Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Bande à part
par Nadia Meflah
Dans la lignée des cinéastes humanistes, d’Andreï Tarkovski à Akira Kurosawa, Lav Diaz tisse dans son dernier film Quand les vagues se retirent une superbe fausse intrigue policière, contaminée par la souffrance humaine.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Culturopoing.com
par Michaël Delavaud
Œuvre amère, contemplative mais fulgurante à l'échelle de la filmographie de Diaz, d'une grande beauté graphique, misant sur l'attente autant que sur la violence nécessaire qu'elle prépare [...], "Quand les vagues se retirent" s'avère un cri de colère et de désespoir sortant du cœur endolori d'un cinéaste profondément désabusé.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Transfuge
par Jean-Noël Orengo
Un chef-d'œuvre.
L'Humanité
par Pierre Barbancey
Ce long métrage, tourné en 16 mm, impose une vision terrible, presque étouffante, rehaussée par un noir et blanc granuleux et un montage subtil.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par X. L.
Une dénonciation frontale des dérives meurtrières d’un pays fascisant, mis en scène de manière implacable par un des plus grands cinéastes contemporains.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par Xavier Leherpeur
Un film tout en épure, qui tutoie le hiératique païen pour dire la putréfaction de l’être humain.
Le Monde
par Cl. F.
L’incandescent Lazaro incarne un esprit fou, plongé dans la religion, cherchant à convertir les âmes perdues (prostituées, etc.), se livrant à d’inoubliables transes, dans des clairs-obscurs dont Lav Diaz a le secret.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Marine Quinchon
Chaque film de Lav Diaz est une expérience et le dernier ne déroge pas à la règle. Ce thriller policier et politique, rugueux jusque dans le traitement de son habituel noir et blanc, déroule ses plans séquences avec maestria. Captivant.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Arnaud Hallet
Entre les vagues et les potagers, les cris des coqs et les soleils fébriles, la magie noire qui se dégage du film en devient obsédante. Lav Diaz s’éloigne ici des catastrophes climatiques ou des révolutions avortées dont les Philippines sont le terrain pour en saisir une détresse plus intime. Derrière le crime qui gangrène le pays, c’est tout une mélancolie qui s’abat sur son peuple.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Luc Chessel
Tourné en 16 millimètres noir et blanc, en film noir contrasté et brumeux, "Quand les vagues se retirent" allie à la tragédie politique une beauté à la fois habituelle à qui connaît l’œuvre de son auteur, mais marquée cette fois-ci du sceau d’une mélancolie radicale, d’une nostalgie pour le cinéma et ses origines supposée faire contrepoint direct, comme la musique aux paroles, au mal radical que le scénario (le livret ? on est au bord de l’opéra) fouille du tranchant de ses lames.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par Thomas Baurez
Un thriller politique envoûtant.
Télérama
par Jérémie Couston
Le grain de la pellicule 16 mm confère aux images une dimension encore plus surnaturelle que dans les films précédents, tournés en 35 mm ou en Mini DV.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Fernando Ganzo
Mais c’est surtout dans la façon dont le Philippin filme les lieux que Quand les vagues se retirent trouve ses plus beaux moments. Rues dévastées que Diaz, frôlant l’esthétisme avec un 16 mm au noir et blanc trop intense, contemple dans un mélange de douleur, de dégoût et de commisération.
Paris Match
par Yannick Vely
Plus court qu'à l'accoutumée - 3h07 -, plus classique aussi, avec cet affrontement à la vie à la mort entre deux hommes qui flirtent et parfois sombrent dans le Mal, « Quand les vagues se retirent » est une très bonne porte d'entrée pour appréhender le cinéma de Lav Diaz.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Thomas Baurez
Il arrive qu’au sein d’un cadre souvent fixe, les corps restent en suspension ou au contraire, dansent, comme pour renvoyer une énergie confisquée. Il s’agit pour celles et ceux qui peuplent les films de Lav Diaz de refuser leur propre anéantissement. Des ombres assoiffés de lumière, refusant les ténèbres.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Thomas Bonicel
Dans un thriller aux accents et au rythme de drame philosophico-poétique, Lav Diaz propose un voyage surprenant malgré des longueurs.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Bande à part
Dans la lignée des cinéastes humanistes, d’Andreï Tarkovski à Akira Kurosawa, Lav Diaz tisse dans son dernier film Quand les vagues se retirent une superbe fausse intrigue policière, contaminée par la souffrance humaine.
Culturopoing.com
Œuvre amère, contemplative mais fulgurante à l'échelle de la filmographie de Diaz, d'une grande beauté graphique, misant sur l'attente autant que sur la violence nécessaire qu'elle prépare [...], "Quand les vagues se retirent" s'avère un cri de colère et de désespoir sortant du cœur endolori d'un cinéaste profondément désabusé.
Transfuge
Un chef-d'œuvre.
L'Humanité
Ce long métrage, tourné en 16 mm, impose une vision terrible, presque étouffante, rehaussée par un noir et blanc granuleux et un montage subtil.
L'Obs
Une dénonciation frontale des dérives meurtrières d’un pays fascisant, mis en scène de manière implacable par un des plus grands cinéastes contemporains.
La Septième Obsession
Un film tout en épure, qui tutoie le hiératique païen pour dire la putréfaction de l’être humain.
Le Monde
L’incandescent Lazaro incarne un esprit fou, plongé dans la religion, cherchant à convertir les âmes perdues (prostituées, etc.), se livrant à d’inoubliables transes, dans des clairs-obscurs dont Lav Diaz a le secret.
Les Fiches du Cinéma
Chaque film de Lav Diaz est une expérience et le dernier ne déroge pas à la règle. Ce thriller policier et politique, rugueux jusque dans le traitement de son habituel noir et blanc, déroule ses plans séquences avec maestria. Captivant.
Les Inrockuptibles
Entre les vagues et les potagers, les cris des coqs et les soleils fébriles, la magie noire qui se dégage du film en devient obsédante. Lav Diaz s’éloigne ici des catastrophes climatiques ou des révolutions avortées dont les Philippines sont le terrain pour en saisir une détresse plus intime. Derrière le crime qui gangrène le pays, c’est tout une mélancolie qui s’abat sur son peuple.
Libération
Tourné en 16 millimètres noir et blanc, en film noir contrasté et brumeux, "Quand les vagues se retirent" allie à la tragédie politique une beauté à la fois habituelle à qui connaît l’œuvre de son auteur, mais marquée cette fois-ci du sceau d’une mélancolie radicale, d’une nostalgie pour le cinéma et ses origines supposée faire contrepoint direct, comme la musique aux paroles, au mal radical que le scénario (le livret ? on est au bord de l’opéra) fouille du tranchant de ses lames.
Ouest France
Un thriller politique envoûtant.
Télérama
Le grain de la pellicule 16 mm confère aux images une dimension encore plus surnaturelle que dans les films précédents, tournés en 35 mm ou en Mini DV.
Cahiers du Cinéma
Mais c’est surtout dans la façon dont le Philippin filme les lieux que Quand les vagues se retirent trouve ses plus beaux moments. Rues dévastées que Diaz, frôlant l’esthétisme avec un 16 mm au noir et blanc trop intense, contemple dans un mélange de douleur, de dégoût et de commisération.
Paris Match
Plus court qu'à l'accoutumée - 3h07 -, plus classique aussi, avec cet affrontement à la vie à la mort entre deux hommes qui flirtent et parfois sombrent dans le Mal, « Quand les vagues se retirent » est une très bonne porte d'entrée pour appréhender le cinéma de Lav Diaz.
Première
Il arrive qu’au sein d’un cadre souvent fixe, les corps restent en suspension ou au contraire, dansent, comme pour renvoyer une énergie confisquée. Il s’agit pour celles et ceux qui peuplent les films de Lav Diaz de refuser leur propre anéantissement. Des ombres assoiffés de lumière, refusant les ténèbres.
aVoir-aLire.com
Dans un thriller aux accents et au rythme de drame philosophico-poétique, Lav Diaz propose un voyage surprenant malgré des longueurs.