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    Quand les vagues se retirent
    Note moyenne
    3,9
    16 titres de presse
    • Bande à part
    • Culturopoing.com
    • Transfuge
    • L'Humanité
    • L'Obs
    • La Septième Obsession
    • Le Monde
    • Les Fiches du Cinéma
    • Les Inrockuptibles
    • Libération
    • Ouest France
    • Télérama
    • Cahiers du Cinéma
    • Paris Match
    • Première
    • aVoir-aLire.com

    Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

    16 critiques presse

    Bande à part

    par Nadia Meflah

    Dans la lignée des cinéastes humanistes, d’Andreï Tarkovski à Akira Kurosawa, Lav Diaz tisse dans son dernier film Quand les vagues se retirent une superbe fausse intrigue policière, contaminée par la souffrance humaine.

    La critique complète est disponible sur le site Bande à part

    Culturopoing.com

    par Michaël Delavaud

    Œuvre amère, contemplative mais fulgurante à l'échelle de la filmographie de Diaz, d'une grande beauté graphique, misant sur l'attente autant que sur la violence nécessaire qu'elle prépare [...], "Quand les vagues se retirent" s'avère un cri de colère et de désespoir sortant du cœur endolori d'un cinéaste profondément désabusé.

    La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com

    Transfuge

    par Jean-Noël Orengo

    Un chef-d'œuvre.

    L'Humanité

    par Pierre Barbancey

    Ce long métrage, tourné en 16 mm, impose une vision terrible, presque étouffante, rehaussée par un noir et blanc granuleux et un montage subtil.

    La critique complète est disponible sur le site L'Humanité

    L'Obs

    par X. L.

    Une dénonciation frontale des dérives meurtrières d’un pays fascisant, mis en scène de manière implacable par un des plus grands cinéastes contemporains.

    La critique complète est disponible sur le site L'Obs

    La Septième Obsession

    par Xavier Leherpeur

    Un film tout en épure, qui tutoie le hiératique païen pour dire la putréfaction de l’être humain.

    Le Monde

    par Cl. F.

    L’incandescent Lazaro incarne un esprit fou, plongé dans la religion, cherchant à convertir les âmes perdues (prostituées, etc.), se livrant à d’inoubliables transes, dans des clairs-obscurs dont Lav Diaz a le secret.

    La critique complète est disponible sur le site Le Monde

    Les Fiches du Cinéma

    par Marine Quinchon

    Chaque film de Lav Diaz est une expérience et le dernier ne déroge pas à la règle. Ce thriller policier et politique, rugueux jusque dans le traitement de son habituel noir et blanc, déroule ses plans séquences avec maestria. Captivant.

    La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma

    Les Inrockuptibles

    par Arnaud Hallet

    Entre les vagues et les potagers, les cris des coqs et les soleils fébriles, la magie noire qui se dégage du film en devient obsédante. Lav Diaz s’éloigne ici des catastrophes climatiques ou des révolutions avortées dont les Philippines sont le terrain pour en saisir une détresse plus intime. Derrière le crime qui gangrène le pays, c’est tout une mélancolie qui s’abat sur son peuple.

    La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles

    Libération

    par Luc Chessel

    Tourné en 16 millimètres noir et blanc, en film noir contrasté et brumeux, "Quand les vagues se retirent" allie à la tragédie politique une beauté à la fois habituelle à qui connaît l’œuvre de son auteur, mais marquée cette fois-ci du sceau d’une mélancolie radicale, d’une nostalgie pour le cinéma et ses origines supposée faire contrepoint direct, comme la musique aux paroles, au mal radical que le scénario (le livret ? on est au bord de l’opéra) fouille du tranchant de ses lames.

    La critique complète est disponible sur le site Libération

    Ouest France

    par Thomas Baurez

    Un thriller politique envoûtant.

    Télérama

    par Jérémie Couston

    Le grain de la pellicule 16 mm confère aux images une dimension encore plus surnaturelle que dans les films précédents, tournés en 35 mm ou en Mini DV.

    La critique complète est disponible sur le site Télérama

    Cahiers du Cinéma

    par Fernando Ganzo

    Mais c’est surtout dans la façon dont le Philippin filme les lieux que Quand les vagues se retirent trouve ses plus beaux moments. Rues dévastées que Diaz, frôlant l’esthétisme avec un 16 mm au noir et blanc trop intense, contemple dans un mélange de douleur, de dégoût et de commisération.

    Paris Match

    par Yannick Vely

    Plus court qu'à l'accoutumée - 3h07 -, plus classique aussi, avec cet affrontement à la vie à la mort entre deux hommes qui flirtent et parfois sombrent dans le Mal, « Quand les vagues se retirent » est une très bonne porte d'entrée pour appréhender le cinéma de Lav Diaz.

    La critique complète est disponible sur le site Paris Match

    Première

    par Thomas Baurez

    Il arrive qu’au sein d’un cadre souvent fixe, les corps restent en suspension ou au contraire, dansent, comme pour renvoyer une énergie confisquée. Il s’agit pour celles et ceux qui peuplent les films de Lav Diaz de refuser leur propre anéantissement. Des ombres assoiffés de lumière, refusant les ténèbres.

    La critique complète est disponible sur le site Première

    aVoir-aLire.com

    par Thomas Bonicel

    Dans un thriller aux accents et au rythme de drame philosophico-poétique, Lav Diaz propose un voyage surprenant malgré des longueurs.

    La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
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