Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Avec des films de cette tenue, le cinéma, lui, se porte comme un charme !
Le Journal du Dimanche
par B.T.
Mieux qu’un long pamphlet politique, ces tranches de vie sans fioritures, cruelles, cyniques, parfois brutales, en disent long sur une population qui ne trouve pas la route de l’espoir.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Libération
par Jérémy Piette
La cadence furieuse du récit, son habileté à passer le relais de passager en passager, à livrer généreusement des émotions disparates, permet de tenir debout sous les coups.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Yannick Lemarié
Au-delà des choix formels parfaitement maîtrisés (...), il convient de saluer la justesse des comédiens (...). On insistera également sur la qualité d'un scénario qui mêle les moments de violence et les élans de solidarité sans jamais perdre de vue son fil conducteur.
Télérama
par Pierre Murat
Malgré quelques outrances (la femme vengeresse), le film reflète brillamment une société sans foi ni loi, dont les membres se demandent, éperdus, quand a débuté l’indifférence qui, aujourd’hui, les submerge.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Express
par Eric Libiot
"Taxi Sofia" n'est pas toujours passionnant -principe du récit éclaté - mais la sincérité du propos convainc.
Le Figaro
par La Rédaction
Edifiant mais un peu répétitif.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Studio Ciné Live
par Véronique Trouillet
Si le réalisme sans concession est présent à chaque instant, l'empathie et l'intérêt varient selon les protagonistes et leurs récits - construits en plans séquences avec une caméra trop remuante (...).
Transfuge
par Nathalie Dassa
Si certaines histoires s'avèrent plus crédibles que d'autres, la mise en scène de Komandarev dans l'espace exigu des véhicules, le réalisme qu'il insuffle à travers sa caméra portée, les plans-séquences successifs et le Sofia nocturne quasi désert dépeignent les tourments et les désillusions d'une Europe de l'Est.
Critikat.com
par Benoît Smith
Prisonnier de son souci de réalisme au détriment d'une pensée de son propre point de vue, le cinéaste fait de sa peinture sociale le terrain d'exercice d'une série de piètres tours de force.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Venu du documentaire, le cinéaste filme avec une indéniable force cette ronde du désespoir. Dommage que son scénario démonstratif ramène ses protagonistes et le spectateur dans l'impasse d'une vision nihiliste un peu forcée.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Une série de séquences qui se croisent et se répondent, pour tracer le portrait d’une ville et d’un pays exsangue, rongés par la corruption, la prostitution, la misère sociale et morale : la couleur est sombre, et la nuit est noire, un peu trop même, jusqu’à friser le trop plein.
Le Monde
par Isabelle Regnier
Plus on s’enfonce dans la nuit, moins les situations sont réductibles à un principe de démonstration, plus elles surprennent et finissent par émouvoir. A partir d’un dispositif si minimaliste, ce n’est pas là le moindre des exploits.
La Voix du Nord
Avec des films de cette tenue, le cinéma, lui, se porte comme un charme !
Le Journal du Dimanche
Mieux qu’un long pamphlet politique, ces tranches de vie sans fioritures, cruelles, cyniques, parfois brutales, en disent long sur une population qui ne trouve pas la route de l’espoir.
Libération
La cadence furieuse du récit, son habileté à passer le relais de passager en passager, à livrer généreusement des émotions disparates, permet de tenir debout sous les coups.
Positif
Au-delà des choix formels parfaitement maîtrisés (...), il convient de saluer la justesse des comédiens (...). On insistera également sur la qualité d'un scénario qui mêle les moments de violence et les élans de solidarité sans jamais perdre de vue son fil conducteur.
Télérama
Malgré quelques outrances (la femme vengeresse), le film reflète brillamment une société sans foi ni loi, dont les membres se demandent, éperdus, quand a débuté l’indifférence qui, aujourd’hui, les submerge.
L'Express
"Taxi Sofia" n'est pas toujours passionnant -principe du récit éclaté - mais la sincérité du propos convainc.
Le Figaro
Edifiant mais un peu répétitif.
Studio Ciné Live
Si le réalisme sans concession est présent à chaque instant, l'empathie et l'intérêt varient selon les protagonistes et leurs récits - construits en plans séquences avec une caméra trop remuante (...).
Transfuge
Si certaines histoires s'avèrent plus crédibles que d'autres, la mise en scène de Komandarev dans l'espace exigu des véhicules, le réalisme qu'il insuffle à travers sa caméra portée, les plans-séquences successifs et le Sofia nocturne quasi désert dépeignent les tourments et les désillusions d'une Europe de l'Est.
Critikat.com
Prisonnier de son souci de réalisme au détriment d'une pensée de son propre point de vue, le cinéaste fait de sa peinture sociale le terrain d'exercice d'une série de piètres tours de force.
L'Obs
Venu du documentaire, le cinéaste filme avec une indéniable force cette ronde du désespoir. Dommage que son scénario démonstratif ramène ses protagonistes et le spectateur dans l'impasse d'une vision nihiliste un peu forcée.
Le Dauphiné Libéré
Une série de séquences qui se croisent et se répondent, pour tracer le portrait d’une ville et d’un pays exsangue, rongés par la corruption, la prostitution, la misère sociale et morale : la couleur est sombre, et la nuit est noire, un peu trop même, jusqu’à friser le trop plein.
Le Monde
Plus on s’enfonce dans la nuit, moins les situations sont réductibles à un principe de démonstration, plus elles surprennent et finissent par émouvoir. A partir d’un dispositif si minimaliste, ce n’est pas là le moindre des exploits.