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yeuce
30 abonnés
913 critiques
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1,5
Publiée le 4 avril 2020
Si vous aimez les films de baston coréen vous serez servi...., du sang en veux tu en voilà, des personnages increvables, bref une suites de combats totalement improbables, mais bon y en a qui aime.....
Malgré un manque de moyens assez flagrant dans sa construction, un film d'action coréen qui demeure plutôt ambitieux et clinquant dans sa réalisation à tel point qu'on peut aisément le situer entre "Nikita" de Luc Besson pour son personnage central de jeune femme recrutée par une agence gouvernementale pour des contrats de tueur à gages et "A bittersweet life" de Kim Jee-woon ou même "Volte-face" de John Woo pour la virtuosité de ses scènes d'action et de son écriture. Une première partie techniquement grandiose, inventive et trépidante mais un ensemble qui s'étiole inexorablement par la suite pour proposer une intrigue assez ennuyeuse, pas toujours facile à suivre pour aboutir ensuite sur un final impressionnant à défaut d'une grande originalité. Un scénario reposant sur une histoire de vengeance terriblement conventionnel mais mené avec suffisamment de savoir-faire pour rester intéressant. Pas mal mais bien quelconque et oubliable.
Du très bon cinéma, réalisation impeccable, scnes d'action époustouflantes et acteurs au top, comme souvent avec le cinéma Coréen. A voir en VOST bien sûr, et sur grand écran si possible !
Bon, on va se détendre un peu et se dire que la réputation flatteuse du film est essentiellement basée sur la scène d'intro, qui se la rejoue "Hardcore Henry" mais en plus vénère, et pas sur tout un film. Si le concept est amusant, et bien foutu techniquement, le contenu en lui-même m'a laissé songeur. Déjà, notre héroïne a la chance de tomber sur des adversaires utilisant des armes blanches pile quand elle n'a plus de flingue, et surtout, la baston dans le couloir est complètement débile d'un point de vue chorégraphique. En effet, nos braves porte-flingue attendent sagement leur tour, alors qu'ils sont une vingtaine. Si cela fait sens quand elle leur fait face, ça devient moins crédible quand elle leur tourne le dos pendant plus de 10 secondes (ce qui arrive deux fois dans la séquence tout de même !). Pour le reste, un scénario brouillon, qui mélange les époques, et tellement mal monté que j'ai cru à un moment qu'il me raconté l'histoire de deux femmes différentes. Les rebondissements sentent le réchauffé, les combats invraisemblables s'enchaînent, et la caméra en fait des caisses avec fish eye, plans débullés, montage numérique trop voyant et violence complaisante. Mais ça reste impressionnant, avec une vraie science de la cascade, quelques exploits techniques assez fabuleux et un certain sens du spectaculaire qui envoie du bois. D'autres critiques sur thisismymovies.over-blog.com
Depuis quelques années, à l’une ou l’autre exception près, j’ai le sentiment que le cinéma coréen patine. Peut-être qu’en raison d’une nette désaffection des distributeurs, les meilleures productions ne parvenaient plus à atteindre l’Europe mais de toute façon, plus aucune sortie ne fait aujourd’hui l’événement comme à l’époque de ‘OldBoy’ ou ‘The chaser’ : à l’image du cinéma d’épouvante espagnol, la période faste semble bel et bien terminée. Sorti à la sauvette en DVD comme tous ses congénères, ‘The Villainess’ prouve au moins qu’à défaut d’occuper le devant de la scène, le cinéma coréen n’a rien perdu de sa hargne vindicative et de son énergie. ‘The villainess’ est un pur film d’action qui, fatalement, n’est pas toujours d’une extrême originalité : on y retrouve un peu du ‘Lady Vengeance’ de Park Chan Wook, quelques scènes reproduites à l’identique du ‘Nikita’ de Besson et des séquences en vue subjective filmées à la GoPro comme dans le film russe ‘Hardcore Henry’ tandis le scénario recourt à un montage en flashbacks un peu superflu afin de désorienter le spectateur et maintenir son intérêt captif Dans l’ensemble, Jeong Byeong Jil accorde bien plus d’importance à la forme et à la chorégraphie de combats parfois aussi hallucinants qu’à la grande époque (comme la scène d’ouverture ou la bataille rangée dans le bus, dans les dernières minutes) qu’au fond, qui n’est rien de plus qu’une banale histoire de vengeance au féminin. Cependant, cette vendetta a pour caractéristiques d’être à la fois profondément mélodramatique et d’une cruauté consommée qui confine au sadisme : l’héroïne va en baver, et le spectateur va en baver avec elle ! A aucun moment, ni dans les sentiments ni dans la violence, tous deux exacerbés, on ne se retrouve sur la ligne des productions occidentales : ça tombe bien, c’est exactement pour cette raison qu’on a besoin de temps à autre d’une petite cure de cinéma coréen !
Certes l’effort de stylisation des scènes de violence sort parfois complètement de l’ordinaire, mais rien d’autre ne représente un intérêt particulier dans ce film. En tout cas, pas le scénario, qui est une resucée de Nikita. Là où Besson avait fait dans la sobriété, notamment sur le passé de l’assassine, Byeong-gil Jeong, lui a tenté de rechercher à tout prix le complexe. Sauf que ce complexe l’est tellement, qu’il embrouille le spectateur. Les dialogues, très plats, mais systématiquement énigmatiques, n’éclairent en rien l’intrigue. Quant à la mise en scène, elle est brouillonne, et rend l’ensemble totalement indigeste. On se demande pourquoi et comment le jury a attribué une récompense à ce film qui, d’ailleurs était hors compétition.
« The villainess » est un film d'action Sud-Coréen qui se contente d’enchaîner les scènes d'action ultra-violentes sans se poser la moindre question existentielle. Le scénario (pour le moins minimaliste) s'inspire très librement de notre « Nikita » national... en le pimentant largement à la sauce asiatique. Du coup, l’héroïne est tout bonnement indestructible et décime des bandes entières de vilains (qui font parfois deux fois sa taille) à coups de flingues, couteaux, sabres ou tout ce qui lui tombe sous la main. C'est parfois jubilatoire, un peu répétitif à la longue mais c'est surtout totalement immoral. Ceci dit, les scènes d'action sont parfaitement chorégraphiées, Ok-Bin Kim est très jolie et le reste de la distribution suffisamment talentueux pour que l'ensemble ne sombre pas dans le ridicule. Alors pourquoi bouder son plaisir ? Les amateurs de « bastons » déjantées vont adorer, les autres... passez votre chemin !
The villainess est un bon film un john wick au féminin ou encore une nikita des temps moderne. La première scène est vraiment très impressionnante et bourré d'action comme j'aime un peux à la Old boy ensuite le film a un grand creux au milieu du film mais sa se regarde et on repart pour de l'action à gogo avec une course poursuite à moto hyper rythme et de la baston. Un film regardable, les acteurs sont plutôt bon mais rien d' extraordinaire mais à voir.
une production coreeñne qui tu arrives à nous mettre dans quelque chose où l'extrême violence n'était pas nécessaire mais venant d'une production Cauet Rennes cela rentrer un peu directement comme si cela était un passage.on a connaît rre faisait avec des Bastions cascade et compagnie qui défient toute épreuve. Après un peu se romance.... et le sixxes5 et ils ont tenté le VIS peu de temps.... alors qu5il s apprécié mieux au ciné.... pour le reste l'histoire tient la route même si on va dire que pour chacun ce sont un peu des sur homme lol enfin je me comprends mets le film ne relâche pas l'action il ne nous ennuie pas durant les 2 Heures du film. bref bonne petite surprise pour ceux qui aiment ce type de production et ce genre qui est pour eux un un genre qui adore. t'adore après avec ce que l'on peut voir passer dans les cinémas où parfois il n'y a même pas de place pour poser un cul le cinéma français ou américain il est évidemment passé inaperçu.un film dans son pays qui q du apprécié pat la majorité d e la populaiez
C'est impitoyablement violent, sans concession, avec en prime un scénario assez bien cousu et qui réserve quelques surprises (dont une particulièrement atroce, âmes sensibles s'abstenir). Il faut parfois faire quelques retours arrières pour parfaitement comprendre toute la chronologie des évènements subits par cette pauvre héroïne mais ça vaut vraiment la peine de tenir les 2 heures que dure ce film. Seule ombre au tableau : un final trop long et un peu trop tiré par les cheveux (spoiler: elle est incroyablement résistante la petite ! Coups de couteaux, chutes à répétition et j'en passe ). Pour un second film, saluons le talent de ce jeune (37 ans en 2017) réalisateur coréen.
Lorgnant du coté de Nikita et Wanted, le film, bien que ne brillant pas par le scénario et ses rebondissements (d'assez grosses ficelles il faut le reconnaitre), surprend par la qualité des scènes d'action en plan séquence à la 1ère puis 3ème personne. Le film revendique un coté jeu vidéo assez jouissif ! Après 2h, on se met à en vouloir encore...
Le remake coréen de Nikita. Après on passe un bon moment mais sans plus. Mais de là à dire que c'est un navet comme certains disent, il ne faut pas exagérer non plus.
Un film ultra trépidant et ultra spectaculaire du début à la fin avec de l'action et des scènes de combat chorégraphiées de toute beauté. Une scène d'ouverture en très long plan séquence impressionnante, filmée en immersion, dans le corps et la tête de la tueuse vengeresse, ressentant son émotion, son rythme, son souffle et essoufflement, le tout dans des espaces plutôt réduits de couloirs, une scène éminemment spectaculaire qui donne le ton et le style du film avec en vedette l'actrice sud coréenne qui monte et qui décidément est vraiment formidable et étonnante, Kim Ok Bin. Une jeune femme qui va devenir une machine de guerre même si elle l'est déjà dès le début du film en passant par une école spéciale à la Nikita dès ce premier massacre. Des missions confiées dans la vraie vie, ,une nouvelle identité, une fille également qu'elle a eu suite à son premier mariage, un père et un mari a venger, un nouvel amour qui n'est autre que son voisin, agent chargé de la surveiller et accompagner, beaucoup d'éléments pour un scénario qui tourne à 100 à l'heure, prétexte à de nombreuses scènes de combat. Apothéose avec la dernière scène dans un bus qui nous ramène à la case départ mais avec beaucoup de mystères et problèmes résolus. Kim Ok Bin superbe et impeccable, un film d'action ultra spectaculaire, peut être un petit manque d'émotion mais un film indispensable pour ceux qui aiment les excellentes performances d'action chorégraphiées .
Ouais bon, même en étant indulgent, en aimant le sanguinolent coréen, non, c'est quand même assez nul. La moitié du scénario est pompée sur Nikita, l'autre est totalement alambiquée, on comprend rien a forces de flashbacks. Reste les scènes d'action, ou le sang gicle, mais bon, après un début séduisant, plus le film avance et plus c'est mauvais.