auscultation de son pays avec élégance et sensibilité, moins l'étincelle.
Le Figaro
À travers ces trois histoires, qui font déambuler dans des milieux sociaux et des paysages différents, le réalisateur ausculte l'Algérie d'aujourd'hui. Mais s'il fait bien vivre ses personnages, avec des interprètes convaincants, leurs histoires interrompues forment un constat parfois trop allusif pour qui n'est pas au fait du contexte politique et social.
Première
En résulte une tension et une intensité constantes, même dans les moments les plus anodins – une scène de danse, une voiture qui avance dans la nuit. Moussaoui est un cinéaste à suivre.
Studio Ciné Live
Ce premier film de l'Algérien Karim Moussaoui est audacieux dans son propos, mais inégal dans sa narration.
Télérama
Cette dernière partie l’emporte, de loin, sur les autres par sa force et son intensité. Le reste manque, par moments, de flamme et de fluidité.