Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
36 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Parasite est tellement bien troussé qu’on a envie d’y retourner illico, ne serait-ce que pour en analyser les rouages et voir si l’ensemble tient vraiment la route, même quand on connaît les méandres du récit.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Bande à part
par François-Xavier Taboni
Satire sociale et mélange des genres d’une sidérante virtuosité, "Parasite", justement récompensé d’une Palme d’Or, comble toutes nos attentes… et les dépasse.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Cahiers du Cinéma
par Stéphane du Mesnildot
Parasite, à l’image des chefs-d’œuvre Memories of Murder, The Host et Mother, est un grand film d’angoisse, imprévisible, agité par les névroses et troué d’incertitudes.
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Être si humain, si universel, avec un film d’intérieur comme un huis clos, c’est toucher du doigt le pouvoir absolu du cinéma.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Culturopoing.com
par Carine Trenteun
Huis clos d’une incroyable richesse, constamment surprenant et extrêmement fluide, "Parasite" est une féroce critique sociale sur l’incapacité des individus à coexister, quelle que soit leur classe. Une magnifique Palme d’Or !
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Cette parabole contemporaine sur la lutte des classes est un récit virtuose, à tout instant étonnant. Bong Joon-ho, avec une maîtrise bluffante, pratique le genre du mélange sans incohérence, le brio d’une unité bien pensée.
La critique complète est disponible sur le site Dernières Nouvelles d'Alsace
Ecran Large
par Simon Riaux
Une nouvelle fois, le cinéaste vise juste, et avec la Palme d'Or qui l'honore, se paie le luxe d'offrir au 7e Art ainsi qu'à Cannes un ambassadeur aussi exigeant qu'accessible, jubilatoire que redoutable.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
"Parasite" est de ce point de vue remarquable, dans son écriture toute progressive, avec un coup de théâtre qui relance le film jusqu’à un climax violent et déroutant.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Humanité
par Dominique Widemann
Le réalisateur coréen a concocté une implosion cinématographique magistrale à la superbe d’opéra. Parasite est un film politique drôle et noir foncé placé haut dans notre palmarès.
L'Obs
par Nicolas Schaller
Le septième long-métrage du Coréen Bong Joon-Ho, tragi-comédie palpitante et sans appel sur les rapports de classes, a dépassé toutes nos attentes, et elles étaient grandes.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
LCI
par Jérôme Vermelin
"Parasite" a tout pour être l’une des Palmes cannoises les plus populaires depuis très longtemps. Sans doute parce que le cinéma de Bong Joon-ho renferme ce qu’il y a de meilleur dans le cinéma sud-coréen actuel.
La critique complète est disponible sur le site LCI
La Septième Obsession
par Thomas Aïdan
Bong Joon-Ho revient, avec "Parasite", à la quintessence de son cinéma, vénéneux, brûlant et nerveux. Quelque chose dans la mise en scène dit toute la folie de son cinéma, étrange, quadrillé comme un plan d’architecture.
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Bong Joon-ho multiplie les scènes d’anthologie en brossant le portrait d’une frange de la société qui vit « en dessous », qui s’agite la nuit, se nourrit en cachette, dégage une odeur insupportable pour les nantis qui peuplent la surface.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Une claque monumentale.
Le Point
par Philippe Guedj
Un 7ème film éblouissant pour Bong Joon-ho.
Les Fiches du Cinéma
par Thomas Fouet
Retour au sommet pour Bong Joon Ho qui, avec cette farce tragique rejouant la lutte des classes en milieu domestique, n'a pas volé sa Palme d'or.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Luc Chessel
Récente palme d’or à Cannes, la satire cruelle et virtuose du Coréen Bong Joon-ho met en scène deux familles, une riche et une pauvre, dans une lutte des classes verticale. Un retour à son pays après une incartade internationale et une synthèse accomplie des obsessions qui traversaient déjà "Memories of Murder", "The Host" ou "Snowpiercer".
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marianne
par Olivier de Bruyn
Aussi puissant sur le fond, d’une lucidité extrême, que sur la forme, constamment inventive, un grand film (...).
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Filmé comme un thriller haletant, jusqu'au dernier rebondissement, Parasite est aussi un drame qui revisite la lutte des classes et dénonce la violence des rapports sociaux coréens.
Paris Match
par Yannick Vely
Le film passe de la comédie sociale à la comédie noire, de la comédie noire au film d’horreur, du film d’horreur au film catastrophe, avec une maitrise et une fluidité incroyable et des scènes vouées à devenir cultes.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Hubert Niogret
[...] une revanche de classe, à la fois burlesque et effrayante que le cinéaste réalise d'autant plus brillamment qu'il sait à la fois filmer le surprenant, l'inattendu, l'explosif, le calme et l'interrogatif.
Première
par Gaël Golhen
Bong Joon-ho revient au thriller explosif et en Corée pour une nouvelle satire politique et sociale imparable. Drôle, violent, baroque, maîtrisé : une Palme d'Or imparable.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Sophie Avon
Palme d’or au dernier festival de Cannes, ce "Parasite" est dans la droite ligne des films précédents de Bong Joon ho. Virtuose, brillant, alternant la comédie et l’horreur, la fable sociale et le polar.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Transfuge
par Serge Kaganski
Lucidité politico-sociale, liberté de ton et virtuosité cinématographique sont les trois mamelles de ce très grand film.
Télé Loisirs
par Emilie Leoni
Pernicieux et prodigieux !
Télérama
par Jacques Morice
Drôle, hargneux, inquiétant… Le cinéaste orchestre d’une main de maître l’affrontement de deux familles que tout oppose. Une grande Palme d’or, populaire et réjouissante.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par Daniel Blois
Un très grand film, débordant d’idées et d’humanité.
aVoir-aLire.com
par Julien Dugois
Bong Joon-ho réinvente le classique "film de maison", avec ses relations vénéneuses entre servants et employeurs, et fabrique un thriller au rythme fou, sans rien perdre de son regard attentif sur la société coréenne. Un coup de génie.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
CNews
par La rédaction
[...] le cinéaste de 49 ans signe un drame familial aux allures de thriller dans lequel il distille avec intelligence humour et violence.
La Croix
par Céline Rouden
Cette œuvre puissante et originale allie une grande maîtrise formelle à une dénonciation sans concessions des inégalités sociales dans un pays livré aux puissances de l’argent et à l’influence américaine.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par Etienne Sorin
Parasite confirme ce talent fou à jouer avec les codes et à se réinventer à chaque fois.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Mathieu Macheret
En véritable cinéaste politique, le Coréen s’inscrit dans la tradition des récits de domesticité, tout en restant fidèle à son style virtuose.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Thierry Jousse
Un peu à la manière d’Hitchcock ou de Chabrol, à qui le cinéaste sud-coréen a eu le bon goût de rendre hommage en recevant son prix, Bong Joon-ho réussit avec "Parasite" une sorte de tour de force : un film totalement limpide et, en même temps, complexe et mystérieux.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Mad Movies
par Fausto Fasulo
À domicile, en coréen et avec ses comédiens, Bong Joon Ho retrouve les marques de son cinéma, ses fondamentaux spirituels et l'organicité d'une direction d'acteurs qu'il avait perdue après l'incroyable "Mother".
Rolling Stone
par Jessica Saval
Tantôt drôle, tantôt effrayant — mais toujours distrayant — Parasite est réalisé avec tant d’intelligence et de délicatesse qu’il est impossible d’y résister.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Critikat.com
par Josué Morel
Travail sérieux et rigoureux, pas dénué de subtilité ici et là, mais tout de même, on peut regretter que le film ne s'achemine que vers un retour du refoulé assez littéral.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
20 Minutes
Parasite est tellement bien troussé qu’on a envie d’y retourner illico, ne serait-ce que pour en analyser les rouages et voir si l’ensemble tient vraiment la route, même quand on connaît les méandres du récit.
Bande à part
Satire sociale et mélange des genres d’une sidérante virtuosité, "Parasite", justement récompensé d’une Palme d’Or, comble toutes nos attentes… et les dépasse.
Cahiers du Cinéma
Parasite, à l’image des chefs-d’œuvre Memories of Murder, The Host et Mother, est un grand film d’angoisse, imprévisible, agité par les névroses et troué d’incertitudes.
CinemaTeaser
Être si humain, si universel, avec un film d’intérieur comme un huis clos, c’est toucher du doigt le pouvoir absolu du cinéma.
Culturopoing.com
Huis clos d’une incroyable richesse, constamment surprenant et extrêmement fluide, "Parasite" est une féroce critique sociale sur l’incapacité des individus à coexister, quelle que soit leur classe. Une magnifique Palme d’Or !
Dernières Nouvelles d'Alsace
Cette parabole contemporaine sur la lutte des classes est un récit virtuose, à tout instant étonnant. Bong Joon-ho, avec une maîtrise bluffante, pratique le genre du mélange sans incohérence, le brio d’une unité bien pensée.
Ecran Large
Une nouvelle fois, le cinéaste vise juste, et avec la Palme d'Or qui l'honore, se paie le luxe d'offrir au 7e Art ainsi qu'à Cannes un ambassadeur aussi exigeant qu'accessible, jubilatoire que redoutable.
Franceinfo Culture
"Parasite" est de ce point de vue remarquable, dans son écriture toute progressive, avec un coup de théâtre qui relance le film jusqu’à un climax violent et déroutant.
L'Humanité
Le réalisateur coréen a concocté une implosion cinématographique magistrale à la superbe d’opéra. Parasite est un film politique drôle et noir foncé placé haut dans notre palmarès.
L'Obs
Le septième long-métrage du Coréen Bong Joon-Ho, tragi-comédie palpitante et sans appel sur les rapports de classes, a dépassé toutes nos attentes, et elles étaient grandes.
LCI
"Parasite" a tout pour être l’une des Palmes cannoises les plus populaires depuis très longtemps. Sans doute parce que le cinéma de Bong Joon-ho renferme ce qu’il y a de meilleur dans le cinéma sud-coréen actuel.
La Septième Obsession
Bong Joon-Ho revient, avec "Parasite", à la quintessence de son cinéma, vénéneux, brûlant et nerveux. Quelque chose dans la mise en scène dit toute la folie de son cinéma, étrange, quadrillé comme un plan d’architecture.
La Voix du Nord
Bong Joon-ho multiplie les scènes d’anthologie en brossant le portrait d’une frange de la société qui vit « en dessous », qui s’agite la nuit, se nourrit en cachette, dégage une odeur insupportable pour les nantis qui peuplent la surface.
Le Journal du Dimanche
Une claque monumentale.
Le Point
Un 7ème film éblouissant pour Bong Joon-ho.
Les Fiches du Cinéma
Retour au sommet pour Bong Joon Ho qui, avec cette farce tragique rejouant la lutte des classes en milieu domestique, n'a pas volé sa Palme d'or.
Libération
Récente palme d’or à Cannes, la satire cruelle et virtuose du Coréen Bong Joon-ho met en scène deux familles, une riche et une pauvre, dans une lutte des classes verticale. Un retour à son pays après une incartade internationale et une synthèse accomplie des obsessions qui traversaient déjà "Memories of Murder", "The Host" ou "Snowpiercer".
Marianne
Aussi puissant sur le fond, d’une lucidité extrême, que sur la forme, constamment inventive, un grand film (...).
Ouest France
Filmé comme un thriller haletant, jusqu'au dernier rebondissement, Parasite est aussi un drame qui revisite la lutte des classes et dénonce la violence des rapports sociaux coréens.
Paris Match
Le film passe de la comédie sociale à la comédie noire, de la comédie noire au film d’horreur, du film d’horreur au film catastrophe, avec une maitrise et une fluidité incroyable et des scènes vouées à devenir cultes.
Positif
[...] une revanche de classe, à la fois burlesque et effrayante que le cinéaste réalise d'autant plus brillamment qu'il sait à la fois filmer le surprenant, l'inattendu, l'explosif, le calme et l'interrogatif.
Première
Bong Joon-ho revient au thriller explosif et en Corée pour une nouvelle satire politique et sociale imparable. Drôle, violent, baroque, maîtrisé : une Palme d'Or imparable.
Sud Ouest
Palme d’or au dernier festival de Cannes, ce "Parasite" est dans la droite ligne des films précédents de Bong Joon ho. Virtuose, brillant, alternant la comédie et l’horreur, la fable sociale et le polar.
Transfuge
Lucidité politico-sociale, liberté de ton et virtuosité cinématographique sont les trois mamelles de ce très grand film.
Télé Loisirs
Pernicieux et prodigieux !
Télérama
Drôle, hargneux, inquiétant… Le cinéaste orchestre d’une main de maître l’affrontement de deux familles que tout oppose. Une grande Palme d’or, populaire et réjouissante.
Voici
Un très grand film, débordant d’idées et d’humanité.
aVoir-aLire.com
Bong Joon-ho réinvente le classique "film de maison", avec ses relations vénéneuses entre servants et employeurs, et fabrique un thriller au rythme fou, sans rien perdre de son regard attentif sur la société coréenne. Un coup de génie.
CNews
[...] le cinéaste de 49 ans signe un drame familial aux allures de thriller dans lequel il distille avec intelligence humour et violence.
La Croix
Cette œuvre puissante et originale allie une grande maîtrise formelle à une dénonciation sans concessions des inégalités sociales dans un pays livré aux puissances de l’argent et à l’influence américaine.
Le Figaro
Parasite confirme ce talent fou à jouer avec les codes et à se réinventer à chaque fois.
Le Monde
En véritable cinéaste politique, le Coréen s’inscrit dans la tradition des récits de domesticité, tout en restant fidèle à son style virtuose.
Les Inrockuptibles
Un peu à la manière d’Hitchcock ou de Chabrol, à qui le cinéaste sud-coréen a eu le bon goût de rendre hommage en recevant son prix, Bong Joon-ho réussit avec "Parasite" une sorte de tour de force : un film totalement limpide et, en même temps, complexe et mystérieux.
Mad Movies
À domicile, en coréen et avec ses comédiens, Bong Joon Ho retrouve les marques de son cinéma, ses fondamentaux spirituels et l'organicité d'une direction d'acteurs qu'il avait perdue après l'incroyable "Mother".
Rolling Stone
Tantôt drôle, tantôt effrayant — mais toujours distrayant — Parasite est réalisé avec tant d’intelligence et de délicatesse qu’il est impossible d’y résister.
Critikat.com
Travail sérieux et rigoureux, pas dénué de subtilité ici et là, mais tout de même, on peut regretter que le film ne s'achemine que vers un retour du refoulé assez littéral.