Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
Bande à part
par Olivier Bombarda
Si le contexte du film est politique, responsable, lucide, c’est sa poétique belle et écorchée qui l’élance. Des plans subtils, délicats, esthètes, comme toujours magnifiquement cadrés chez Bartas, emportent le spectateur dans un état de contemplation et de réflexion bouillonnant.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Libération
par Anne Diatkine
"Frost" (...) rappelle les aventures de Marianne et Ferdinand qui traversent non pas l’Ukraine en guerre, mais la France en paix, dans "Pierrot le fou" de Godard. Même romantisme désespéré d’un couple au cœur d’un voyage amoureux qui tourne mal, la mort en ligne de mire. Même génie des deux cinéastes pour nous faire voir dans la lumière des phares ou la ligne des arbres des images de plus en plus abstraites.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Cahiers du Cinéma
par Cyril Béghin
Dans un beau finale à la Antonioni, tout se dissout sous la neige d’un no man’s land : visages, routes et paysages, irrémédiablement dispersés par le gel et par la guerre qui vient ; jeunesse aventureuse et espoir amoureux qui, au bout de ce film funèbre, n’auront rien pu faire contre la solitude et la mélancolie.
Le Monde
par Isabelle Regnier
En magnifiant ainsi ces amants romantiques, lointains cousins des héros tragiques de Badlands, de Terrence Malick, ou de Panique à Needle Park, de Jerry Schatzberg, Sharunas Bartas signe un des plus beaux films de sa carrière.
Les Fiches du Cinéma
par Paul Fabreuil
Tout à son approche allusive du récit et des motivations de ses personnages, Sharunas Bartas confirme la singularité de son cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Jean-Christophe Ferrari
Un film délicat et fort (...).
Télérama
par Jacques Morice
Frost est un road-movie qui devient de plus en plus envoûtant au fil des kilomètres.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
La Septième Obsession
par Jérôme d’Estais
Là où, entre vie et mort, le film de Sharunas Bartas se gèle subitement et nous transperce, dans un grand cri blanc et silencieux.
Première
par Thierry Chèze
Mais il y a aussi un côté poseur assez pénible dans cette démarche et une difficulté à ne pas sombrer peu à peu dans l’ennui. Jusqu’à la dernière ligne droite, enfin vraiment prenante et envoûtante. Dommage que l’heure et demie qui précède paraisse souvent interminable.
La critique complète est disponible sur le site Première
L'Obs
par David Caviglioli
Le film devient intéressant à la fin, lorsqu'on descend du Transit et qu'on arrive en zone de guerre. Bartas a tourné au plus près de la ligne de front, dans des conditions difficiles, et il trouve enfin quelque chose à filmer. Trop tard. La route nous a rendus malades.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Bande à part
Si le contexte du film est politique, responsable, lucide, c’est sa poétique belle et écorchée qui l’élance. Des plans subtils, délicats, esthètes, comme toujours magnifiquement cadrés chez Bartas, emportent le spectateur dans un état de contemplation et de réflexion bouillonnant.
Libération
"Frost" (...) rappelle les aventures de Marianne et Ferdinand qui traversent non pas l’Ukraine en guerre, mais la France en paix, dans "Pierrot le fou" de Godard. Même romantisme désespéré d’un couple au cœur d’un voyage amoureux qui tourne mal, la mort en ligne de mire. Même génie des deux cinéastes pour nous faire voir dans la lumière des phares ou la ligne des arbres des images de plus en plus abstraites.
Cahiers du Cinéma
Dans un beau finale à la Antonioni, tout se dissout sous la neige d’un no man’s land : visages, routes et paysages, irrémédiablement dispersés par le gel et par la guerre qui vient ; jeunesse aventureuse et espoir amoureux qui, au bout de ce film funèbre, n’auront rien pu faire contre la solitude et la mélancolie.
Le Monde
En magnifiant ainsi ces amants romantiques, lointains cousins des héros tragiques de Badlands, de Terrence Malick, ou de Panique à Needle Park, de Jerry Schatzberg, Sharunas Bartas signe un des plus beaux films de sa carrière.
Les Fiches du Cinéma
Tout à son approche allusive du récit et des motivations de ses personnages, Sharunas Bartas confirme la singularité de son cinéma.
Positif
Un film délicat et fort (...).
Télérama
Frost est un road-movie qui devient de plus en plus envoûtant au fil des kilomètres.
La Septième Obsession
Là où, entre vie et mort, le film de Sharunas Bartas se gèle subitement et nous transperce, dans un grand cri blanc et silencieux.
Première
Mais il y a aussi un côté poseur assez pénible dans cette démarche et une difficulté à ne pas sombrer peu à peu dans l’ennui. Jusqu’à la dernière ligne droite, enfin vraiment prenante et envoûtante. Dommage que l’heure et demie qui précède paraisse souvent interminable.
L'Obs
Le film devient intéressant à la fin, lorsqu'on descend du Transit et qu'on arrive en zone de guerre. Bartas a tourné au plus près de la ligne de front, dans des conditions difficiles, et il trouve enfin quelque chose à filmer. Trop tard. La route nous a rendus malades.