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    Fortunata
    Note moyenne
    2,9
    17 titres de presse
    • L'Express
    • Ouest France
    • Studio Ciné Live
    • Télérama
    • Voici
    • aVoir-aLire.com
    • L'Humanité
    • Le Journal du Dimanche
    • Les Inrockuptibles
    • Première
    • Transfuge
    • L'Obs
    • Le Dauphiné Libéré
    • Le Monde
    • Le Parisien
    • Positif
    • Les Fiches du Cinéma

    Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

    17 critiques presse

    L'Express

    par Antoine Le Fur

    A la fois lumineux, énergique et très émouvant, "Fortunata" est sans aucun doute l'un des meilleurs films italiens de ces dernières années.

    Ouest France

    par Fred Guiziou

    Un noir et blanc sublime.

    Studio Ciné Live

    par Antoine Le Fur

    Avec ses personnages hauts en couleur et son regard acéré sur la société italienne contemporaine, Sergio Castellitto réalise un beau film rappelant les grandes heures du cinéma transalpin.

    Télérama

    par Guillemette Odicino

    Le comédien Sergio Castellitto, ­passé depuis des années à la réalisation, réussit son plus beau film : un ­mélo solaire qui oscille entre comédie et drame à l’italienne avec des motifs de tragédie antique (Hanna Schygulla en vieille actrice divaguant).

    La critique complète est disponible sur le site Télérama

    Voici

    par La Rédaction

    L'acteur Stefano Accorsi signe un mélodrame aux références assumées au patrimoine du cinéma italien, que magnifie le talent de son actrice.

    aVoir-aLire.com

    par Pierre Vedral

    Devant la caméra de Sergio Castellitto, l’actrice Jasmine Trinca crève l’écran en mère célibataire maltraitée par la vie.

    La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com

    L'Humanité

    par Vincent Ostria

    Pas de dérapage réel dans cette œuvre au filmage, aux couleurs, aux décors et aux costumes voyants. Cette stylisation soignée est la limite de ce joli petit produit à peine impertinent.

    La critique complète est disponible sur le site L'Humanité

    Le Journal du Dimanche

    par Alexis Campion

    Porté par son héroïne, fière descendante de Sophia Loren et d’Anna Magnani, ce mélodrame sur l’émancipation d’une femme accroche par la diversité de ses personnages gentiment fêlés bien qu’un peu clichés.

    Les Inrockuptibles

    par Bruno Deruisseau

    Outre d’intéressants motifs (l’omniprésence de la diaspora chinoise, la référence à Antigone via le personnage interprété par Hanna Schygulla, ex-muse de Fassbinder), le film vaut surtout pour l’interprétation de Jasmine Trinca, justement récompensée à Cannes l’an dernier. A contre-emploi des rôles que lui avaient offerts Nanni Moretti ("La Chambre du fils") et Bertrand Bonello ("L’Apollonide"), elle confère à son personnage de cagole une dignité, une profondeur et une aura assez bluffantes.

    La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles

    Première

    par Michaël Patin

    Volcanique mais tout en nuances, Jasmine Trinca donne âme et épaisseur à Fortunata et permet aux autres personnages d’exister. C’est elle la vraie chance de ce film, l’ancre qui l’empêche de sombrer dans le pompiérisme, la gardienne de sa fantaisie et de sa mélancolie.

    La critique complète est disponible sur le site Première

    Transfuge

    par Nathalie Dassa

    Toute la force du film émane de la performance de la superbe Jasmine Trinca (...).

    L'Obs

    par Xavier Leherpeur

    Un néoréalisme asphyxié par un trop-plein de fiction démonstrative où, au lieu de scruter une réalité économique et sociale, l’acteur-metteur en scène la reconstitue avec outrance.

    La critique complète est disponible sur le site L'Obs

    Le Dauphiné Libéré

    par Jean Serroy

    Sergio Castellito trace le portait d’une femme et d’une mère courage, qui fait penser, par sa force et sa vitalité, à la Magnani de “Mamma Roma” : mais la tragédie pasolinienne débouche plutôt ici sur le pathos du mélo.

    Le Monde

    par Thomas Sotinel

    Jasmine Trinca, découverte jadis chez Nanni Moretti, sauverait presque ce curieux hybride d’esthétique des années 1980 et de néoréalisme.

    Le Parisien

    par Renaud Baronian

    En 2004, le comédien et réalisateur Sergio Castellitto nous avait régalé en magnifiant Penélope Cruz à contre-emploi dans "A corps perdus". Las, il se contente ici d'une histoire mièvre qui frise le ridicule, où les comédiens - plutôt bons au demeurant - sont tous si beaux et sexy qu'on n'y croit pas une seconde.

    La critique complète est disponible sur le site Le Parisien

    Positif

    par Bernard Génin

    Quelque chose ne prend pas dans cette succession d'empoignades souvent burlesques, insolites (...), puis tragiques, avec références culturelles un peu plaquées (...) et, il faut bien le dire, pas mal de vulgarités.

    Les Fiches du Cinéma

    par Clément Deleschaud

    Sans jamais profaner la mémoire des références qu’elle convoque, cette variation bradée de thématiques convenues est un film aussi mauvais que bien intentionné, dont la seule qualité réelle tient dans l’acceptation, digne en fin de compte, de ses limites.

    La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
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