Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
22 critiques presse
Bande à part
par Danièle Heymann
Lafosse entraîne Virginie Efira et le jeune Kacey Mottet Klein au bout du monde pour un exaltant road movie existentiel.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
CNews
par La rédaction
Une histoire d’amour contrarié traitée à la manière d’un western.
Femme Actuelle
par Amélie Cordonnier
Cette adaptation d'un excellent roman de Laurent Mauvinier montre l'étendue du jeu de Virginie Efira.
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Une mise en scène organique, qui laisse aux remarquables Virginie Efira et Kacey Mottet Klein tout le soin d'incarner la complexité de ce couple.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
L'Obs
par Jérôme Garcin
Virginie Efira, impressionnante, porte porte sur ses épaules toutes les souffrances et tous les espoirs de Sybille.
Positif
par Vincent Thabourey
Ambitieux, parfois un peu bancal, "Continuer" s'affirme malgré tout comme une pièce maîtresse dans la trajectoire du metteur en scène.
Sud Ouest
par Sophie Avon
La chevauchée est également mentale, bien sûr, offrant un film splendide où les acteurs sont d’une justesse de chaque plan.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Les Fiches du Cinéma
par Marine Quinchon
Joachim Lafosse nous emmène jusque dans les steppes du Kazakhstan pour raconter comment une mère essaie de tisser des liens avec un fils qu’elle a longtemps abandonné. La tension permanente entre les deux personnages met le spectateur à rude épreuve.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Paris Match
par Karelle Fitoussi
Si on a la gorge nouée devant ce drame familial de l’incommunicabilité, on ne peut aussi parfois s’empêcher de penser à certains programmes de coaching/télé-réalité sur la jeunesse en danger.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Télérama
par Jacques Morice
Ce huis clos à ciel ouvert, adapté d’un roman de Laurent Mauvignier, vaut surtout pour les prestations de Virginie Efira et de Kacey Mottet Klein, tous deux intenses dans leur tendre affrontement.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par Lola Sciamma
Un western intime mère/fils aux paysages spectaculaires, dans lequel Virginie Efira a vraiment rendez-vous en terre inconnue.
Cahiers du Cinéma
par Thierry Méranger
L’intérêt de l’entreprise tient à la démesure bravache de cette ambition qui, surlignements musicaux à l’appui, la condamne trop souvent à l’emphase et à la surcharge lyrique.
Franceinfo Culture
par Pierre-Yves Grenu
Malgré l’implication des comédiens et le soin apporté à la réalisation, le film ne décolle malheureusement pas. Le choix d’un grand dépouillement, de dialogues maigres, épurés, et d’interminables silences n’est pas convaincant, l’intensité du livre n’est qu’effleurée.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Express
par Christophe Carrière
Remise en question, affrontement, un peu de complicité quand même... la routine du conflit familial, avec, pour seule originalité, un décor magnifiquement mis en valeur. Le fond n'en demeure pas moins prévisible, alourdi par des séquences bien trop longues, pour ne pas dire complaisantes.
L'Humanité
par Sophie Joubert
Malgré ses qualités, le film ne parvient pas à retrouver la nervosité, l’épaisseur et la fureur du roman de Laurent Mauvignier. En choisissant l’unité de temps et de lieu, Joachim Lafosse laisse de côté le passé des personnages et les questionnements politiques et sociaux pour se concentrer sur la relation mère-fils.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Libération
par Elisabeth Franck-Dumas
[...] dès lors que les dialogues prennent de l’ampleur, que le mystère s’évapore, que chacun est sommé de justifier ses actions de manière didactique, lourdingue ou carrément improbable [...], le film s’affaisse dans la caricature, et les plaines kirghizes [...] finissent par évoquer une esthétique Hollywood chewing-gum plutôt que hollywoodienne.
La critique complète est disponible sur le site Libération
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Une relation mère-fils trop peu développée pour susciter une réelle émotion, malgré un duo d’acteurs épatant.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Figaro
par La Rédaction
Tiré du livre de Laurent Mauvignier, ce film interminable peine à émouvoir.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
La beauté des paysages ne réussit pas à combler le manque d’enjeux psychologiques de ce road-movie interminable où tout sonne faux.
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
En une heure vingt-quatre, le film ne permet pas au spectateur de ressentir le temps qui passe, de saisir que la longueur du trajet pourrait avoir une influence sur l’éventuelle reconstruction psychologique des personnages.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ouest France
par Thierry Chèze
Toute la poésie fiévreuse du roman se dissout dans ce très long voyage.
Première
par Thierry Chèze
La densité des interprétations ne trouve que trop rarement d’écho au fil d’un récit qui jamais ne décolle. Une fois les enjeux posés, ce long voyage en terre étrangère peine à les transcender. Et la tension n’éclate que dans les moments convenus, ne suscitant jamais l’émotion brutale qu’elle est censée créer.
La critique complète est disponible sur le site Première
Bande à part
Lafosse entraîne Virginie Efira et le jeune Kacey Mottet Klein au bout du monde pour un exaltant road movie existentiel.
CNews
Une histoire d’amour contrarié traitée à la manière d’un western.
Femme Actuelle
Cette adaptation d'un excellent roman de Laurent Mauvinier montre l'étendue du jeu de Virginie Efira.
L'Obs
Une mise en scène organique, qui laisse aux remarquables Virginie Efira et Kacey Mottet Klein tout le soin d'incarner la complexité de ce couple.
L'Obs
Virginie Efira, impressionnante, porte porte sur ses épaules toutes les souffrances et tous les espoirs de Sybille.
Positif
Ambitieux, parfois un peu bancal, "Continuer" s'affirme malgré tout comme une pièce maîtresse dans la trajectoire du metteur en scène.
Sud Ouest
La chevauchée est également mentale, bien sûr, offrant un film splendide où les acteurs sont d’une justesse de chaque plan.
Les Fiches du Cinéma
Joachim Lafosse nous emmène jusque dans les steppes du Kazakhstan pour raconter comment une mère essaie de tisser des liens avec un fils qu’elle a longtemps abandonné. La tension permanente entre les deux personnages met le spectateur à rude épreuve.
Paris Match
Si on a la gorge nouée devant ce drame familial de l’incommunicabilité, on ne peut aussi parfois s’empêcher de penser à certains programmes de coaching/télé-réalité sur la jeunesse en danger.
Télérama
Ce huis clos à ciel ouvert, adapté d’un roman de Laurent Mauvignier, vaut surtout pour les prestations de Virginie Efira et de Kacey Mottet Klein, tous deux intenses dans leur tendre affrontement.
Voici
Un western intime mère/fils aux paysages spectaculaires, dans lequel Virginie Efira a vraiment rendez-vous en terre inconnue.
Cahiers du Cinéma
L’intérêt de l’entreprise tient à la démesure bravache de cette ambition qui, surlignements musicaux à l’appui, la condamne trop souvent à l’emphase et à la surcharge lyrique.
Franceinfo Culture
Malgré l’implication des comédiens et le soin apporté à la réalisation, le film ne décolle malheureusement pas. Le choix d’un grand dépouillement, de dialogues maigres, épurés, et d’interminables silences n’est pas convaincant, l’intensité du livre n’est qu’effleurée.
L'Express
Remise en question, affrontement, un peu de complicité quand même... la routine du conflit familial, avec, pour seule originalité, un décor magnifiquement mis en valeur. Le fond n'en demeure pas moins prévisible, alourdi par des séquences bien trop longues, pour ne pas dire complaisantes.
L'Humanité
Malgré ses qualités, le film ne parvient pas à retrouver la nervosité, l’épaisseur et la fureur du roman de Laurent Mauvignier. En choisissant l’unité de temps et de lieu, Joachim Lafosse laisse de côté le passé des personnages et les questionnements politiques et sociaux pour se concentrer sur la relation mère-fils.
Libération
[...] dès lors que les dialogues prennent de l’ampleur, que le mystère s’évapore, que chacun est sommé de justifier ses actions de manière didactique, lourdingue ou carrément improbable [...], le film s’affaisse dans la caricature, et les plaines kirghizes [...] finissent par évoquer une esthétique Hollywood chewing-gum plutôt que hollywoodienne.
aVoir-aLire.com
Une relation mère-fils trop peu développée pour susciter une réelle émotion, malgré un duo d’acteurs épatant.
Le Figaro
Tiré du livre de Laurent Mauvignier, ce film interminable peine à émouvoir.
Le Journal du Dimanche
La beauté des paysages ne réussit pas à combler le manque d’enjeux psychologiques de ce road-movie interminable où tout sonne faux.
Les Inrockuptibles
En une heure vingt-quatre, le film ne permet pas au spectateur de ressentir le temps qui passe, de saisir que la longueur du trajet pourrait avoir une influence sur l’éventuelle reconstruction psychologique des personnages.
Ouest France
Toute la poésie fiévreuse du roman se dissout dans ce très long voyage.
Première
La densité des interprétations ne trouve que trop rarement d’écho au fil d’un récit qui jamais ne décolle. Une fois les enjeux posés, ce long voyage en terre étrangère peine à les transcender. Et la tension n’éclate que dans les moments convenus, ne suscitant jamais l’émotion brutale qu’elle est censée créer.