Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
Transfuge
par Damien Aubel
Le film d’Anahita Ghazvinizadeh avec son image au grain pulvérulent, comme une écharpe de brume, avec ses motifs floraux récurrents, produit cette sensation flottante, doucement irréelle, que donne une pièce de vers lyrique et fragile.
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Visuellement novateur, ce petit bijou est une belle réflexion sur l’identité de genre, privilégiant les non-dits et la suggestion.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Obs
par Xavier Leherpeur
En dépit de quelques dispensables images symboliques, la cinéaste compose autour de son personnage une fiction sensorielle et feutrée où il est avant tout question de l'intimité émotionnelle de l'enfance, de son éveil au monde et de ses doutes.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Clarisse Fabre
Sur ce sujet à fort potentiel dramaturgique qu’est la transidentité, la réalisatrice iranienne Anahita Ghazvinizadeh a choisi la voie périlleuse, et plutôt réussie, du non-récit.
Les Fiches du Cinéma
par Gaël Reyre
Formellement réussi, ce film, hélas trop allusif, ne creuse pas assez son sujet et se perd en d’inutiles digressions.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
On sent derrière la caméra une vraie cinéaste, avec un univers singulier (à la fois fantastique, réaliste et délicat), des choix esthétique très précis, une direction d’acteurs impressionnante, sans doute inspirée par Emily Dickinson ou l’écrivain britannique Saki. C’est son premier film.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Eithne O'Neill
Le fait est que, dans sa mise en scène, "Il ou elle" est davantage une série de courts métrages qu'un film.
Télérama
par Frédéric Strauss
Réfléchie et presque théorique, cette fiction minimaliste séduit pourtant par l’art de l’esquive qui s’y développe en douceur : une curieuse manière de ne rien filmer de décisif. Et de reculer toute décision…
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Paola Raiman
Le sujet, puisqu’il s’agit bien d’un film à sujet, appelait un regard plus audacieux et généreux.
Première
par Maxime Grandgeorge
L’intrigue stagne, les dialogues s’étirent et le récit se perd en scènes inutiles. Résultat : on en ressort encore plus paumé que l’adolescent.
La critique complète est disponible sur le site Première
Transfuge
Le film d’Anahita Ghazvinizadeh avec son image au grain pulvérulent, comme une écharpe de brume, avec ses motifs floraux récurrents, produit cette sensation flottante, doucement irréelle, que donne une pièce de vers lyrique et fragile.
aVoir-aLire.com
Visuellement novateur, ce petit bijou est une belle réflexion sur l’identité de genre, privilégiant les non-dits et la suggestion.
L'Obs
En dépit de quelques dispensables images symboliques, la cinéaste compose autour de son personnage une fiction sensorielle et feutrée où il est avant tout question de l'intimité émotionnelle de l'enfance, de son éveil au monde et de ses doutes.
Le Monde
Sur ce sujet à fort potentiel dramaturgique qu’est la transidentité, la réalisatrice iranienne Anahita Ghazvinizadeh a choisi la voie périlleuse, et plutôt réussie, du non-récit.
Les Fiches du Cinéma
Formellement réussi, ce film, hélas trop allusif, ne creuse pas assez son sujet et se perd en d’inutiles digressions.
Les Inrockuptibles
On sent derrière la caméra une vraie cinéaste, avec un univers singulier (à la fois fantastique, réaliste et délicat), des choix esthétique très précis, une direction d’acteurs impressionnante, sans doute inspirée par Emily Dickinson ou l’écrivain britannique Saki. C’est son premier film.
Positif
Le fait est que, dans sa mise en scène, "Il ou elle" est davantage une série de courts métrages qu'un film.
Télérama
Réfléchie et presque théorique, cette fiction minimaliste séduit pourtant par l’art de l’esquive qui s’y développe en douceur : une curieuse manière de ne rien filmer de décisif. Et de reculer toute décision…
Cahiers du Cinéma
Le sujet, puisqu’il s’agit bien d’un film à sujet, appelait un regard plus audacieux et généreux.
Première
L’intrigue stagne, les dialogues s’étirent et le récit se perd en scènes inutiles. Résultat : on en ressort encore plus paumé que l’adolescent.