Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
33 critiques presse
Femme Actuelle
par Amélie Cordonnier
Coup de coeur pour ce film magnifique sur le besoin d'exister et d'être aimé, âpre, violent, drôle parfois et d'une bouleversante humanité.
Franceinfo Culture
par Lorenzo Ciavarini Azzi
"Dogman" est un film puissant, profond, et brillamment réalisé.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Express
par Christophe Carrière
"Dogman" est un diamant noir du cinéma italien comme Matteo Garrone sait les tailler.
L'Humanité
par Sophie Joubert
Présentée à Cannes, l’implacable tragédie de Matteo Garrone révèle un acteur extraordinaire, Marcello Fonte.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Marianne
par La Rédaction
Petit gabarit, mais talent immense, Marcello Fonte prête sa frêle silhouette à ce héros paumé et lunaire. Dans ce dernier film de Matteo Garrone, inspire d'un fait divers retentissant, il impressionne et émeut. Sa performance lui a valu le Prix d'interprétation au dernier Festival de Cannes. Des lauriers mérités.
Voici
par Lola Sciamma
Le portrait bouleversant d'un homme humilié qui va essayer de recouvrer sa dignité.
20 Minutes
par Caroline Vié
Le cinéaste Matteo Garrone, réalisateur de « Gomorra », révèle au public un acteur au physique aussi étonnant que le naturel avec lequel il joue son personnage.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Bande à part
par Anne-Claire Cieutat
"Dogman", avec ses personnages en relief, sa tension croissante, son décor enclavé et inquiétant, a des reflets de fable contemporaine sur la perte de l’innocence qui menace le monde et la part animale en l’homme qui gagne du terrain. Marcello Fonte en est le parfait interprète.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
La noirceur du film est radicale et jamais Garrone ne cédera aux sirènes du sentimentalisme. Accroché jusqu’au bout à son propos, il fait des choix de récit extrêmes mais toujours justes pour son histoire, au risque d’étouffer les spectateurs sous une conception noire de la société d’aujourd’hui.
Culturopoing.com
par Enrique Seknadje
Le cinéaste fait se heurter l'innocence de l'animal à l'ignominie de la bête humaine. L'American Staffordshire tous crocs dehors, la ribambelle de chiens qui entourent le toiletteur apportent à "Dogman" sa décharge surprenante : le guet-apens tant attendu ne prendra pas la forme que l’on imagine et que l’on attend tout au long du récit. Et c'est bien là la force du regard de Matteo Garrone qui évite toute jouissance ou complaisance.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
La Croix
par Céline Rouden
Avec ce conte macabre, le réalisateur italien Matteo Garrone explore brillamment les recoins les plus obscurs de notre humanité et offre à son acteur, Marcello Fonte, le prix d'interprétation masculine.
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Le cinéaste italien Matteo Garrone a pu égarer quelques spectateurs avec ses dernières livraisons (« Reality », « Tale of Tales ») mais le voici vraiment de retour, armé de la férocité de son inoubliable « Gomorra » (2008).
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Sur la thématique du maître et de l'esclave, un firm qui dit toute la violence de l'humiliation et la grisaille de la misère, porté par l'interprétation étonnante de Marcello Fonte.
Le Figaro
par La Rédaction
L'acteur Marcello Fonte est époustouflant de talent dans ce film du réalisateur de Gomorra. Il incarne avec subtilité et fragilité ce Charlot transalpin qui lui a valu le Prix d'interprétation masculine à Cannes.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Figaroscope
par La Rédaction
Le réalisateur italien Matteo Garrone retrouve la noirceur, la fougue de Gomorra.
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Dans un décor de ville quasi abandonnée, l'architecte de l'image Matteo Garrone joue sur les différences d'échelle et de gabarit pour cette chronique désenchantée sur la violence ordinaire, sur ces mille vexations quotidiennes qui peuvent transformer un bon en brute.
Le Parisien
par La Rédaction
«Dogman», de Matteo Garrone ( «Gomorra»), faisait partie des sensations de la compétition du dernier Festival de Cannes, et le jury lui a décerné son Prix d’interprétation masculine. Amplement mérité...
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Michaël Ghennam
En s’inspirant d’un sinistre fait divers, Matteo Garrone interroge notre société contemporaine, s’appuyant sur la prestation vibrante de Marcello Fonte.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Quelque part entre le réel, l’imaginaire, la sauvagerie, la tendresse, "Dogman" a bel et bien trouvé un point de fusion.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ouest France
par La Rédaction
Ce film de Matteo Garrone (Gomorra) a une esthétique étonnante et prouve que le cinéma italien n'est pas mort.
Paris Match
par Yannick Vely
La mise en scène de Matteo Garrone impressionne mais c'est surtout la performance de l'acteur Marcello Fonte qui mérite tous les superlatifs - et le prix d'interprétation du dernier Festival de Cannes.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Michel Cieutat
La réalisation de Garrone est entièrement axée autour de cette impression progressive de perte d'une raison d'être, grâce à la discrétion, voire à la froideur, de sa narration, à ses cadrages sobres et précis, à sa photographie naturelle jamais appuyée, à son montage strictement fonctionnel et, surtout, à l'ensemble de ses interprètes au jeu d'une très grande justesse.
Première
par Frédéric Foubert
La puissance farcesque du film est extraordinaire, en grande partie grâce à la trogne hallucinante de Marcello Fonte (le petit toiletteur), magnifique « visage antique » (comme dit Garrone) faisant ressurgir par son expressivité bouleversante toute une Italie fantasmatique et oubliée.
La critique complète est disponible sur le site Première
Rolling Stone
par Xavier Bonnet
Volontiers lugubre, Dogman propose, sans jamais l’exprimer frontalement, un regard en creux d’une Italie en proie aux interrogations les plus profondes et aux dérives qui peuvent en naître, qu’elle aime ou non les chiens…
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Télé 2 semaines
par Jérémy Mingot
Avec un incroyable sens de la mise en scène, Matteo Garrone brosse le portrait de cet homme entraîné dans une spirale de violence.
Télérama
par Cécile Mury
Une Italie moribonde et froide, magistralement filmée : un enfer presque fantastique de béton écaillé dans une zone périphérique de bord de mer.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Julien Dugois
Un drame humain âpre et amer, chargé de nihilisme, qui apporte une réponse féroce à l’avènement du populisme en Italie.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Ecran Large
par Simon Riaux
Visuellement splendide et porté par une appétit mythologiaque indéniable, "Dogman" souffre de la simplicité et de la répétitivité de ses enjeux.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Ce que le cinéaste italien maîtrise jusqu’au bout, c’est une manière de créer un décor à la fois ultraréaliste et purement chimérique.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Jean-François Rauger
La réussite du nouveau film de Matteo Garrone tient, en effet, dans cet équilibre délicat, cette manière de faire croire à une nature grotesque, mais non irréaliste, de la vie elle-même.
Libération
par Marius Chapuis
En vrai, ce spectacle sadique ne tient que grâce à la performance de Marcello Fonte (prix d’interprétation à Cannes), sublime de dignité grave.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Cahiers du Cinéma
par Cyril Béghin
Le cinéaste rétrécit les perspectives de sa fable sociale au face-à-face des monstres, chien méchant contre chien blessé, dans un concours de gueules dont on espère par instants qu’il tire l’ensemble vers un grand carnaval macabre, et qui se termine à l’inverse, en plein désert. Plus que sa laideur, c’est cette courte vue qui signe l’échec de Dogman.
Critikat.com
par Thomas Choury
Sous l’aspect modeste du petit fait divers qui s’offre les ors du 7e art sommeille un pessimisme encore moins aimable (...).
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Femme Actuelle
Coup de coeur pour ce film magnifique sur le besoin d'exister et d'être aimé, âpre, violent, drôle parfois et d'une bouleversante humanité.
Franceinfo Culture
"Dogman" est un film puissant, profond, et brillamment réalisé.
L'Express
"Dogman" est un diamant noir du cinéma italien comme Matteo Garrone sait les tailler.
L'Humanité
Présentée à Cannes, l’implacable tragédie de Matteo Garrone révèle un acteur extraordinaire, Marcello Fonte.
Marianne
Petit gabarit, mais talent immense, Marcello Fonte prête sa frêle silhouette à ce héros paumé et lunaire. Dans ce dernier film de Matteo Garrone, inspire d'un fait divers retentissant, il impressionne et émeut. Sa performance lui a valu le Prix d'interprétation au dernier Festival de Cannes. Des lauriers mérités.
Voici
Le portrait bouleversant d'un homme humilié qui va essayer de recouvrer sa dignité.
20 Minutes
Le cinéaste Matteo Garrone, réalisateur de « Gomorra », révèle au public un acteur au physique aussi étonnant que le naturel avec lequel il joue son personnage.
Bande à part
"Dogman", avec ses personnages en relief, sa tension croissante, son décor enclavé et inquiétant, a des reflets de fable contemporaine sur la perte de l’innocence qui menace le monde et la part animale en l’homme qui gagne du terrain. Marcello Fonte en est le parfait interprète.
CinemaTeaser
La noirceur du film est radicale et jamais Garrone ne cédera aux sirènes du sentimentalisme. Accroché jusqu’au bout à son propos, il fait des choix de récit extrêmes mais toujours justes pour son histoire, au risque d’étouffer les spectateurs sous une conception noire de la société d’aujourd’hui.
Culturopoing.com
Le cinéaste fait se heurter l'innocence de l'animal à l'ignominie de la bête humaine. L'American Staffordshire tous crocs dehors, la ribambelle de chiens qui entourent le toiletteur apportent à "Dogman" sa décharge surprenante : le guet-apens tant attendu ne prendra pas la forme que l’on imagine et que l’on attend tout au long du récit. Et c'est bien là la force du regard de Matteo Garrone qui évite toute jouissance ou complaisance.
La Croix
Avec ce conte macabre, le réalisateur italien Matteo Garrone explore brillamment les recoins les plus obscurs de notre humanité et offre à son acteur, Marcello Fonte, le prix d'interprétation masculine.
La Voix du Nord
Le cinéaste italien Matteo Garrone a pu égarer quelques spectateurs avec ses dernières livraisons (« Reality », « Tale of Tales ») mais le voici vraiment de retour, armé de la férocité de son inoubliable « Gomorra » (2008).
Le Dauphiné Libéré
Sur la thématique du maître et de l'esclave, un firm qui dit toute la violence de l'humiliation et la grisaille de la misère, porté par l'interprétation étonnante de Marcello Fonte.
Le Figaro
L'acteur Marcello Fonte est époustouflant de talent dans ce film du réalisateur de Gomorra. Il incarne avec subtilité et fragilité ce Charlot transalpin qui lui a valu le Prix d'interprétation masculine à Cannes.
Le Figaroscope
Le réalisateur italien Matteo Garrone retrouve la noirceur, la fougue de Gomorra.
Le Journal du Dimanche
Dans un décor de ville quasi abandonnée, l'architecte de l'image Matteo Garrone joue sur les différences d'échelle et de gabarit pour cette chronique désenchantée sur la violence ordinaire, sur ces mille vexations quotidiennes qui peuvent transformer un bon en brute.
Le Parisien
«Dogman», de Matteo Garrone ( «Gomorra»), faisait partie des sensations de la compétition du dernier Festival de Cannes, et le jury lui a décerné son Prix d’interprétation masculine. Amplement mérité...
Les Fiches du Cinéma
En s’inspirant d’un sinistre fait divers, Matteo Garrone interroge notre société contemporaine, s’appuyant sur la prestation vibrante de Marcello Fonte.
Les Inrockuptibles
Quelque part entre le réel, l’imaginaire, la sauvagerie, la tendresse, "Dogman" a bel et bien trouvé un point de fusion.
Ouest France
Ce film de Matteo Garrone (Gomorra) a une esthétique étonnante et prouve que le cinéma italien n'est pas mort.
Paris Match
La mise en scène de Matteo Garrone impressionne mais c'est surtout la performance de l'acteur Marcello Fonte qui mérite tous les superlatifs - et le prix d'interprétation du dernier Festival de Cannes.
Positif
La réalisation de Garrone est entièrement axée autour de cette impression progressive de perte d'une raison d'être, grâce à la discrétion, voire à la froideur, de sa narration, à ses cadrages sobres et précis, à sa photographie naturelle jamais appuyée, à son montage strictement fonctionnel et, surtout, à l'ensemble de ses interprètes au jeu d'une très grande justesse.
Première
La puissance farcesque du film est extraordinaire, en grande partie grâce à la trogne hallucinante de Marcello Fonte (le petit toiletteur), magnifique « visage antique » (comme dit Garrone) faisant ressurgir par son expressivité bouleversante toute une Italie fantasmatique et oubliée.
Rolling Stone
Volontiers lugubre, Dogman propose, sans jamais l’exprimer frontalement, un regard en creux d’une Italie en proie aux interrogations les plus profondes et aux dérives qui peuvent en naître, qu’elle aime ou non les chiens…
Télé 2 semaines
Avec un incroyable sens de la mise en scène, Matteo Garrone brosse le portrait de cet homme entraîné dans une spirale de violence.
Télérama
Une Italie moribonde et froide, magistralement filmée : un enfer presque fantastique de béton écaillé dans une zone périphérique de bord de mer.
aVoir-aLire.com
Un drame humain âpre et amer, chargé de nihilisme, qui apporte une réponse féroce à l’avènement du populisme en Italie.
Ecran Large
Visuellement splendide et porté par une appétit mythologiaque indéniable, "Dogman" souffre de la simplicité et de la répétitivité de ses enjeux.
L'Obs
Ce que le cinéaste italien maîtrise jusqu’au bout, c’est une manière de créer un décor à la fois ultraréaliste et purement chimérique.
Le Monde
La réussite du nouveau film de Matteo Garrone tient, en effet, dans cet équilibre délicat, cette manière de faire croire à une nature grotesque, mais non irréaliste, de la vie elle-même.
Libération
En vrai, ce spectacle sadique ne tient que grâce à la performance de Marcello Fonte (prix d’interprétation à Cannes), sublime de dignité grave.
Cahiers du Cinéma
Le cinéaste rétrécit les perspectives de sa fable sociale au face-à-face des monstres, chien méchant contre chien blessé, dans un concours de gueules dont on espère par instants qu’il tire l’ensemble vers un grand carnaval macabre, et qui se termine à l’inverse, en plein désert. Plus que sa laideur, c’est cette courte vue qui signe l’échec de Dogman.
Critikat.com
Sous l’aspect modeste du petit fait divers qui s’offre les ors du 7e art sommeille un pessimisme encore moins aimable (...).