Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
À sa manière de muse et de compagne, l’arrivée de Kim Min-hee comme point d’ancrage moral dans le cinéma de Hong Sang-soo a redéfini (…) le rapport de Hong à ses personnages et sa manière de se livrer plus frontalement (sécheresse) et plus entièrement (plénitude).
Critikat.com
par Axel Scoffier
Hong Sang-soo rejoue ici les infinies variations du motif de l’homme pris entre plusieurs femmes, des aléas de l’infidélité et de la lâcheté masculine, en y intégrant, par son travail du montage, une mise en doute du réel et l’organisation, au sein d’un même film, de récits alternatifs.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par Séverine Danflous
Dans un Noir et blanc digne d'une estampe, le film capte une image du monde flottant, la peinture des émotions s'étale dans des plans fixes aux cadres immobiles qui resserrent des duos amoureux, conjugaux, de travail.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
La Septième Obsession
par Séverine Danflous
Hong Sang-soo effleure les êtres, leur présence comme leur perte, et laisse planer une douce mélancolie sur cette neige qui recouvre Séoul et efface toute trace. C'est somptueux.
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
C’est peut-être ce qui entoure "Le Jour d’après" d’un parfum assez violemment intime voire impudique, mais aussi d’un poids plus lourd et plus sombre que ce à quoi nous a habitués le cinéaste.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
L'Obs
par Nicolas Schaller
Le cinéaste nous entretient dans une confusion chronologique qui remet sans cesse en question ce que l’on croit établi. On évolue en zone grise dans ce film en noir et blanc où la boisson grise. C’est ce qui en fait la fibre, délicate et retorse.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Les jeux de l’amour et du hasard, dans une comédie du malentendu qui vire insensiblement vers une tonalité plus sombre et désabusée, où s’expriment la violence des relations et la faiblesse de la nature humaine.
Le Figaro
par La Rédaction
Hong Sang-soo évolue entre quiproquo et chassés-croisés avec une élégance qui enchante.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
A ne pas manquer.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Renaud Baronian
Le Coréen Hong Sang-soo signe un film beau et intimiste.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Libération
par Luc Chessel
Ivresse et sobriété, désordre et calme, obscurité et lumière, le Coréen se joue des contrastes dans son «Jour d’après».
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par Gilles Kerdreux
C'est minimaliste et un peu bavard mais très bien joué, intéressant, et avec pas mal d'humour sur la lâcheté des hommes.
Paris Match
par Yannick Vely
L'amour que lui porte son cinéaste de compagnon traverse alors l'écran pour nous plonger, à notre tour, dans un état amoureux. Hong Sang-soo est bien un magicien.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Paris Match
par Yannick Vely
Hong Sang-soo est bien un magicien.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Télérama
par Louis Guichard
Ce vaudeville philosophique ne cesse d'être drôle que pour devenir déchirant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Alexandre Jourdain
Bien que la subtilité et la sécheresse du dispositif ne soient pas forcément propices à séduire les foules, Le Jour d’après possède à l’évidence l’étoffe des grands films interrogeant avec humilité notre perception du réel.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
L’on nage en plein vaudeville, ivresses à la clé. On a naturellement un mal de chien à différencier les unes des autres, les femmes des maîtresses...
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Le cinéaste sud-coréen Hong Sang-soo poursuit son exploration de la nature humaine dans cette chronique en noir et blanc certes bavarde et statique mais dont la mélancolie contamine durablement.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Ce petit théâtre des sentiments se joue dans la plus stricte économie de moyens, volontairement ascétique pour devenir esthétique : noir et blanc, longs plans fixes, zoom se substituant au travelling, abondance des dialogues au détriment de l’action…
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Cahiers du Cinéma
À sa manière de muse et de compagne, l’arrivée de Kim Min-hee comme point d’ancrage moral dans le cinéma de Hong Sang-soo a redéfini (…) le rapport de Hong à ses personnages et sa manière de se livrer plus frontalement (sécheresse) et plus entièrement (plénitude).
Critikat.com
Hong Sang-soo rejoue ici les infinies variations du motif de l’homme pris entre plusieurs femmes, des aléas de l’infidélité et de la lâcheté masculine, en y intégrant, par son travail du montage, une mise en doute du réel et l’organisation, au sein d’un même film, de récits alternatifs.
Culturopoing.com
Dans un Noir et blanc digne d'une estampe, le film capte une image du monde flottant, la peinture des émotions s'étale dans des plans fixes aux cadres immobiles qui resserrent des duos amoureux, conjugaux, de travail.
La Septième Obsession
Hong Sang-soo effleure les êtres, leur présence comme leur perte, et laisse planer une douce mélancolie sur cette neige qui recouvre Séoul et efface toute trace. C'est somptueux.
Les Inrockuptibles
C’est peut-être ce qui entoure "Le Jour d’après" d’un parfum assez violemment intime voire impudique, mais aussi d’un poids plus lourd et plus sombre que ce à quoi nous a habitués le cinéaste.
L'Obs
Le cinéaste nous entretient dans une confusion chronologique qui remet sans cesse en question ce que l’on croit établi. On évolue en zone grise dans ce film en noir et blanc où la boisson grise. C’est ce qui en fait la fibre, délicate et retorse.
Le Dauphiné Libéré
Les jeux de l’amour et du hasard, dans une comédie du malentendu qui vire insensiblement vers une tonalité plus sombre et désabusée, où s’expriment la violence des relations et la faiblesse de la nature humaine.
Le Figaro
Hong Sang-soo évolue entre quiproquo et chassés-croisés avec une élégance qui enchante.
Le Monde
A ne pas manquer.
Le Parisien
Le Coréen Hong Sang-soo signe un film beau et intimiste.
Libération
Ivresse et sobriété, désordre et calme, obscurité et lumière, le Coréen se joue des contrastes dans son «Jour d’après».
Ouest France
C'est minimaliste et un peu bavard mais très bien joué, intéressant, et avec pas mal d'humour sur la lâcheté des hommes.
Paris Match
L'amour que lui porte son cinéaste de compagnon traverse alors l'écran pour nous plonger, à notre tour, dans un état amoureux. Hong Sang-soo est bien un magicien.
Paris Match
Hong Sang-soo est bien un magicien.
Télérama
Ce vaudeville philosophique ne cesse d'être drôle que pour devenir déchirant.
aVoir-aLire.com
Bien que la subtilité et la sécheresse du dispositif ne soient pas forcément propices à séduire les foules, Le Jour d’après possède à l’évidence l’étoffe des grands films interrogeant avec humilité notre perception du réel.
La Voix du Nord
L’on nage en plein vaudeville, ivresses à la clé. On a naturellement un mal de chien à différencier les unes des autres, les femmes des maîtresses...
Le Journal du Dimanche
Le cinéaste sud-coréen Hong Sang-soo poursuit son exploration de la nature humaine dans cette chronique en noir et blanc certes bavarde et statique mais dont la mélancolie contamine durablement.
Franceinfo Culture
Ce petit théâtre des sentiments se joue dans la plus stricte économie de moyens, volontairement ascétique pour devenir esthétique : noir et blanc, longs plans fixes, zoom se substituant au travelling, abondance des dialogues au détriment de l’action…