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    Une ode américaine
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    Del arte
    Del arte

    14 abonnés 407 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 24 août 2023
    Les films de Ron Howard c'est comme les film de Clint Eastwood, toujours très bon. ici, il s'attaque au mythe du rêve américain et à cet entêtement à croire qu'il n'existe pas de déterminisme social comme pourrait le prétendre Howard Becker. Ici, c'est tout le contraire et nous voyons la vie d'une jeune au moment cruciale de son stage d'embauche traverser son enfance et revoir tous les moments d'égarement qui font qu'un déterminisme social s'immisce dans la vie de certains, surtout s'ils sont natifs d'une bourgade et qu'ils prononcent mal les mots. Bien sur le déterminisme existe dans les deux sens. On en a la preuve évidente avec ce film tourné par des acteurs de talent. On dirait le fils de Matt Damon, et d'autres très connus aussi. Peut-être un clin d'oeil à Happy Days ?
    Le Video Club De Sabrina
    Le Video Club De Sabrina

    30 abonnés 350 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 mars 2021
    Etudiant à Yale après avoir servi comme Marine dans l’armée américaine en Irak, JD Vance se prépare à intégrer un grand cabinet d’avocat malgré ses origines modestes.
    Mais le passé va brutalement le rattraper, sa mère est hospitalisée et JD va devoir retourner sur les lieux de son enfance et retrouver tout ce qu’il avait voulu quitter.
    Une ode américaine est une chronique familiale inspirée sur une Amérique « white trash » qui cherche à se faire une place à la table des puissants.
    Les acteurs sont formidables avec une mention spéciale au duo mère-fille composé de Glenn Close et Amy Adams, méconnaissables et littéralement habitées.
    Un excellent film tiré d’une histoire vraie, émouvant, touchant sur une Amérique des laissés pour compte, loin, très loin du rêve américain tel que nous le concevons.
    A découvrir !

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    paganini
    paganini

    8 abonnés 87 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 14 décembre 2020
    une grande banalité tournant sur 2 axes: d'une part des flashbacks de scènes dures d'une jeunesse compliquée d'un gamin avec une mère toxico et taré dans la campagne americaine et sa grand-mère qui fait ce qu'elle peut pour l'aider. et e l'autre part un présent où le gamin devenu brillant étudiant tente de s'en sortir malgré ce passé qui le rappelle. et voilà flashback, présent, flashback, présent... ennuyeux au possible. belles performances pour les 2 actrices principales mais ça ne sauve pas un film.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 10 janvier 2021
    Avec "Une Ode Américaine" : Ron Howard, que je connais juste de nom, signe un grand film de cinéma. Gorgée de soleil et d'émotion, ce drame indépendant est un bel hommage à la population ouvrière délaisser par les médias. "Celle qui a voter Trump", comme le disait avec condescendance un certain journal. Franchement j'ai beaucoup aimé ce film, qui est sans prétention, simple et lumineux. Qui tient autant de sa superbe photographie, sa musique très country mais adapté aux cadre que ses performances d'actrices incroyables. Ainsi Amy Adams livre une performance de toute beauté, aussi agaçante que bouleversante, elle évite tout les clichés que peut apporter un tel personnage. Un peu comme l'avait était Susan Sarandon dans Ma Vie avec John F. Donovan, en 2018.

    Glenn Close, que je n'avais jamais vu jouer, m'as réellement surprise, pleine de grâce et de retenue. Je lui souhaite de remporter la statuette des Oscars qu'elle convoite tant et mérite depuis longtemps. Et si c'était pour ce rôle de Memaw, quel délice ce serait ! Ron Howard réussit à nous marquer les esprits avec cette superbe peinture sociale, autant qu'il nous donne envie de lire le best-seller dont il est tiré.
    Yetcha
    Yetcha

    761 abonnés 4 292 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 février 2021
    Un film dur qui prouve qu'il y a toujours un espoir de réussite s'il y a une volonté et un contrôle parental qui pousse derrière en stimulant et en guidant les choix des plus jeunes. Un milieu social terriblement difficile qui montre à quel point nous sommes chanceux de ne pas être dans une situation pareille. Une transformation physique incroyable d'Amy Adams et Glenn Close.
    Alasky
    Alasky

    293 abonnés 3 090 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 février 2024
    Portrait d'une Amérique en quête de cet "eldorado" depuis des générations. Beau biopic sur l'homme d'affaires et politicien J. D. Vance, cette Hillbilly Elegy est agréable à visionner tant le casting est excellent et pertinent.
    Stéphane D
    Stéphane D

    96 abonnés 2 045 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 17 octobre 2022
    Il y a des histoires "difficiles". Celle-ci en fait partie et c'est peut-être pas le meilleur choix pour se détendre après une journée de boulot.
    Le style biographie tirée d'une histoire vraie renforce le sérieux du projet. Enthousiasmant, quand-même pas.
    Charlotte28
    Charlotte28

    95 abonnés 1 762 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 décembre 2020
    Une plongée sans concession au cœur d'une famille dysfonctionnelle où les difficultés économiques, psychologiques et émotionnelles semblent s'accumuler dans un tourbillon que seules la résilience et la force de caractère peuvent briser: malgré une atmosphère éprouvante, le film se veut optimiste en renvoyant chacun à sa responsabilité individuelle. Portés par des comédiens pleinement impliqués - Glenn Close, émouvante, et Amy Adams, bluffante, en tête - les personnages touchent même si la mère, absolument indigne, n'aura jamais gagné mon empathie par son incarnation de l'absurdité d'affirmer que vouloir des enfants et ressentir la fibre maternelle seraient naturels. Nous pourrons toutefois souligner l'inégale force des thèmes liés au cocon familial et aux déterminismes sociétaux face à l'amourette du fils au milieu de sa période d'entretiens d'embauche mais cela permet de ralentir le rythme (cardiaque). Une réalisation convaincante.
    gooneur
    gooneur

    42 abonnés 840 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 février 2021
    Une chronique sociale de l'Amérique ordinaire plutôt bien menée, portée par ses 2 interprètes féminines principales, très justes. Le scénario et le dénouement convenu n'apportent aucune surprise par contre, ce qui limite l'aura du film.
    📞 Appelez-moi Jo
    📞 Appelez-moi Jo

    16 abonnés 187 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 novembre 2020
    Le réalisateur se concentre surtout sur la psychologie des personnages, sur les liens qui unissent ces trois générations...🤔
    Ufuk K
    Ufuk K

    472 abonnés 1 406 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 novembre 2020
    " Une ode américaine" film en partie autobiographique diffusé sur Netflix est un drame social touchant. En effet le film doit beaucoup à son tandem actrices Amy Adams et Glenn Close qui pourraient être nommées aux oscars cette année avec la belle performance de Gabriel Basso également dans un mélo intense, poignant et dense qui décrit une certaine Amérique profonde et la difficulté de s'extraire de son milieu d'origine.
    Audrey L
    Audrey L

    562 abonnés 2 426 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 11 avril 2021
    Un film de Ron Howard, c'est souvent la promesse d'un rythme soigné qui nous empêche de décrocher du récit qui dure (quasi-systématiquement) deux heures, une recette que l'on commence à connaître, sans pour autant s'en lasser. Cette fois, le papa de la saga Da Vinci Code, de Solo (A Star Wars Story) et surtout du très bon Rush, adapte le roman autobiographique de J.D. Vance, et nous amène dans l'Amérique rurale au sein d'une famille très attachante malgré ses lourds secrets. Nous suivons donc la vie du jeune garçon de la famille, qui doit composer au quotidien avec une mère toxicomane et violente (Amy Adams, en grande forme), une mamie qui tente de porter à bout de bras sa fille et son petit-fils, mais cache elle-même un drame effrayant, et un père aux abonnés absents. Sensible et un peu pataud, le garçon est le souffre-douleur des enfants du coin, et tentera en grandissant de s'échapper de ce lieu qui représente tout ce qui le hante. Mais en débarquant en ville, les problèmes continuent quand il se voit traité comme un véritable bouseux par les hautains rupins à la cravate bien nouée... On se prend vite au jeu de la pitié et de la compassion pour ce garçon et jeune homme (respectivement Owen Asztalos et Gabriel Basso, deux inconnus au bataillon qui font un joli exploit) qui endure tant bien que mal sa vie de malaimé et rejeté, sans pouvoir se plaindre (à part à sa mémé). Glenn Close est tout à fait convaincante, en plus d'être le sosie parfait de son modèle réel (on se demande si ce n'est pas elle, dans les images d'archives), et nous a déchiré le cœur en fin de film (sans en dire plus). L'intrigue est encore ce qui se fait de mieux dans ce drame qui sent parfois le mélo facile, en nous montrant le vrai sens de la famille, ses douleurs et ses moments de joie. L'interprétation est impeccable, voire impressionnante pour les deux acteurs qui campent J.D. Vance, deux découvertes en une. Une ode américaine n'a pas la prétention de révolutionner le récit de vie dramatique, et n'est pas toujours loin du mélo, mais il porte fièrement son casting dans une intrigue sensible et humaine.
    Cinememories
    Cinememories

    444 abonnés 1 434 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 21 mars 2021
    Si le best-seller de J.D. Vance une constante, l’engagement de Ron Howard en est donc la variable dans une adaptation qui tente, maladroitement, de dépeindre une Amérique Profonde. Bien que l’on ne puisse amputer de la personnalité dans son support littéraire, il reste bien des choses à combler, notamment dans les fossés générationnels que le récit exploite et suralimente à outrance. L’autobiographie de Vance perd ainsi toute la substance de crise qu’elle hurle, car elle ne parvient pas à être filmée comme une odyssée. Mais plus important encore, il nous sera rarement donné l’occasion de participer au caractère authentique de l’ascension. Nous cherchons ardemment cette fiabilité et nous la rechercherons encore dans les ultimes instants, censés réconcilier les esprits, mais à la surprise du spectateur, il sera le fameux délaissé d’une histoire aussi indigeste qu’oubliable.

    Il manque fatalement de la chair dans cette famille qui n’a pas plus de fonctions qu’être dysfonctionnel pour la caricature. Pourtant, l’intention est ailleurs, mais alors où ? Sans doute dans une charte de reconstitution épineuse, afin de ne pas heurter la sensibilité et la cohérence de la jeunesse de J.D. (Gabriel Basso). L’enchaînement des péripéties, voire des anecdotes, témoignent toutefois d’une paresse de mise en scène et d’un aspecta aléatoire dans le miroir d’un univers que l’on cherche à nous présenter à l’état brut. Au lieu de cela, il sera très compliqué de lier deux temporalités sur la base d’une émotion, à la fois mélancolique et alcoolique. Oui, l’ivresse fait également partie des valeurs que partages une famille qui n’arrive évidemment à communiquer. Si un rapport de domination vient entrevoir nos espoirs d’un développement saisissant, ce sera à l’opposée que l’on se trouvera, démuni dans un glamour qui sonne faux et qui nous laissera surtout sur le palier de chaque problématique. Et quand bien même il ne s’agit que d’une seule forme de maladie, qui campe dans la cellule familiale depuis des générations, il y a un moment où les traditions s’éparpillent dans les crocs de la modernité.

    Entre l’insécurité sociale qui enterre un peu plus ceux qui tentent malgré eu de survivre et le fauteuil confortable d’une classe aisée, mais ignorante, il y avait de la place pour bâtir une solide cristallisation d’une nation, plus que jamais en proie au doute et à ses propres valeurs, d’ordre religieux ou politique. Malheureusement, c’est un vide qui s’installe au-dessus d’une narration qui feint l’immersion et qui feint tout l’aspect ludique qui devrait s’en dégager. Et s’il fallait seulement se soumettre à ces absences, afin de nous confronter à l’humanité dans son habitat hostile et toxique, Bev (Amy Adams) manque de nous rassurer dans son angoisse et sur l’emprise qu’elle a sur ses enfants, comme sur ses aînées. En parallèle, sa fille Lindsay (Haley Bennett) est rongée par son envie d’assumer sa fuite et son émancipation par le mariage. Hélas, ce qui coule dans les gènes est bien plus fort que tout, à tel point qu’une interdépendance persiste à ramener chacun membre vers son remords. De même, la matriarche Mamaw (Glenn Close) incarne la droiture et inspire un respect qui ne sera qu’au service d’une empathie des plus discrète.

    Les incompréhensions continuent de manquer et « Hillbilly Elegy » (Une Ode Américain) marche dans une toute autre crasse que celle qu’elle tente de décrire. Le montage cultive également de la lourdeur dans des propos, qui ne fait qu’avancer en justifiant des actes. Pire encore, Howard manque de capturer cette face cachée d’une Amérique qui ne vit pas uniquement dans le traumatisme. C’est bel et bien un récit horrifique, dont il valait mieux aborder à une échelle adaptée plutôt que de priver la vision symbiotique de toutes nuances, et même de sens. Ainsi, cet échec surligne un peu plus cette distance qui sépare le cinéaste de ses sujets.
    I'm A Rocket Man
    I'm A Rocket Man

    226 abonnés 2 885 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 12 janvier 2024
    Mon Dieu que ce film est beau... dur et beau comme on les aime ! L'histoire de cet homme, issu d'une famillep auvre du Kentucky, qui souhaite réussir en tant qu'avocat à NY m'a complètement bouleversé... il est touchant, adorable et courageux et j'ai adoré ça ! Mais en plus on suit l'histoire de sa mère hystérique et toxicomane et franchement c'est super dur... mais ce que j'ai préféré dans ce film c'est la prestation de la sublime et talentueuse Glenn Close ! Elle campe ici le rôle de la gand mère du jeune J.D et elle est incoryable !! la transformation physique est saisissante mais c'est surtout qu'elle joue divinement bien & j'en ai eu les larmes aux yeux plusieurs fois tant son rôle de 'Mamaw' rigide mais aimante m'a secoué !! Pis en plus nous retrouvons dans ce film la délicieuse Freida Pinto (que j'aime beaucoup) et ca c'est la petite cerise sur le sunday... je recommande vraiment ce film à tout le monde car en prime il est tiré d'une histoire vraie et c'est beau ! C'est très beau...
    Dik ap Prale
    Dik ap Prale

    159 abonnés 2 773 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 7 décembre 2020
    L'objectivité d'Une Ode Américaine, via sa structure et l'impact de chacun de ses sujets traité, permet à Ron Howard de signer l'une de ses œuvres les plus envieuses. Non pas celle sur laquelle il peut intervenir sous n'importe quelle pression pour sauver un naufrage annoncé sous l'étiquette Disney, non pas celle où il lâche sa casquette d'acteur pour briller en tant que réalisateur, ni celle où il adapte le plus grand succès littéraire au monde pour en faire un succès cinématographique mondial, mais l'œuvre qui le place enfin en tant que très grand dans la profession. Une sensibilité et une compréhension du sujet toujours plus admirable.
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