Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Transfuge
par Damien Aubel
Un chef-d'oeuvre documentaire.
Première
par Gael Golhen
La vie et les histoires de Lanzmann sont habitées d’un hybris de surhomme, de flibustier du XXème siècle qu’il aura parcouru le couteau entre les dents (son fameux “je tue les nazis avec ma caméra !”) et une étincelle de démence dans le regard. C’est cette folie qui fait le prix de son œuvre.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Thierry Chèze
Un exercice d'introspection d'une bouleversante humanité.
Critikat.com
par Benoît Smith
L'ensemble, à l'allure forcément hybride et qui peut donner une impression d'inégalité, n'en valide pas moins une louable démarche pour déjouer le totalitarisme des images, échapper au formatage imposé par un appareil d'État comme à celui de la majorité des médias occidentaux.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Humanité
par Sophie Joubert
Étrange dans sa forme, égocentrique et imparfait, Napalm fascine en donnant une épaisseur historique et humaine aux visions de carte postale imposées par le régime. En ravivant le souvenir d’une femme défendue, Claude Lanzmann lève un coin de voile sur un pays interdit qui est aujourd’hui au cœur de l’actualité.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Figaro
par La Rédaction
Claude Lanzmann, 91 ans, revient sur une passion qu'il éprouva pour une jeune infirmière lors d'un séjour en Corée du Nord en 1958. Soixante ans plus tard, le souvenir qu'il illustre d'images d'archives semble toujours aussi vivace. De retour sur les lieux, il se complaît toutefois dans une certaine auto-célébration.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Le récit prend d’abord des allures de carnet de voyage, suivant Lanzmann à la redécouverte de la ville. Puis on bascule dans la confession intime, en plan fixe, durant laquelle le cinéaste de 91 ans raconte son histoire captivante avec une nostalgie et une émotion communicatives.
Le Monde
par Mathieu Macheret
Il fallait donc en passer par l’expérience subjective du cinéaste pour qu’un morceau de Corée du Nord perdu dans le temps, mais rendu présent par l’exercice de la mémoire, s’incarne puissamment à l’écran. Un soubresaut charnel, rappelant à qui veut bien l’entendre que le pays n’est pas peuplé que d’automates en rangs d’oignons, mais d’êtres humains bel et bien vivants.
Le Parisien
par Catherine Balle
C'est un documentaire charmant, drôle, lesté de quelques longueurs.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Paul Fabreuil
Claude Lanzmann utilise le "je" sur divers registres et rend captivante cette imbrication d’un récit intime avec la grande Histoire.
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Il y a ainsi un génie qui perdure chez Lanzmann pour mettre en relief ce qui lie l’infiniment petit et l’infiniment grand, le corps d’un être et les cruautés de la marche du monde.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télérama
par Samuel Douhaire
Il est particulièrement émouvant d’entendre ce grand monsieur, arrivé au soir de sa vie, revivre avec autant de fougue des sentiments vieux de plus d’un demi-siècle. Et montrer ainsi que le désir permet de rester vivant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
La Septième Obsession
par Thomas Aïdan
Reste une étrange sensation de n’avoir rien à faire devant ce film qui se contente de geindre et de radoter. Cela aurait pu être émouvant, mais c’est la gêne qui gagne.
Libération
par Luc Chessel
Le récit de Lanzmann face caméra, ridicule de rouerie en bien des points finit en fait par arriver à ses fins. On assiste à la remémoration d’un pur inaccessible fantasmatique où la femme vaut pour le pays et le pays pour la femme, et où le malaise amusé ou curieux du spectateur finit par trouver une radicale porte close à sa soif d’histoire et de représentation, puisqu’ici, en définitive, rien n’aura eu lieu que le lieu.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Cahiers du Cinéma
par Nicolas Azalbert
Lanzmann, qu’on a connu plus pointilleux sur des questions d’éthique, se compare à des rescapés des camps dans l’insouciance la plus totale.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Inspiré par un des chapitres de son superbe “Lièvre de Patagonie”, Lanzmann filme clandestinement des images furtives du pays où il revient sur les traces de cette brève rencontre. Façon moins de pénétrer les secrets d’un pays fermé que, sous forme de souvenirs d’égotisme, de se mettre complaisamment en scène…
Transfuge
Un chef-d'oeuvre documentaire.
Première
La vie et les histoires de Lanzmann sont habitées d’un hybris de surhomme, de flibustier du XXème siècle qu’il aura parcouru le couteau entre les dents (son fameux “je tue les nazis avec ma caméra !”) et une étincelle de démence dans le regard. C’est cette folie qui fait le prix de son œuvre.
Studio Ciné Live
Un exercice d'introspection d'une bouleversante humanité.
Critikat.com
L'ensemble, à l'allure forcément hybride et qui peut donner une impression d'inégalité, n'en valide pas moins une louable démarche pour déjouer le totalitarisme des images, échapper au formatage imposé par un appareil d'État comme à celui de la majorité des médias occidentaux.
L'Humanité
Étrange dans sa forme, égocentrique et imparfait, Napalm fascine en donnant une épaisseur historique et humaine aux visions de carte postale imposées par le régime. En ravivant le souvenir d’une femme défendue, Claude Lanzmann lève un coin de voile sur un pays interdit qui est aujourd’hui au cœur de l’actualité.
Le Figaro
Claude Lanzmann, 91 ans, revient sur une passion qu'il éprouva pour une jeune infirmière lors d'un séjour en Corée du Nord en 1958. Soixante ans plus tard, le souvenir qu'il illustre d'images d'archives semble toujours aussi vivace. De retour sur les lieux, il se complaît toutefois dans une certaine auto-célébration.
Le Journal du Dimanche
Le récit prend d’abord des allures de carnet de voyage, suivant Lanzmann à la redécouverte de la ville. Puis on bascule dans la confession intime, en plan fixe, durant laquelle le cinéaste de 91 ans raconte son histoire captivante avec une nostalgie et une émotion communicatives.
Le Monde
Il fallait donc en passer par l’expérience subjective du cinéaste pour qu’un morceau de Corée du Nord perdu dans le temps, mais rendu présent par l’exercice de la mémoire, s’incarne puissamment à l’écran. Un soubresaut charnel, rappelant à qui veut bien l’entendre que le pays n’est pas peuplé que d’automates en rangs d’oignons, mais d’êtres humains bel et bien vivants.
Le Parisien
C'est un documentaire charmant, drôle, lesté de quelques longueurs.
Les Fiches du Cinéma
Claude Lanzmann utilise le "je" sur divers registres et rend captivante cette imbrication d’un récit intime avec la grande Histoire.
Les Inrockuptibles
Il y a ainsi un génie qui perdure chez Lanzmann pour mettre en relief ce qui lie l’infiniment petit et l’infiniment grand, le corps d’un être et les cruautés de la marche du monde.
Télérama
Il est particulièrement émouvant d’entendre ce grand monsieur, arrivé au soir de sa vie, revivre avec autant de fougue des sentiments vieux de plus d’un demi-siècle. Et montrer ainsi que le désir permet de rester vivant.
La Septième Obsession
Reste une étrange sensation de n’avoir rien à faire devant ce film qui se contente de geindre et de radoter. Cela aurait pu être émouvant, mais c’est la gêne qui gagne.
Libération
Le récit de Lanzmann face caméra, ridicule de rouerie en bien des points finit en fait par arriver à ses fins. On assiste à la remémoration d’un pur inaccessible fantasmatique où la femme vaut pour le pays et le pays pour la femme, et où le malaise amusé ou curieux du spectateur finit par trouver une radicale porte close à sa soif d’histoire et de représentation, puisqu’ici, en définitive, rien n’aura eu lieu que le lieu.
Cahiers du Cinéma
Lanzmann, qu’on a connu plus pointilleux sur des questions d’éthique, se compare à des rescapés des camps dans l’insouciance la plus totale.
Le Dauphiné Libéré
Inspiré par un des chapitres de son superbe “Lièvre de Patagonie”, Lanzmann filme clandestinement des images furtives du pays où il revient sur les traces de cette brève rencontre. Façon moins de pénétrer les secrets d’un pays fermé que, sous forme de souvenirs d’égotisme, de se mettre complaisamment en scène…