Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
40 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Vincent Lacoste livre une performance époustouflante.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Closer
par La Rédaction
Sensible sans jamais verser dans la pathos.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Isaure Multrier est cette enfant bouleversante et Vincent Lacoste, dans son rôle le plus fort à ce jour, l’oncle bienveillant. Mikhaël Hers les magnifie avec délicatesse et force, dans un Paris post-attentats au temps suspendu, où la vie continue, mais pas comme avant.
La critique complète est disponible sur le site Dernières Nouvelles d'Alsace
L'Humanité
par Emile Breton
Le film, justement, parce qu'il ne dicte rien au spec tateur, laisse à celui-ci tout loisir de faire son chemin dans cet entrelacs de vies et d'événements qu'il met en scène. Mise en scène est le terme qui s'impose.
Les Inrockuptibles
par Gérard Lefort
"Amanda" nous pique au cœur, comme nous cueille la jeune actrice Isaure Multrier, incarnation bouleversante, jusqu’à une épiphanie finale qui la cadre, radieuse, gorgée d’avenir.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Marianne
par Olivier de Bruyn
Toujours à bonne distance de ses protagonistes et en premier lieu de David, interprété magistralement par Vincent Lacoste, Mikhaël Hers met en scène un film qui étonne par sa justesse et son étrange douceur.
Marie Claire
par Emily Barnett
Pour aborder ce sujet difficile, "Amanda" fait preuve d'une grâce et d'une précision formidables.
Sud Ouest
par Sophie Avon
La sensibilité violente au service de situations jamais expédiées, aboutit à une oeuvre lumineuse et bouleversante.
Télérama
par Jérémie Couston
Un mélodrame magnifique sur l’apprivoisement de deux êtres.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Il fallait bien toute la douceur du regard de Mikhaël Hers pour envelopper d’une telle grâce ce sujet poignant.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
BIBA
par Lili Yubari
Minimaliste, sans psychologisation, bâti sur de toutes petites choses, le film, dont la puissance est à double détente, parle de ceux qui restent sans une once de haine, agissant comme le plus miraculeux des baumes réparateurs.
Bande à part
par Anne-Claire Cieutat
Autour du deuil et de la paternité, Mikhaël Hers tisse un récit ultrasensible et offre à Vincent Lacoste un de ses plus beaux rôles à ce jour.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
CNews
par La rédaction
[...] un drame familial poétique et délicat sur la difficulté du deuil.
Cahiers du Cinéma
par Florence Maillard
Le cinéma de Mikhaël Hers a souvent affaire au deuil et à la tristesse. Amanda rejoint cette inspiration d’une manière assez radicale, tout en y puisant sans doute un ressort de délicatesse – c’est de toute façon sa manière, rarement aussi limpide et véloce qu’ici.
CinemaTeaser
par Renan Cros
Un film comme un pansement pour nous apprendre à guerrir, quand bien même.
Elle
par Françoise Delbecq
Un drame fort et délicat.
Femme Actuelle
par Sabrina Nadjar
Un film d'une élégance solaire, tout en retenue.
L'Express
par Antoine Le Fur
En somme, le long-métrage a de grandes chances de bouleverser son monde.
La Septième Obsession
par Claire Micallef
S’il existait une filmo-thérapie, comme on parle actuellement de Biblio-thérapie, il faudrait à tout prix prescrire les films de Mikhaël Hers..
Le Dauphiné Libéré
par La Rédaction
Un film sensible sur la reconstruction post-traumatique, où l'émotion évite tous les pièges du pathos.
Le Figaro
par Nathalie Simon
Mikhael Hers signe un long-métrage très émouvant. Vincent Lacoste est toujours au sommet.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Sa mise en scène est aussi sobre qu'élégante, ses personnages sont parfaitement dessinés, et les comédiens qui les incarnent, d'une troublante sincérité.
Le Monde
par Véronique Cauhapé
De ce climat de violence et de fragilité, le cinéaste tire une élégance qui lui est propre. Une pudeur qui se manifeste à travers un art de l’ellipse et de la respiration dont on ne peut que lui savoir gré.
Le Parisien
par La Rédaction
Un film profondément émouvant.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Clément Deleschaud
Mikhaël Mers poursuit son exploration délicate de la persistance du deuil et du chagrin nécessaire à le voir s'évanouir peu à peu dans ce film dense et complexe, parfois un peu bavard, mais fondu en un alliage éminemment touchant d'irréalité et de trivialité.
Ouest France
par Gilles Kerdreux
L'ensemble forme un film d'une infinie tendresse.
Positif
par Louise Dumas
Si le souvenir des récents traumatismes collectifs habite les images d'"Amanda", ce sont bien les relations intimes d'une petite constellation de personnages à l'épreuve du deuil qui intéressent Hers et qu'il explore avec pudeur et délicatesse.
Première
par Anouk Féral
Hers retravaille magistralement ses thèmes de prédilection. Ils sont pris en charge par un Vincent Lacoste ému et émouvant comme jamais, qui poursuit son exploration d’un registre plus adulte.
La critique complète est disponible sur le site Première
Transfuge
par Léocadie Handke
Il semble que la délicatesse première du réalisateur l'aide à aborder la tragédie et l'émotion des personnages de façon franche, sans hésiter à s'approcher du mélodrame, ce qui ouvre le film, lui donne toute sa respiration.
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
On est absolument conquis.
Télé Loisirs
par Claire Picard
Un film pudique, lumineux et émouvant, avec des acteurs au naturel confondant.
Voici
par Lola Sciamma
Un drame incroyablement apaisé et absolument déchirant.
Critikat.com
par Alain Zind
Si "Amanda" n’évite pas certaines maladresses, le film est toutefois porté par une vivacité d’écriture et d’exécution au service de ses personnages, mettant partiellement en retrait son arrière-plan politique.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Ecran Large
par Geoffrey Crété
Vincent Lacoste mène avec talent ce drame, qui aborde avec pudeur le Paris brisé par les attentats. Et c'est bien le talent des acteurs qui permet de donner de la vie à ce drame qui manque souvent de force en terme d'écriture et mise en scène.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Obs
par Jérôme Garcin
Un film fragile, mais dans le bon sens du terme.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
Toujours sur le fil de l’émotion, interprété avec brio par un Vincent Lacoste qui élargit ainsi son registre et une jeune actrice étonnante de maturité, le film revendique sa force mélodramatique tout en évitant de tomber dans le pathos. Sauf dans une dernière partie inutilement signifiante autour d’un match de tennis à Wimbledon faisant office de leçon de vie.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Amanda se révèle un objet tendre, fragile et hésitant, qui refuse délibérément l’envergure attendue sur un tel sujet. C’est à la fois sa force et sa faiblesse.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Culturopoing.com
par Sophie Yavari
Le versant de la catastrophe intime, peine à toucher le spectateur autant qu’il le devrait. Alors que "Ce sentiment de l’été" fournissait l’occasion au réalisateur de filmer avec brio le vide et la latence, le traitement du deuil et de l’absence, autour desquels se déploie "Amanda" est moins systématiquement probant.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Franceinfo Culture
par Pierre-Yves Grenu
Certes il reste ce charme léger, ce parfum de vie quotidienne "pour de vrai", mais rien de transcendant.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Libération
par Marcos Uzal
Le cinéaste force l’émotion en surjouant la simplicité, la sincérité, la maladresse, jusqu’à gommer toute aspérité.
La critique complète est disponible sur le site Libération
20 Minutes
Vincent Lacoste livre une performance époustouflante.
Closer
Sensible sans jamais verser dans la pathos.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Isaure Multrier est cette enfant bouleversante et Vincent Lacoste, dans son rôle le plus fort à ce jour, l’oncle bienveillant. Mikhaël Hers les magnifie avec délicatesse et force, dans un Paris post-attentats au temps suspendu, où la vie continue, mais pas comme avant.
L'Humanité
Le film, justement, parce qu'il ne dicte rien au spec tateur, laisse à celui-ci tout loisir de faire son chemin dans cet entrelacs de vies et d'événements qu'il met en scène. Mise en scène est le terme qui s'impose.
Les Inrockuptibles
"Amanda" nous pique au cœur, comme nous cueille la jeune actrice Isaure Multrier, incarnation bouleversante, jusqu’à une épiphanie finale qui la cadre, radieuse, gorgée d’avenir.
Marianne
Toujours à bonne distance de ses protagonistes et en premier lieu de David, interprété magistralement par Vincent Lacoste, Mikhaël Hers met en scène un film qui étonne par sa justesse et son étrange douceur.
Marie Claire
Pour aborder ce sujet difficile, "Amanda" fait preuve d'une grâce et d'une précision formidables.
Sud Ouest
La sensibilité violente au service de situations jamais expédiées, aboutit à une oeuvre lumineuse et bouleversante.
Télérama
Un mélodrame magnifique sur l’apprivoisement de deux êtres.
aVoir-aLire.com
Il fallait bien toute la douceur du regard de Mikhaël Hers pour envelopper d’une telle grâce ce sujet poignant.
BIBA
Minimaliste, sans psychologisation, bâti sur de toutes petites choses, le film, dont la puissance est à double détente, parle de ceux qui restent sans une once de haine, agissant comme le plus miraculeux des baumes réparateurs.
Bande à part
Autour du deuil et de la paternité, Mikhaël Hers tisse un récit ultrasensible et offre à Vincent Lacoste un de ses plus beaux rôles à ce jour.
CNews
[...] un drame familial poétique et délicat sur la difficulté du deuil.
Cahiers du Cinéma
Le cinéma de Mikhaël Hers a souvent affaire au deuil et à la tristesse. Amanda rejoint cette inspiration d’une manière assez radicale, tout en y puisant sans doute un ressort de délicatesse – c’est de toute façon sa manière, rarement aussi limpide et véloce qu’ici.
CinemaTeaser
Un film comme un pansement pour nous apprendre à guerrir, quand bien même.
Elle
Un drame fort et délicat.
Femme Actuelle
Un film d'une élégance solaire, tout en retenue.
L'Express
En somme, le long-métrage a de grandes chances de bouleverser son monde.
La Septième Obsession
S’il existait une filmo-thérapie, comme on parle actuellement de Biblio-thérapie, il faudrait à tout prix prescrire les films de Mikhaël Hers..
Le Dauphiné Libéré
Un film sensible sur la reconstruction post-traumatique, où l'émotion évite tous les pièges du pathos.
Le Figaro
Mikhael Hers signe un long-métrage très émouvant. Vincent Lacoste est toujours au sommet.
Le Journal du Dimanche
Sa mise en scène est aussi sobre qu'élégante, ses personnages sont parfaitement dessinés, et les comédiens qui les incarnent, d'une troublante sincérité.
Le Monde
De ce climat de violence et de fragilité, le cinéaste tire une élégance qui lui est propre. Une pudeur qui se manifeste à travers un art de l’ellipse et de la respiration dont on ne peut que lui savoir gré.
Le Parisien
Un film profondément émouvant.
Les Fiches du Cinéma
Mikhaël Mers poursuit son exploration délicate de la persistance du deuil et du chagrin nécessaire à le voir s'évanouir peu à peu dans ce film dense et complexe, parfois un peu bavard, mais fondu en un alliage éminemment touchant d'irréalité et de trivialité.
Ouest France
L'ensemble forme un film d'une infinie tendresse.
Positif
Si le souvenir des récents traumatismes collectifs habite les images d'"Amanda", ce sont bien les relations intimes d'une petite constellation de personnages à l'épreuve du deuil qui intéressent Hers et qu'il explore avec pudeur et délicatesse.
Première
Hers retravaille magistralement ses thèmes de prédilection. Ils sont pris en charge par un Vincent Lacoste ému et émouvant comme jamais, qui poursuit son exploration d’un registre plus adulte.
Transfuge
Il semble que la délicatesse première du réalisateur l'aide à aborder la tragédie et l'émotion des personnages de façon franche, sans hésiter à s'approcher du mélodrame, ce qui ouvre le film, lui donne toute sa respiration.
Télé 7 Jours
On est absolument conquis.
Télé Loisirs
Un film pudique, lumineux et émouvant, avec des acteurs au naturel confondant.
Voici
Un drame incroyablement apaisé et absolument déchirant.
Critikat.com
Si "Amanda" n’évite pas certaines maladresses, le film est toutefois porté par une vivacité d’écriture et d’exécution au service de ses personnages, mettant partiellement en retrait son arrière-plan politique.
Ecran Large
Vincent Lacoste mène avec talent ce drame, qui aborde avec pudeur le Paris brisé par les attentats. Et c'est bien le talent des acteurs qui permet de donner de la vie à ce drame qui manque souvent de force en terme d'écriture et mise en scène.
L'Obs
Un film fragile, mais dans le bon sens du terme.
La Croix
Toujours sur le fil de l’émotion, interprété avec brio par un Vincent Lacoste qui élargit ainsi son registre et une jeune actrice étonnante de maturité, le film revendique sa force mélodramatique tout en évitant de tomber dans le pathos. Sauf dans une dernière partie inutilement signifiante autour d’un match de tennis à Wimbledon faisant office de leçon de vie.
La Voix du Nord
Amanda se révèle un objet tendre, fragile et hésitant, qui refuse délibérément l’envergure attendue sur un tel sujet. C’est à la fois sa force et sa faiblesse.
Culturopoing.com
Le versant de la catastrophe intime, peine à toucher le spectateur autant qu’il le devrait. Alors que "Ce sentiment de l’été" fournissait l’occasion au réalisateur de filmer avec brio le vide et la latence, le traitement du deuil et de l’absence, autour desquels se déploie "Amanda" est moins systématiquement probant.
Franceinfo Culture
Certes il reste ce charme léger, ce parfum de vie quotidienne "pour de vrai", mais rien de transcendant.
Libération
Le cinéaste force l’émotion en surjouant la simplicité, la sincérité, la maladresse, jusqu’à gommer toute aspérité.