Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Un déchaînement carnavalesque qui sied parfaitement au style spasmophile de Masaaki Yuasa. Ainsi, chaque tour de chant de la sirène fait basculer le conte dans la comédie musicale, le temps d’un sabbat de J-pop acidulée. La maigre ligne des personnages se met alors à vibrer d’énergie dans un gigantesque bazar, chaque jambe, chaque bras hurlant soudainement son besoin de se libérer.
La critique complète est disponible sur le site Libération
"Lou et l'île aux sirènes" est l'une des plus belles preuves de récente mémoire que s'adresser au plus grand nombre n'est pas automatiquement synonyme de formatage créatif.
En donnant à voir l’avant- Hiroshima à travers le quotidien de la région et de l’époque, avec une grande minutie, le réalisateur Sunao Katabuchi fait de ce portrait de femme un récit universel, triste et beau.
Joyeux et optimiste, le film se déguste comme un bonbon acidulé. Le trait pop de Masaaki Yuasa traduit une grande foi dans l’innocence de l’adolescence comme référence pour l’âge adulte.
"Lou et l’île aux sirènes" regorge d’énergie et de trouvailles visuelles, tant dans les couleurs que dans la représentation de l’eau. Les amateurs d’Abyss, où James Cameron se livrait à d’étranges manipulations aquatiques, apprécieront l’hommage.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Tant qu’il reste intime, le film séduit : pas factice, il dégage de la sensibilité derrière sa mignardise, avec un sens géographique élaboré : chaque lieu prend un sens poétique et dévoile une belle cohérence composée. Cela se gâte après une amusante scène de fête villageoise qui dégénère, entraînant la suite dans un déluge criard.
Le récit de Yuasa mêle le conte fantastique avec la fable humaine et sociale, le tout sur fond de teen movie. Le résultat ne manque pas de rythme et le film maintient son degré d’exubérance de bout en bout.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Comme ses illustres modèles, le film organise la rencontre entre deux mondes (...). Sa réussite tient moins à son scénario, somme toute balisé, qu’au déchaînement plastique qu’il suscite, entraînant le spectateur dans un véritable carnaval de formes et de couleurs vives en perpétuelles métamorphoses.
Il faut un temps à l’œil pour s’habituer et goûter pleinement le style si particulier de Yuasa, qui aime alterner les vignettes grotesques sur fond de pop japonaise délirante et un propos plus sérieux sur la différence et la course au vedettariat.
La critique complète est disponible sur le site Première
Émaillé de morceaux musicaux (Kai tâte de la guitare avec ses copains), le film grouille d'audaces visuelles, tels ces poissons dans la chevelure de Lou. Le récit prend peu à peu des allures de trip sous acide, d'une singularité intrigante, mais dont les couleurs saturées et le délire frénétique lassent un peu.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Masaaki Yuasa ne sait pas conclure, prolongeant indéfiniment les rebondissements pour tenter de maintenir l’intérêt. Tout semble être fait pour convaincre le public de l’originalité du spectacle qui lui est offert.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Point
Le dessin animé pop de Masaaki Yuasa, grand vainqueur du dernier Festival d'Annecy, est une véritable pépite à voir de toute urgence.
Libération
Un déchaînement carnavalesque qui sied parfaitement au style spasmophile de Masaaki Yuasa. Ainsi, chaque tour de chant de la sirène fait basculer le conte dans la comédie musicale, le temps d’un sabbat de J-pop acidulée. La maigre ligne des personnages se met alors à vibrer d’énergie dans un gigantesque bazar, chaque jambe, chaque bras hurlant soudainement son besoin de se libérer.
Mad Movies
"Lou et l'île aux sirènes" est l'une des plus belles preuves de récente mémoire que s'adresser au plus grand nombre n'est pas automatiquement synonyme de formatage créatif.
20 Minutes
Cette nouvelle réussite distribuée par Eurozoom (Your name) prouve que l’animation japonaise est dans une santé éblouissante.
CNews
En donnant à voir l’avant- Hiroshima à travers le quotidien de la région et de l’époque, avec une grande minutie, le réalisateur Sunao Katabuchi fait de ce portrait de femme un récit universel, triste et beau.
Elle
Cette histoire de sirènes japinaises a tout pour plaire aux enfants, même aux grands.
Le Figaro
Un conte fou et délicat.
Les Fiches du Cinéma
Joyeux et optimiste, le film se déguste comme un bonbon acidulé. Le trait pop de Masaaki Yuasa traduit une grande foi dans l’innocence de l’adolescence comme référence pour l’âge adulte.
Positif
Bref, un véritable feu d’artifce d’idées visuelles qui renouvelle joyeusement l’univers du manga.
Télérama
"Lou et l’île aux sirènes" regorge d’énergie et de trouvailles visuelles, tant dans les couleurs que dans la représentation de l’eau. Les amateurs d’Abyss, où James Cameron se livrait à d’étranges manipulations aquatiques, apprécieront l’hommage.
Cahiers du Cinéma
Tant qu’il reste intime, le film séduit : pas factice, il dégage de la sensibilité derrière sa mignardise, avec un sens géographique élaboré : chaque lieu prend un sens poétique et dévoile une belle cohérence composée. Cela se gâte après une amusante scène de fête villageoise qui dégénère, entraînant la suite dans un déluge criard.
Critikat.com
Le récit de Yuasa mêle le conte fantastique avec la fable humaine et sociale, le tout sur fond de teen movie. Le résultat ne manque pas de rythme et le film maintient son degré d’exubérance de bout en bout.
Le Monde
Comme ses illustres modèles, le film organise la rencontre entre deux mondes (...). Sa réussite tient moins à son scénario, somme toute balisé, qu’au déchaînement plastique qu’il suscite, entraînant le spectateur dans un véritable carnaval de formes et de couleurs vives en perpétuelles métamorphoses.
Première
Il faut un temps à l’œil pour s’habituer et goûter pleinement le style si particulier de Yuasa, qui aime alterner les vignettes grotesques sur fond de pop japonaise délirante et un propos plus sérieux sur la différence et la course au vedettariat.
Studio Ciné Live
Émaillé de morceaux musicaux (Kai tâte de la guitare avec ses copains), le film grouille d'audaces visuelles, tels ces poissons dans la chevelure de Lou. Le récit prend peu à peu des allures de trip sous acide, d'une singularité intrigante, mais dont les couleurs saturées et le délire frénétique lassent un peu.
La Croix
Masaaki Yuasa ne sait pas conclure, prolongeant indéfiniment les rebondissements pour tenter de maintenir l’intérêt. Tout semble être fait pour convaincre le public de l’originalité du spectacle qui lui est offert.
L'Obs
La mise en scène est sans grâce. Une esthétique balourde et un graphisme mécanique excluent toute possibilité de magie ou d’éblouissement.